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  • Patriarque Nobutoga Oda

  • Je suis un homme de paix, mais je ferai tout ce qu'il faut pour la conserver.

  • Fonction

    Patriarque

    Race

    Humain

    Sexe

    Masculin

  • Ampoule alluméeAmpoule alluméeAmpoule alluméeAmpoule alluméeAmpoule alluméeAmpoule alluméeAmpoule alluméeAmpoule allumée
  • Réput. HRP

    Présence

    1962 heures

    Réput. RP

  • Histoire du personnage

    Le droit de naissance, est-ce un réel droit ? Notre naissance, notre lignée, juste par sa présence, peut elle donner des droits de supériorité juste parce qu'on a eu la chance d'être né de parents bien placés ? Sous quelles réserves deux enfants pure d'aucun acte peuvent-ils être si différent socialement ? Pourquoi celui de gauche prévaut sur celui de droite juste par avantage d'être né plus tôt ? Le monde est fait ainsi, inutile de dire que les actes forgent une personne, quand nous sommes jugé par la natalité. L'enfant d'un monstre est il monstrueux aussi de par sa parenté ? L'enfant d'un commerçant notable sera t-il bon marchand ? Est-ce parce que je suis né plus tôt que je suis supérieur à mon frère jumeau ? Est-ce par natalité uniquement que j'ai le droit de vie ou de mort sur lui ? On peut voir de la haine, de l'envie, de la rancœur sur son visage, rien qu'en s'inclinant. J'ai souvent cherché dans mes méditations ce que signifiait réellement ce titre qui m'était donné. J'ai sondé mon âme et je ne trouvais aucune réponse, j'étais né ainsi, je devais respecter son code d'honneur. Il n'est pas seulement un livre militaire, c'est un mode de vie, nous vivons pour perfectionner ce pourquoi nous sommes nés, Si père était forgeron, alors j'aurais travaillé à être le parfait successeur, si père était cuisinier, j'aurais apprit à cuisiner comme personne, mais mon père est guerrier, je dois donc parfaire mes connaissances du combat, et ce que je fis, même si je pensais autrement. Par acquis de naissance, étant l’aîné, j'étais le successeur de mon père, mon frère était alors plus qu'un pion à sacrifier et à me protéger. Nous ne nous aimions pas, il jalousait le pouvoir que je ne voulais pas avoir, mais ni lui ni moi n'avons faillit à nos règles, nous nous inclinions, nous nous forcions à nous sourire humblement, montrer ce que nous ressentons en publique est preuve de faiblesse, et manquer de respect est preuve de nuisance, l'un provoquait la déception et la honte sur la famille, l'autre pouvait amener à la mort. Manquer de respect est une chose impardonnable, passible de peine de mort pour le peuple, de suicide. Même l'empereur Wa devait respecter une conduite très strict pour ne pas apporter honte à sa famille, alors qu'il est considéré comme une divinité parmi nous, ses serviteurs. Cette organisations, ce règlement qui peut sembler strict, barbare et sans intérêt pour les non-initiés comme ceux de l'ordre, ce règlement permet une discipline, une retenue et une organisations sans failles, sans dépassement, une hiérarchie parfaites pour une société ordonné basés sur la perfection de son quotidien et de son but. Pas tout les soldats sont des guerriers, mais tout guerrier est soldat. Depuis mon plus jeune âge, après m'avoir apprit à ramper, marcher, parler, on m'apprit à me battre mais pas que. Nous ne tuons pas pour tuer, mais parce que c'est nécessaire d'une manière ou d'une autre, les âmes que nous tuons méritent la mort, pour avoir apporté la honte de la défaite sur leurs ancêtres, mais ils restent respectables d'être mort pour défendre leur honneur, nous priions toutes âmes mortes, nous méditions sur nos actes, et parfois nous regrettions d'être coupable, mais une fois les yeux ouverts sur le monde, sur nos villages, sur nos proches, sur nos semblables, nous savions que c'est ce qu'il fallait faire, et nous cessions de laisser transparaître nos émotions. Mais mêmes les émotions les plus refoulées existent, l'exemple le plus probant est celui de l'empereur de Tigan, ou plutôt le descendant de ceux qui ont perdu le pouvoir de notre île au profit de l'empereur du pays des Wa dont désormais Tigan faisait parti. Cette rancœur gardé dans un peuple, cette envie de vengeance, de dépendance sur un « faux » Empereur, ceci engendra une guerre d'indépendance, presque civil entre les Guerriers de Tigan, et ceux qui composent le pays des Wa. Cette guerre n'eut aucun effet bénéfique, certes notre fierté de nous dire indépendant, ou de mourir en son honneur, mais à quoi sert nos codes moraux si personne n'est encore en vie pour les appliquer ? Cette rébellion n'était qu'une autre de ces guerres interminables, mais j'étais un Guerrier, qui suis-je pour oser contredire mon dirigeant et ses ordres ? Qui suis-je pour refuser d'aller au champs de bataille ? Même si celui ci semblait si éloigné, si distant, car en effet, pour l'instant le combat n'était pas chez nous, notre île éloignée nous permettant une préparation pendant qu'ils font le voyage. Je continuais ainsi ma vie, je me levais, j'écrivais, puis je m’entraînais, je méditais, et ma mère m'apprit à me servir d'un Shakuhachi, cela me permettait de jouer et de plonger profondément dans la méditation, mais aussi d'aider les autres à y entrer, mais ma nature reprit vite place, et je devais aller au combat, il le fallait. Nous sommes allé sur la plage où les envahisseur étaient censé débarquer, mais le sort fut autrement, ils étaient déjà là. C'était un simple groupe d'éclaireur, on les massacra par notre grand nombre, mais à un moment précis, je fus isolé avec une autre personne, mon frère. Il me regarda non pas d'un air méprisant, défiant ou jaloux, c'était de le haine. Nous étions jumeau mais nous n'étions pas égaux, je comprenais sa douleur, je ne la connaissais pas, mais je la comprenais. Aucun mot, aucun autre regard, l'un face à, l'autre, nos styles de combats identiques, ça ne sera pas un combat de durée, mais un combat qui ne suffira que d'une fraction de seconde pour toucher l'autre en premier. Ce qu'il recherchait à faire dans son plan l'aura tué. Il voulu me tuer en plantant mon visage, prendre ma place, il ne m'a pas raté, mais il ne m'a pas finit, or, je lui ai coupé l'artère sous l’aisselle, il s'écroula, je le regardais se vider de son sang, son regard haineux, aucun mot, rien ne sortait si ce n'est nos râles d'agonies respectifs. Je fis blessé ce jour là, et cette blessure fait encore aujourd'hui partit de mon fardeau, avoir tué mon frère est, pour moi, un échec avec lequel je dois vivre. Mais la tristesse n'avait rien à faire dans mon cœur, alors comme pour tout les autres que j'ai déjà tué, je suis allé prier et méditer au temple de mes ancêtres, et me préparait pour la guerre à venir, une guerre qui allait sûrement être celle de ma fin, mais au moins, le destin aurait pus m'offrir ce que nous appelons une bonne mort. Peu importe qui meurt et dans quelles conditions, sur un champs de bataille, nous essayons de tuer ceux qui essayent de nous tuer, chacun fait son devoirs, c'est la meilleur des morts pour un Guerrier, mourir dans l'honneur. Mais en rentrant chez moi, bien que victorieux, aucune joie ne pouvait se voir, et ma mère ne pouvait pleurer que le soir, quand les portes se ferment, et que les regards s'éloignent, la vie est ainsi faite à Tigan, il n'y a guère de place pour les sentiments. Nous savions que nous allions nous faire réprimer, mais courber l'échine devant l'adversité n'est pas une chose que nous faisons, mourir oui. Je ne sais pas si ma terre natale est bizarre, si c'était le cas je ne le remarquerai probablement pas, mais cette terre a quelque chose qui me manque, une spiritualité, une discipline, une façon d'être que je ne retrouverai jamais dans l'ordre. Mon père m'a dit un jour, que « peu importe que les feuilles des arbres tombent, elles repousseront tant que l'arbre subsiste ». La société est tout pour l'homme, si nous ne mourrons pas pour elle, alors elle mourra à cause de nous. Et je suis mort pour la défendre, rien de glorieux, contre des soldats certes entraînés mais pas autant que les Guerriers c'était simple, mais en combat à quasi armes égales, je fus confronté à plus fort, plus entraînés, et si j'ai pu en tuer deux, je fus la troisième victime, un katana dans le ventre, l'homme portait un masque traditionnel, de ceux qui nous font passer pour des démons, ce masque rouge se grava dans ma mémoire même par delà la mort. Je revis, je ne sais où, mais les nouvelles de guerre passant, j'ai voulu y retourner, mais j'étais mort, je ne pouvais plus me montrer sous leurs yeux, c'était impossible, ce serait un déshonneur pour eux comme pour moi, j'ai connu la défaite, et la mort n'a pas voulue de moi, alors je suis rentré discrètement par bateau chez moi, prit mon Katana, mon Shakuhachi, et je suis partit sur un autre bateau, je n'en connaissais pas la destination, mais il s'est de toute façon naufragé, et j'ai reprit connaissance sur l'île de Tidareir où le Membre Mathok m'emmena à l'ordre, et me permit d'y rester.

    Présentation du joueur

    Ici git l'histoire du pays Tigan depuis la Dynastie de ceux qui seront nommés plus tard, les conservateurs. Ère 50 avant le pays des Wa : Tigan entre dans l'ère des Nakasho ; nouvelle dynastie de Tigan. Ère 45 avant le pays des Wa : Tigan ferme définitivement ses frontières aux 3 autres îles de l'archipel Busei. Ère 12 avant le pays des Wa : Conflits d'intérêt et d'économie entre l'archipel et Namize. Ère 11 avant le pays des Wa : Déclaration de guerre de Namize à l'archipel Busei. Ère 9 avant le pays des Wa : Tachiyo tombe sous les coups du général Wa Da. Ère 6 avant le pays des Wa : Zooru tombe sous les coups du général Wa Da. Ère 5 avant le pays des Wa : Akato tombe sous les coups du générale Wa Da. Ère 1 avant le pays des Wa : Tigan tombe sous les coups du générale Wa Da. Ère 0 : Grande Réunification entre Namize et l'archipel Busei, créant le Pays des Wa, composé de Namize-Wa ; Watachiyo ; Wazooru, Waakto ; Watigan. Ère 2 du pays des Wa : Réouverture de toutes les frontières de l'archipel. Ère 6 du pays des Wa : Chasse des conservateurs et de la famille Nakasho sur Watigan. Ère 7 du pays des Wa : Extermination de la dynastie Nakasho, Watigan passe à la dynastie Dakuto. Ère 15 du pays des Wa : Extermination de la dynastie Dakuto, un Nakasho encore en vie reprend le pouvoir. Ère 22 du pays des Wa : Crime de masse par des conservateurs sur Watigan. Ère 25 du pays des Wa : Fermeture des frontières de Watigan avec l'accord de l'empereur de Namize-Wa. Ère 32 du pays des Wa : Calme complet et préparation secrète avant prochain conflit. Ère 68 du pays des Wa : Dynastie Nakasho bien encrée, armée refaites, tension renaissante avec Namize-Wa dont l'empereur doute la fidélité de Watigan envers le pays des Wa. Ère 72 du pays des Wa : Guerre civil à Watigan entre les consevateurs Nakasho et les fidèle Kadoza. Ère 72 du pays des Wa:Victoire écrasante des Nakasho. Ère 73 du pays des Wa : Guerre d'indépendance de Watigan. Ère 75 du pays des Wa : Période actuelle, guerre toujours en cours. Ère 75 du pays des Wa : Période actuelle, guerre finit, extermination du peuple de Watigan.
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