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Dans une canopée antique, un Sage s'élève, se faisant porteur de la flamme d'une Oracle disparue. Félicitations à Yazor qui passe Sage !

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  • Banni Nameloth

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  • Fonction

    Banni

    Race

    Mortel

    Sexe

    Indéterminé

  • Ampoule alluméeAmpoule alluméeAmpoule alluméeAmpoule alluméeAmpoule alluméeAmpoule allumée
  • Réput. HRP

    Présence

    772 heures

    Réput. RP

  • Histoire du personnage

    Mon nom est Nameloth Neraën Dò’Oldrìck Falmari, fils de Nerar et Elaën Dò’Oldrìck. Je suis né, il y a de cela bientôt 145 printemps, dans une cité Elfique maritime nommé Tirïande. Cette dernière était de loin la plus majestueuse et grandiose d’entre toute. Un véritable phare au cœur d’une épaisse brume. Son architecture ancestrale, ses sublimes archives et son sanctuaire hiératique rendaient cette cité incontournable pour tout elfe en quête d’un savoir quelconque. Mon père était une personne très respectée au sein de la communauté culturelle de Tirïande. En effet, lui et dix autres elfes remplissaient le rôle de gardien du sanctuaire. Chacune des onze tribus Elfique envoyaient un mandataire afin d’occuper le rôle de gardien. Ainsi, les onze tribus étaient représentées de façon égale et adéquate en ce lieu sacré. Tirïande était sans aucun doute la cité Elfique la plus calme d’entre tous. Là où une ambiance de paix régnait en tout temps. Peu importe le moment de l’année. Même lors des rares visites des monarques de royaume lointain, venant admirer le savoir Elfique de leurs propres yeux. Lors de ces inhabituelles visites, Tirïande resplendissait d’une beauté encore plus marquante qu’à l’ordinaire, sans qu’aucun effort n’y soit déployé. Peut-être était-ce là que le fruit de mon imagination encore fertile de jeune Elfe approchant de ses 60 années. Contrairement à mon frère ainé ou ma sœur cadette, qui étaient tous deux profondément passionnés par les croyances spirituelles de notre peuple, j’étais de mon côté un fanatique d’architecture et de politique. Deux sujets qui marient d’une façon plus que douteuse. Afin d’assouvir ma soif de connaissance toujours grandissante, je passais le plus clair de mon temps libre, la tête au-dessus de gros livres poussiéreux, déterrés d’une quelconque bibliothèque de la cité. Mes temps de loisirs étaient très fréquemment entrecoupés de visite au sanctuaire. Non pas de mon plein gré, bien évidemment, mais d'après la volonté de ma figure paternelle. Celui-ci désirait plus que tout transmettre ses valeurs à tous ses enfants. Cette idée ne m’enchantait guère à l’époque. Seulement aujourd’hui, je remarque cette lacune… Et croyez-moi, je regrette amèrement. Ma centième année est arrivée beaucoup plus rapidement qu’escomptée, sans que pour autant mes deux passions me quittent, au grand regret de mon père. Au fils des 20 dernières années, de nombreux évènement important ont marqué la cité, notamment une visite des plus insoupçonnées. En effet, les quatre empereurs de Stendel, l’un des royaumes voisins fessant parti des plus puissants et influant, foulèrent pour la première fois les rues de Tirïande. L’un de ces empereurs, Pyrix de son nom, était réputé pour être l’un des meilleurs architectes de notre ère. Nombreux ont été formés par ce dernier et tous sont devenus, comme lui, des architectes de renom. Cette particulière journée fut de loin l’une des plus mémorables, encore à ce jour. Comme à mon habitude, j’étais attablé à l’une des nombreuses tables de la bibliothèque, près du manoir familial, un livre d’architecture entre les mains. L’espace d’un court instant, mon regard fut attiré vers une personne ce tenant au centre de la pièce grande circulaire, tête en l’air, regardant attentivement le dôme fessant office de plafond. Sans me regarder, ce dernier débuta une conversation ayant pour sujet l’architecture de cette bibliothèque, pourtant banale comparé à certaine ce trouvant ailleurs dans la cité. Ainsi continua cette discussion pendant plusieurs minutes, avant que ce dernier ne quitte la bibliothèque, tout aussi silencieusement qu’à son arrivé. C’est seulement peu de temps après son départ que j'eus réalisé que Pyrix lui-même se tenait devant moi. Cette journée marqua de façon définitive ma mémoire et scella dans le marbre mes prochaines décisions. Quelques années passèrent avant que mon choix définitif eus été fait. J'envisageai de plus en plus sérieusement le fait de quitter Tirïande vers le royaume de Stendel afin d’y amorcer mes études d’architecte. Il ne me fallut qu’un très bref moment de sérieuse réflexion avant de faire un choix. Le jour suivant, je marchais pour une dernière fois, bissac sur le dos, dans les rues de Tirïande, contemplant cet époustouflant paysage défiler autour de moi, puis au loin, une fois le bateau ayant quitté le port. Le voyage fut très long, mais se déroula sans encombre. Le navire me transportant arriva au port de Stendel peu avant le coucher du soleil. Me permettant ainsi d’admirer l’œuvre la plus populaire de l’Architecte Pyrix : Le palais de Stendel. Ce dernier a été construit au sommet d’une montagne abrupte, augmentant de façon considérable le sentiment de grandeur se dégageant de ce bâtiment. Après quelques minutes d’observation Je me mis en route vers l’auberge du coin afin de m’y reposer. J’ai profité de ma première semaine au sein de la capitale afin de visiter les endroits dignes d'intérêt. Plus j’avançais dans les étroites rues de Stendel, plus je remarquais l’énorme différence entre le mode de vie des Humains et des Elfes. Non pas seulement en termes de bâtiment ou quoi que ce soit d’autre en rapport à ce domaine, mais bien au niveau de leur rythme de vie. Il n’était pas rare de voir les habitants courir dans tous les sens, ou encore à la recherche d’un quelconque raccourci afin de sauver quelques secondes de leur « précieux temps ». Très rare était les autres personnes suivant mon rythme de déplacement. C’est seulement au courant de ma deuxième semaine j’ai osé daigner visiter le palais des empereurs. C’est lors de cette même journée que les empereurs de la cité organisaient une petite cérémonie, afin d’officialiser l’inauguration de l’académie de chevalerie. Seul les personnes ayant été désignés préalablement par les empereurs allait être autorisé à devenir chevalier de Stendel. Après cette cérémonie pour les moyens ennuyante, je suis resté quelques minutes à contempler l’architecture de la salle des trônes. Fixant inlassablement le plafond cathédral de l’endroit, observant les moindres petits détails des nombreuses fresques s’y trouvant. C’est à ce moment qu’une voix familière s’éleva à l’autre bout de l’immense salle. Non loin des trônes se tenait l’empereur Pyrix. Il avança en ma direction, d’un pas lent et gracieux, tout déblatérant quelques informations de la structure de ce palais. La conversation continua ainsi, non pas quelques minutes, mais bien quelques heures. C’est à la toute fin de cette discussion que l’honorable architecte me proposa d’apprendre l’architecture à ses côtés. Cependant, en raison de mon rang social inexistant au sein de la capitale, Pyrix dû octroyer le droit d’entrer à l’académie des chevaliers. C’est ainsi que, de fil en aiguille, je parvins à me hisser au sommet de l’échelle social de Stendel en un claquement de doigt. Il me fallut plusieurs années de dur labeur afin de parvenir à compléter mon apprentissage à l’académie des chevaliers. Cependant, les sacrifices et l’énergie investis en valaient bien la peine. Grace à mon implication constante au sein de la communauté de la capitale, je reçu, en plus de mon adoubement, le titre de scribe de Stendel. Me permettant ainsi de représenter les empereurs lors d’affaire officielles au sein des différentes cités du royaume. Mes premiers mandats ne furent pas aussi palpitants que prévu, loin de là même. Ils consistaient généralement à de simple petite visite de courtoisie, destiné à souhaiter les meilleurs vœux de mariage, de la part des empereurs, à une quelconque famille de noble hors de la capitale. Après quelques mois de déplacement au sur le territoire de Stendel, mon premier vrai mandat me fut donné, par nul autre que Pyrix lui-même. (Le hasard fait bien les choses quelques fois.) J’étais chargé de veiller à l’expansion territoriale de Port-Estroit. Un petit village composé de quelques familles de fermier, situé à près de dix cycles au nord-ouest de la capitale. L’empire Stendelien souhaitait y installer un poste de reconnaissance avancé, ainsi qu’un immense port afin d’y amarrer sa flotte de navire marchand. Par le fait même, Port-Estroit serait l’endroit idéal, selon Pyrix, pour établir un comptoir commercial d’envergure au vu de la distance la séparant de la capitale. C’est sur ces ordres que moi et quelques architectes de Stendel quittâmes la capitale en direction de Port-Estroit Notre voyage dura d’avantage que seulement les dix cycles prévus par les scribes de la capitale. Ces quelques journées supplémentaires m’ont permis d’en apprendre d’avantage sur mes compagnons de mandat. Ils étaient pour la plupart issus de noble famille de Stendel, tous plus importante les unes que les autres. Il fut facile de deviner comment ils avaient atteint un tel rang au sein de la Stendel. À notre arrivé, une majorité des villageois s’étaient rassemblé sur la petite place qui fessait office de marché. Ils avaient sans doute été prévenu de notre arrivé imminente par une quelconque chauve-souris en provenance de la capitale. L’état déplorable de ce petit coin de pays me laissait présager une tâche bien plus ardue que je ne l’imaginais au départ… De nombreuses années se sont écoulées depuis le premier bloc mit en place dans ce petit village qu’était autre fois Port-Estroit. Avec l’aide de mes confrères architectes de nombreuse infrastructure ont été érigées en un temps record ! Après quelques années seulement, Port-Estroit possédait un réseau de route convenable, des aqueducs fonctionnels et plusieurs bâtiments publics ! Plus le temps défile, plus Port-Estroit devenait imposante. Tant de façon physique qu’en termes de réputation. Très rapidement, elle est devenue un véritable phare du commerce au nord de Stendel. La construction des dernières maisons de la cité arriva très rapidement. Il était désormais inutile de réquisitionner un aussi grand nombre d’architecte pour « si peu ». Ainsi, tous mes confrères architecte quittèrent Port-Estroit, en direction de Stendel. Moi seul resta entre les murailles de la ville afin d’y diriger les quelques rares chantier restant. Il faut avouer qu’au cours ses longues années de service, je me suis fortement attaché à cette ville. Bien plus que je désire l’avouer. À mon retour dans la capitale, tout comme mes précédents confrères ayant travaillé sur Port-Estroit, je fus remercié de mes services et ainsi obtenu le droit d’aller exercer mon métier d’architecte là où bon me semblera. C’est ainsi que Port-Estroit devint mon lieu de résidence. Cinq années plutôt mouvementé suivirent cette délocalisation. Dans un premier temps, les citoyens de Port-Estroit nommèrent à la tête du gouvernement mit en place peu avant mon départ pour Stendel « en guise remerciement pour service rendu ». Malgré mes arguments contre cette idée, les habitants insistèrent pour me donner le ce poste qui « me revenait de droit ». Je n’ai eu nul autre choix que d’accepter. Il m’a aussi été donné, toujours lors de ces cinq années, le droit de rencontrer l’une des plus merveilleuse femme de Stendel. Une jeune elfe nommée Aredhel. Je remercie les dieux à chaque jour d’avoir permis cette rencontre, sachant que quelques années après notre rencontre, cette dernière m’offrait sans nul doute le plus merveilleux de tous les présents : deux petites filles. Numië et Eäris de leur prénom. Me voici donc, entament ma 142ème années, dirigeant d’une ville prospère, père de deux merveilleuse jeune fille et aux côtés d’une femme remarquable. Afin de marquer mon anniversaire, Numië et Eäris offrirent un petit pendentif. Deux petites pierre, l’une d’elle cyan et la seconde blanche, le tout attaché de façon artisanal à une petite cordelette. Quel merv… [La phrase semble avoir été précipitamment terminée. Quelques tâches d’encre et de sang séché sont visibles près de la dernière ligne] [Un petit parchemin, visiblement écrit plusieurs années plus tard, semble avoir été ajouté aux précédents.] Mes souvenirs sont troubles à partir de ce moment. Les rares encore présent au creux de ma mémoire ne sont qu’un mélange amère entre les cris des citoyens de Port-Estroit et les pleures des enfants, déambulant dans les rues enflammées de la cité portuaire à la recherche de leur parent, sans nul doute déjà mort à ce moment. La cité était visiblement assiégée. J’ignorais non seulement tous des motifs de cette attaque, mais aussi j’ignorais aussi quel empire était derrière tout cela… N’étant malheureusement pas entrainé au combat rapproché, je ne fis pas énormément de ravage aux lignes ennemie… Au contraire même. Le seul souvenir me restant de cette bataille, est mon visage touchant violement le sol boueux, regorgeant de sang. Puis une vive douleur au niveau de l’abdomen. Je venais d’être atteint par une quelconque lance ennemie. J’ai fermé lentement les yeux, dans l’espoir faire taire cette douleur poignante me déchirant le ventre… Puis, soudainement, plus aucune douleur. Seulement une bourrasque de vent me fouettant le visage. J'ouvris rapidement les yeux pour m’apercevoir que j’étais en chute libre, descendant à une vitesse folle vers un petit lac ce trouvant directement sous ma trajectoire. C’est sans avoir réellement le temps de me préparer, que mon corps tout entier se retrouvait immergé dans l’eau glacial. Je réussis à nager vers la berge, puis à me trainer hors de l’eau. J’étais non seulement en vie, mais je n’avais plus la moindre trace de ma précédente blessure. Sans savoir réellement où j’étais, je me levai d’un pas très peu stable, complètement déstabilisé. Mon regard fut attiré par une étrange structure reposait devant moi. La forme de cette dernière me rappelait brièvement une… Sorte de huit déposé sur un socle de pierre. C’est sans réellement savoir à quoi m’attendre, que je suivis ses structures vers un avenir pour les moins incertains.

    Présentation du joueur

    Bonjour à vous ! J'imagine que si vos yeux parcourent ce texte, c'est que vous désirez en savoir un peu plus sur l'homme derrière Nameloth. Pour bien débuter cette présentation, je suis Québécois. J'habite dans la grande région de Montréal. C'est d'ailleurs dans cette même ville que j'occupe de le poste d'Architecte dans un petit bureau. Je suis sur Minecraft depuis déjà cinq ans (soit dans les débuts de la Alpha). Herobrine.Fr a été le premier serveur rôle play sur lequel je me suis inscrit. Inutile de vous dire que je me suis immédiatement attaché à ce serveur (Voilà sans doute pourquoi je suis encore ici aujourd'hui). Au plaisir de discuter avec vous dans un futur proche! ------------------------------ Nom de compte minecraft : Neraen
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