Menu
Logo Herobrine.fr
  • Tempestaire Vhral d'Ornevent

  • Celui qui dort depuis toujours,
    Qui n’a ni corps, ni forme ou âme,
    Connaît des rois rêves et drames,
    Et mange les noyés chaque jour.

  • Fonction

    Tempestaire

    Race

    Humain

    Sexe

    Masculin

  • Ampoule alluméeAmpoule alluméeAmpoule alluméeAmpoule alluméeAmpoule alluméeAmpoule alluméeAmpoule alluméeAmpoule alluméeAmpoule allumée
  • Réput. HRP

    Présence

    8407 heures

    Réput. RP

  • Histoire du personnage

    [...] << Mais peut-être le plus sage serait-il d'observer La grâce avec laquelle tu t'extirpes de leurs griffes Habile et courageux, tu sais leur échapper, Pour retourner pêcher au milieu des récifs, Là où les eaux t'emmènent, bercé par le ressac, Loin des obligations que le violet t'impose, Les vagues te murmurent quelques vers élégiaques Dont tu ne te permets pas de retranscrire la prose, Chant qui reste secret à ceux qui n'écoutent pas, Et qui ne se révèle qu'à quelques initiés, Qui savent se délecter du craquement du bois, Du rhum sur la plage, du rythme des marées, Ou du bruissement des feuilles sur une côte ventée, Effleurée par l'écume, parfumée des embruns, Où les villages anxieux laissent la place aux cyprées, Refuge des angoisses de ton coeur de marin. Ton coeur tant convoité que j'espérais faire mien, En t'accordant ma main cerclée d'un anneau d'or, Je ne comprenais pas que j'étais dans le tort, Et que mes stratagèmes ont tous été bien vains. Des amantes tu en eu, en auras, c'est certain. Marié à ta rouquine, de loin la plus belle, Mais à ta favorite tu resteras fidèle, Elle restera présente, aujourd'hui comme demain. Sa robe toute d'écume et ses yeux cérulés, Ses cheveux qui ondulent sous la caresse des vents, Sa danse et son parfum, envoûtantes voluptées, Qui hypnotisent les hommes ; ils n'écoutent que son chant. Où que l'on puisse partir, elle sera toujours là, Dans un écho lointain, éternel horizon, Détentrice de ton âme, elle confond ta raison, Te convainc de retourner au creux de ses bras. Alors sur ton navire, avec quelques confrères, Tu largues les amares et repars à la mer, Un cyclame, ou deux, ou plus, je ne sais pas, Je reste sur le port, bientôt tu reviendras, Quand assouvi sera ton désir de conquêtes, Que tes yeux brilleront de mille et une fêtes, L'océan, les abysses comme uniques passions, Ô Juste est-ce là le prix d'aimer un Compagnon ? >> - Chawpa Sylvaerys

    Présentation du joueur

    "Il y avait là de quoi rendre fou un Sage, ou de quoi rendre Sage un fou" - Nerval. Vhral : http://i.imgur.com/mXkXLM2.jpg
    Chatbox - Dialogue en direct

    Discussion en direct