Bonjour, je suis Anearisse Denesis , un Profane parmi tant d'autres. Je vais vous expliquer comment je suis arrivé dans ce que je peux appeler l’Ordre et ensuite mes débuts dans l'Ordre. Je ne sais que très peu de choses à propos de cela car les rues sont silencieuses. Mais je vais vous raconter mon histoire étant enfant. Je suis né d'une famille bourgeoise, mes parents m'ont appris les bonnes manières, les gestes à observer auprès des autres familles. Tout cela me déplaisait, je ne devais en aucun cas parler à une autre classe sociale, mais un beau jour, dans le grenier de mon grand domaine je vis une carte qui attira mon attention, elle partait de l'emplacement de mon domaine jusqu'à une petite maisonnette dont le propriétaire avait fait un croquis ... Mais en restant dans cette vie, bien au chaud sous les couvertures de mon lit, je ne pourrais jamais accomplir mon rêve tant désir. Je pris dans une nuit sombre, mes plus beaux affublements et de quoi me nourrir pendant plus de deux cyclames puis je sortis dans la brume. Cauchemardesque était cette nuit, je traversais des fleuves, des marais, des prairies et même un désert quand soudain étant affamé et assoiffé, la tête tournante je vis une maisonnette, celle dessinée dans la carte du grenier. Remettant la carte dans ma poche, je m'avançais tel un loup pas après pas plus silencieux les uns que les autres et puis jetant un coup d'œil à travers la porte je vis un homme, un vieil homme. Apeuré, je fis immédiatement demi-tour mais quelques pas après dans mon esprit cela n'était pas digne d'un archer que de battre en retraite lors d'un danger. J'ai donc frappé à la porte ... Il se retourna lentement comme peu surpris de ma venue. Il me dit : "et bien, qu'est ce que tu ressembles à ton père ..." Sur le coup, je ne compris point un mot et j'ai haussé les sourcils en signe d'incompréhension. Il me dit d'un ton apaisé être mon grand-père. Alors tranquillement je tira une chaise de la table principale et lui posa un bon nombre de questions. Parlant des heures le soir et après avoir manger une bonne soupe de poireaux et bu un grand bol de jus de citrouille... Je pris une bonne nuit de sommeil dans sa maisonnette devant le feu encore allumé par des braises. Quelques Septiels passèrent, toujours en train de rigoler, boire des pintes de bière, poser des questions sur son passé ... Un matin, ce maudit matin, venant me réveiller dans mon sommeil profond, il me dit : -Anearisse, je dois te montrer quelque chose ... -Qu'est ce qu'il y a, grand-père ? -Peux-tu me suivre ? J'ai quelque chose d'important à te montrer, ma cachette secrète comme j'aime l'appeler. -J'arrive dans ce cas. Descendu de mon lit, je suivis mon grand-père et il se dirigea vers la petite bibliothèque dont j'avais l'habitude de lire les romans et me demanda de m'écarter de quelques mètres et là ... [*il pris un livre de couleur rouge en bas à gauche de sa bibliothèque et une partie du mur s'entrouva, laissant la place de passer dans un passage étroit *] Au fond de se petit chemin étroit, je fût fort étonné lorsque je vis un atelier, une forge m'a t-il dit ... Et au milieux sur un cousin à l'abri du regard se trouvais un arc, un arc avec un aspect brillant et le bois étaient... comment dire ... vivant, cette couleur plutôt violette bougeait tout autour de la parois du bois. Il me dit d'un air soulagé et très sincère : J'ai dépense énormément de temps, d'énergie et je souhaite te le donner en signe d'héritage. Très surpris de son choix, je resta figé sur cet arc, comme hypnotisé par sa couleur. [*il prit l'arc à deux mains et me le tenda, souriant et ayant l'air serin et sur de lui*] Alors je pris cet arc... ce fabuleux et mystérieux arc, mais la premier question qui m'ai venu est : pourquoi me le donner grand-père ? Il souffla, semblant savoir que j'allais lui poser cette question. [*il posa sa main sur ma tête et dis :*] Anearisse, je vais devoir partir, le devoir m'appel et ... qui sait, si je reviendrais un jour. Le suppliant je refusais qu'il parte, je n'avais jamais été aussi apaisé que lorsqu'on été ensemble et d'un seul coup il me dit qu'il partait et que j'allais rester tout seul ... Ce moment me marqua à vie, des million de question me venais à l'esprit pourquoi ?, pourquoi maintenant ?, pourquoi moi ? Tant de question sans réponse ... La seul réponse qui me dit est: si je reviens pas avant 5 septiels, cela voudrait dire que je ne reviendrais pas ... Il me caressa la tête et dis : j'ai confiance en toi Anearisse et retourna les talons et parti en lançant un dernier regard en arrière. ------- Mais au bout de 5 septiels en attendant tout les jours sur la même fenêtre, mon optimisme était au plus bas, et je savais pertinemment qu'il ne reviendrait plus ... Quelque jours plus tôt je vis une seconde carte qui ressemblait étrangement à la premier, mais la destination était pas la même. Un croquis d'une île volante et d'un nom était marquer, il y avait marquer "l'Ordre" ne savant absolument pas ce que cela voulais dire, à la fin des 5 septiels en pleurant toute les larmes de mon corps, je parti une seconde fois à la recherche d'une chose dont j'ignorais l'existence... Je parti alors avec mes affaires, mes quelque bouteilles d'eau et mes quelque semblant de nourritures mais aussi l'arc dont je prêter attention à chaque instant de mon périple , et me lançant en quête de l'île. Plusieurs jours passèrent et mon espoir s'effondrait de plus en plus. Rien autour de moi, le néant, aucun semblant de vie, appart des dalles en formes de huit, mais rien de plus. Assoifé et affamé des milliers de paysage traversé, ma vu diminué de plus en plus, ma visibilté était faible et dans ma tête une sensation de mal aise était présente. Et au loin après 1 septiel de marche intense et en ayant les chevilles et les pieds en sang, je vis une île, une île volante ! Je voulais courir mais les forces me manquaient. Arrivé presque au bout de mon périple j'aperçu une personne, une personne et avant que je ne puisse la regarder, je suis tombé, perdant connaissance au regard de la personne, à bout de mes réserves et de mes forces. Le lendemain, je fut réveillé par une personne possédant un masque, un cri de peur sorti de ma bouche mais il me mis sa main sur ma bouche pour me dire de me taire, c'était un individu,il m'expliqua où étions nous. Je lui demanda alors où était mon arc, affolé de ne point le voir et il me montra derrière lui, mon sac ou était posé l'arc magique. Il me donna à manger et m'enseigna les bases de cet ordre et depuis ce jour, j'explore découvre et essaye de comprendre les mystères du mythe, qui se rapportent toujours au même mot : Herobrine ...

---