Histoire du personnage
Je me nomme Veziah Drarha. Je suis né de deux parents issus de la petite bourgeoisie. Grâce à cela, je pus avoir une bonne éducation, tel que la lecture, l'écriture, et le savoir des nombres. En ce qui concerne ma couleur de cheveux, j'ai hérité de ma mère, qui fut blonde. Pour les traits du visage, de mon père.
Jusqu'à l'âge de mes quinze ans, j'obtenu la meilleure éducation qui fut à mes yeux. Il se trouva que lors d'une balade en ville, je rencontrai un homme d'une trentaine d'année. Celui-ci avait un haut trop court pour sa taille et un pantalon parsemé de trou. De toute évidence, il n'avait pas l'air d'être le plus riche des hommes. C'est alors qu'un autre homme sorti de l'échoppe adjacente. Il avança vers le mendiant, et il venu alors le frapper à l'aide d'un long bâton tout en y sortant des insultes après chaque coup. Il faisait fuir les clients, selon lui.
C'est alors que mes tremblements furent accompagnés par l'incompréhension à la vue de l'horrible spectacle que mes yeux avaient la chance -ou la malchance- de voir. Je cria alors, soudainement, en demandant à l'agresseur de cesser. Il se tourna, s'approcha de moi, bâton en main, puis l'élança en arrière. Par peur, mes muscles ne répondirent plus et mes yeux se fermèrent.
J'attendis, j'attendis encore. Le coup devait me toucher, mais rien. Rien ne me toucha. J'ouvris alors mon œil gauche, toujours apeuré. Je vus alors le mouvement de l'homme au bâton qui s'était arrêté depuis déjà deux à trois secondes. En effet, le pauvre avait réussi à bloquer le geste de ce dernier. Il tenait donc le bras qui consistait à porter le bâton visant à m'agresser. C'est alors que l'homme aux habits troués retira rapidement le bâton des mains de l'homme, en le jetant plus loin. Le commerçant prit peur et retourna à la hâte dans son échoppe.
Je remerciai alors cet homme, mes jambes tremblèrent encore. Je discuta longuement avec celui-ci et j'appris alors à le connaître. Malheureusement, ma fréquentation avec celui-ci donna une mauvaise image de ma famille. Malgré les coups et les avertissements de ma famille, je persévérai à prendre contact avec lui. Lors de l'âge où mes parents me considéraient comme un adulte, ils me mirent à la rue, en m'expulsant du domicile familial.
Je me mis alors à vagabonder avec cet homme de la ville, mais lors d'une nuit dans une forêt peu sûre, nous nous fîmes capturés par un groupe de bandits. C'est alors qu'ils furent déçu du pauvre butin. Furieux, ils hésitèrent à nous abattre, mais grâce à mon élocution et mon éloquence, je pus protéger nos vies et, contre mon gré, de base, nous rejoignions ce groupe de bandit. Nous n'avions rien à part cela, il fallait bien que nous puissions survivre, n'est-ce pas ?
Je pris alors le mode de vie des bandits, par survie. Mes premiers pas dans cette nouvelle vie n'était pas des plus amicales. Je me répugnais à faire du mal aux autres mais cette nouvelle éducation me corrigeai et cette nécessité de vivre me changeai et me permit d'être moins sensible à cette douleur des autres. J'appris également à me battre à l'épée, je n'excellais pas parfaitement, mais je savais me défendre.
C'est alors que notre chef, après trois longues années en leur compagnie, se mirent à piller un village, malheureusement, personne ne survécu de notre côté... et ce fut la fin de notre groupe.
Je me réveillai, l'incompréhension totale résidai en moi. J'ouvris les yeux, j'étais vivant. Je n'y comprenais rien. Les flammes de cette ville, coincé dans ce bâtiment. Tout cela semblait réel. J'étais seul, je me mis en route, et j'appris ce que j'étais, un remortel. Je me mis alors en route vers l'Ordre d'Herobrine, probable lieu de recherche et de compréhension de ce qu'il s'était passé en moi.
Cet étonnement prendra fin au moment où je comprendrais.
Présentation du joueur
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Au commencement était deux êtres idylliques,
Qui suivaient isolément leur charmille dramatique.
Cette paire possédait des capacités cosmiques
Mais ne purent échapper à l'arsenal toxique
Conduisant à n'offrir que trop peu de ces repos flegmatiques.
Les deux corps divins essuyèrent alors de nombreuses meurtrissures ésotériques.
Une aubaine fit croiser ces deux trimards
Et les deux dieux s'offrirent un regard qui fit lever le brouillard.
Nul ne saurait dire si au travers de cet échange bavard,
Si leur yeux avait déjà pu voir leur ombre mutuelle dans un tout autre hasard.
L'un possédait un vent unique qui savait transporter la bonté et l'arborer tel un étendard.
L'autre était jonché de brasier qui offrait une lumière à la volonté revigorante tel un phare.
Quand bien même les nombreuses commotions.
Ils se sourirent mutuellement sans aucune interrogation.
Et ces fous offrirent leur confiance mutuelle à cette conversation.
Égrotants, mais la confidence fut précipitation.
L'air était d'une douceur sans nom qui procurait une quiète satisfaction.
Les flammes étaient d'une lumière où se dressaient d'ardentes crépitations.
[...]
Addiction certaine et sentiments qui jaillirent.
L'homme ardent apprit à chérir la neige du navire.
A contrario, la dame de glace discrète ne laissa que sourire.
Enivrés par un bien être qui va sans-dire.
Les flammes se turent pour ne pas faire souffrir.
Humiliations passées se voilèrent pour ne pas ternir.
Majestueuse reine non dupe
Clama à l'entourloupe.
Obéissant, il affirma sa lumière.
Progressivement, il éteignit leur ère.
Apeurée, elle s'écarta du chaud.
Gelée, elle ne voulait fondre illico.
L'ombre malsaine du brûlé gagna sa véloce croissance.
La balance à pendule de la congelée perdit sa stagnante place.
Détestant le chaud.
Elle ne voulait plus de bas.
Abhorrant le froid.
Il ne voulait plus du haut.
L'horlogerie chercha à retourner à sa précédente case.
Le spectre tenta de contenir sa pulsion tourmenteuse.
Tout et rien les séparèrent.
Un et tout les réunirent.
Une tentative de réparer leur dû.
Seul le drame est survenu.
Le cœur gelé devant les airs condescendants.
Le balancier déraille.
Le cauchemar trésaille.
Le cœur ardent derrière un esprit dissident.
"Disparais pourriture."
"Ta vie n'est pas mienne."
"Laisse moi loin de ta haine."
"Tu ne causeras plus de blessure."
Des chuchotements qui font taire.
Cette répulsion n'est ni pour chaleur ni pour air.
L'arsenal s'agite dans cette faiblesse.
Se délectant de sa laisse.
Ce qui les sépare n'est qu'un mur.
Pauvres âmes.
Seul face aux armes.
Ils ne sont que pâture.
Le tas de cendre murmura d'une faible voix
Mais l'amas de neige n'en montra aucun émoi.
Les échos contre la froide résonnèrent dans son dos.
Les bruits n'étaient audibles que par le chaud.
Le flocon ignare les pensait clément.
La flamme instruite n'y voyait qu'un diamant.
Affaiblis et démotivés, leur drap s'était échappé.
Persévérance et espérance, leur porte fut renforcée.
Pyromancien impétueux jeta son sang vengeur.
Cryomancienne réservée reçue les censeurs.
Culpabilité masculine.
Absolution dans la bruine.
Élan de rage pour l'éveil.
Du volcan au soleil.
Distance prise pour elle.
Nécessaire pour la garder belle.
Alors...
Pour l'intégrité de la relique,
Au commencement était deux êtres idylliques.
[...] A SUIVRE TINDINDIN [...]
(En attente d'inspiration)
PTN JUI DUPER ALED MDRRR