<<La chaleur du brasier...>> <<L’allure inconcevable du rafiot...>> <<La terrible amertume de la lymphe...>> << Le silence de l'abîme sous marine...>> <<L’acceptation, la rédemption...>> <<Conte leur, vieil homme.>> << Ce jour marquant ton départ, à l’abri des regard, appréciant la chaleur du brasier d’un foyer sous ta main abjecte et marquée par temps et actes macabres.>> << L’allure inconcevable du rafiot qui devait porter ce qu’il restait de ton esprit en Coréoze dont le voyage ne fut que trop insupportable pour un esprit si ravagé.>> << Le débarquement, sur des plages millénaires que tu avais foulé de si nombreuse fois. Seulement pour y trouver la raison de ta fuite ainsi que la terrible amertume de la lymphe au coin de tes lèvres.>> << Les retrouvailles ornées de désaccord avec des visages occulte et pourtant si familiaux, clamant ton retour, ancien fils du ciel, seulement pour te changer et te laisser goûter à l’abîme sous-marin pour te laver une nouvelle fois..>> << La violence des vagues et du vent, La chaleur brûlante du sable, le froid des forêts et la fausse douceur d’un prétendu foyer étaient les fardeaux pour redevenir l’un des tiens. Pour obtenir leur acceptation et ta propre rédemption..>> Te voilà, de retour sur des terres qui n’était plus les tiennes, entourés de familiarités devenues inconnues. Foulant une terre déchue de ton bonheur, de toutes échappatoires pour ton esprit vers ceux qui t’avais tendu la main. Enfermé dans de méprisables et funestes cycles de penser, rien n’était plus sûr. Une tombe rongée de doutes, une tombe rongée de regrets, tu tenais ta carcasse fasse à elles, observant le vide central qui t'était réservé. Il était temps d’en finir, de les rejoindre. De te pardonner et de disparaître. Hélas n’est plus homme de serments celui qui fut brisé. Te voilà incapable d’accepter, incapable de te pardonner, incapable de reproduire les mêmes erreurs. <<Fuis !>> Un crie dans ton âme, d’une voix délicate et au visage qui ne semblait que trop irréel. Une année durant, perdu, tu cherchas à revenir, seul et impuissant, damné de tes deux mondes. Tu contes depuis vieil homme, tu contes. Tes mots si proches annoncent t’ils ton retour.. ? Serais tu encore en vie ? Aurais-tu un nom vieil homme ? Rhyfel.

N'est plus le même celui qui se laisse disparaître à travers sa propre abysse. §h§p Hb c'était toutes mes années de lycée, de belles rencontres et surtout beaucoup de rire. À 6 années d'inactivité et sûrement bien d'autres à venir.