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Dans une canopée antique, un Sage s'élève, se faisant porteur de la flamme d'une Oracle disparue. Félicitations à Yazor qui passe Sage !

  • Oeil du Juste Seberus

  • "L'Ordre est aux Remortels ce qu'un éclat de lumière est pour un voyageur dans un épais brouillard."

  • Fonction

    Oeil du Juste

    Race

    Onyx

    Sexe

    Masculin

  • Ampoule alluméeAmpoule alluméeAmpoule alluméeAmpoule alluméeAmpoule alluméeAmpoule alluméeAmpoule alluméeAmpoule éteinteAmpoule éteinte
  • Réput. HRP

    Présence

    4380 heures

    Réput. RP

  • Histoire du personnage

    [* De vieilles pages, fragiles, légèrement déchirées semblent avoir été glissées entre deux livres dans la Bibliothèque de l'Académie, l’encre de ce texte est d’un noir profond, semblant lui aussi ancien que les feuilles, de par l’encre qui s’écaille par endroit. *] Si je devais écrire quelque chose pour parler de moi, de ce que je suis, de ce que je fus, et de ce que je serai, ce serait parler de ce qui m'a attiré dans les terres de l'Ordre, l'Ordre d'Herobrine. Comme tout onyx, ma naissance fut un plongeon vers la vie, ou plutôt, un plongeon vers la réalité de ce monde. Pourquoi tombons-nous ? Pour mieux nous relever. J'ai encore le souvenir de ce petit lac, reflétant les milles éclats de la lumière du soleil, joyau du ciel. Oh non, ce n'était pas un lac de grand seigneur, immense et magnifique, au contraire, il a reflété ce que je souhaitais être : Simple. Le contact de l'eau sur ma peau sombre, semblable à la roche noire nommée Obsidienne, insuffla un premier instinct primitif en moi : La survie. C'est ce même instinct, bestial, primaire, qui me guida, affamé, assoiffé, nu, devant les portes de la citadelle de Bröwnir. Oh, ils auraient pu tout simplement ne pas ouvrir les portes, mais il semble qu'eux aussi avaient développé un instinct, ou plutôt un principe, ou une valeur : la pitié. Mais.. Grâce à ce principe.. [* Les phrases suivantes semblent avoir été griffonnées ainsi que barrées, cela masquant certaines lettres et empêche donc la suite de la lecture de ce passage *] Ainsi, je décidai de partir, mais bien malgré moi. Mes livres dans une ample besace de cuir que je pris le soin de m'attacher en bandoulière afin de ne pas perdre son précieux contenu. Je ne savais pas où j'allais, en réalité, je me perdais dans un labyrinthe : le labyrinthe de la vie. Il ne faut pas croire, marcher sans but permet de voir des choses, je me souviens encore des hallucinations dont j'étais atteint : Des ombres blanchâtres.. Glissant parmi les arbres.. Des visages.. familiers ? Inconnus ? Apparaissant, disparaissant.. Des murmures peut-être? Je ne sais plus vraiment, je sombrais petit à petit dans ma solitude et mon désarroi certain qui m'empoisonnait l'âme pas le biais de mes multiples tourments invisibles. Mes spores cherchaient désespérément de l'air autre que celui qui avait une consistance faite de toutes ces choses horribles.. ces malheurs qui m'arrivaient.. Et puis.. Je crois que ça c'est passé ainsi, oui. Dans le doux bruit des branchages, bercés par le vent, une voix qui s'élève parmi les autres, une voix.. Plus.. Réelle.. - "Qu.--qu'-n ?" C'était un vieil homme, du peu que j'ai pu entendre de cette voix grave et âgée, irritée par le temps. Intrigué, je tentai d'aller voir l'objet de mon retour à la réalité, fébrilement, mais avec la conviction d'une chose : je n'étais plus seul. Le vieillard, vêtu d'un épais manteaux gris et de bottines de marche semblait en fin de course, il était étendu contre le sol, bras écartés, comme si il voulait rendre son dernier soupir tout en étant bercé par ce sol : Mourir dans les bras de la terre mère, là où tout débute et où tout se termine. L'un de mes instincts me pris de court, la compassion. En un claquement de langue, j'étais à ses côtés, penché pour lui, sentent la mort rôdant autour de son âme, tel un prédateur autour d'une proie. Le vieillard avait fait son temps, il me fixait de ses yeux noirs-gris, les miroirs de l'âme, puis, entrouvrit ses lèvres pour me glisser quelques mots, difficilement et très doucement. - "L'Ordr.. D'He..b-i.e.." Il répéta une deuxième fois ses mots, en voyant ma tête ébahie car je n'avais strictement rien compris. - "Her.brine" Ce mot là suffit à me faire comprendre : L'Ordre d'Herobrine. Il me confirma ce que je pensais d'un signe de tête, puis leva la main dans une direction, dans un ultime effort, puis, le vautour cueilla sa proie et il s'en alla, trouvant la paix dans un autre monde ? C'est une bonne question. Quoi qu'il en soit, il m'avait donné sans le savoir un destin, une vie, une ligne directrice peut-être, une issue dans le labyrinthe. Mon voyage reprit donc, dans une autre direction certes mais avec un objectif cette fois, accomplir les dernières volontés d'un être. Après de longs mois de marche passés avec le sentiment de n'en avoir marché que deux de par le fait que les sous du vieil homme m'ont bien aidé à me nourrir et à boire, me permettant ainsi de ne me préoccuper que de ce qui ressemble en réalité à un pèlerinage, je.. Tombai sur ce qui semblait être de loin un amas de pierres.. Ah non.. Un empilement de pierres.. De demi-dalles, avec un panneau me conseillant de "suivre les yeux". J'ai ensuite trouvé ce que je cherchais.. Un village.. Des étranges énergumènes habillés de toutes les couleurs.. ~ Merci, Vieil Homme. ~ ---- [* Une petite note est ajoutée sur les vieilles feuilles, elle semble bien plus récente *] J'ai retrouvé quelques pages de mon journal de l'époque, beaucoup de choses ont changé depuis mon arrivée lors du Second Monde.. Et moi avec. Le vieil homme n'était pas de l'Ordre, je me suis renseigné, mais il le cherchait peut-être, qui sait ? La vie n'est qu'un éternel recommencement, où tout peut basculer en cas de déséquilibre, où tout est fragile et précieux. Je suis Seberus, Maître de l'Ordre d'Herobrine. ~ ~ ~

    Présentation du joueur

    Ancien sage sur Herobrine.fr Ancien développeur du site.
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