Maeldrinne et Barneim Von Balthier, deux amants ayant vécu d'une passion fusionnelle, eurent un jour une fille nommée Nahlya . Ils vivaient tous les trois à l'abris des mauvaises influences de la ville à la demande de Barneim, qui voulait le meilleur pour sa fille, répétant sans cesse que vivre dans un milieu de stress n'était jamais bon et cela à tout âges. Malheureusement vivre loin de la ville signifie aussi loin de médecins et autre guérisseurs, et les herbes donnée par Barneim à sa femme ne faisaient plus effet et elle se fit rattraper par la mort. Barneim fut attristé, atterré, mais ils se répétait sans cesse que c'était des risques inévitables et portait maintenant toute son attention sur sa fille pour éviter de repenser à la mort de sa femme. Le jour de ses douze ans Nahlya demanda à son père: "Papa, pourquoi somme-nous loin de tout?" et le père répondait:"Nous ne somme pas loin de tout, si par tout tu entends les villes, les magasins, il faut aussi que tu entende les forges, là où les armes son fabriquées et les casernes, là où les armes tuent...","Ce sont les armes qui tuent? Alors la maladie, c'est une arme?", le père se mit à sourire pour ne pas échapper de larmes et répondit: "non, ça n'en est pas une, et voilà un ici un grand paradoxe de notre monde, nous vivons avec la peur de mourir dans un environnement mortel, mais il nous suffit de comprendre comment le monde est fait pour enfin voir sa beauté, viens avec moi, je vais te monter la beauté de la nature". Parcourant les chemins forestiers et perdue dans les histoires de son père, Nalhya ne fit pas attention à la présence ressentie derrière elle et puis plus rien, un vide immense pas même le temps d’émettre un cri, du points de vue de son père, la scène était intenable, 3 hommes se tenant derrière sa fille dont l'un tenant un poignard planté dans le crâne de sa fille, la dernière personne au monde qui lui restait, le temps de réagir les hommes étaient parti l'image de sa fille morte devant lui le fit fuir, les armes qu'il évitait sont venue à lui, ne cherchant pas à comprendre la raison de l'acte de ces hommes, cela n'avait plus d'importance avant de mourir, pour lui, maintenant il était déjà mort, et dans sa folie mêlée de panique il sauta de la falaise la plus proche. Il rouvrit les yeux se voyant devant sa maison, tout était réel, trop réel, il se souvenait de sa chute mais ne comprenait pas ce qu'il faisait ici, il avait un souvenir étrange d'un lieu sombre et terrible et malgré qu'il ne ressente aucune peur il ne voulait pas y retourner par crainte de quelque chose, il sentait au fond de lui la lourde peine de ne pas mourir et en même temps il se rappelait du regret qu'il avait pendant sa chute, celui de n'avoir jamais affronté le danger pour lui et pour ses proches, il se donna alors trois missions: comprendre ce qu'il lui arrive, affronter le danger et le comprendre et enfin découvrir la raison du meurtre de sa fille, dans ses recherche il fit la découverte de l'ordre qui était composé de gens comme lui qui étudiaient "Le Mythe d'Herobrine", Bien que son isolement des autre le rendait un peu gras et lointain, il savait qu'il devait faire son possible pour communiquer avec les autres ainsi que de collaborer avec eux.

En attente.