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Une main gantelée écarte le rideau des ombres, mandatée par le Triumvirat, l'Ecarlate Sylkabe impose le respect du Dharma, de gré, ou de force.

  • Profane Douglas

  • Aucune citation.

  • Fonction

    Profane

    Race

    Humain

    Sexe

    Indéterminé

  • Ampoule alluméeAmpoule allumée
  • Réput. HRP

    Présence

    7 heures

    Réput. RP

  • Histoire du personnage

    Chapitre premier : Des temps difficiles. Il fait froid, je n'en peux vraiment plus. Personne ne peut aider un jeune garçon j'imagine. Ils sont tous occupés à leurs occupations vacantes; certains chantent, et les marchands vendent. C'est un jour plutôt normal pour eux j'imagine. Je ne suis qu'un enfant, un enfant qui ne devrait même pas traîner dans les rues. Mes parents me manquent, tout me manque, j'étais heureux avec eux, mais au fond je souhaitais partir. Je ne pouvais plus supporter toutes ces longues journées, tout cet enseignement. On pourrait même penser que c'était une chance d'avoir tout ça rien que pour moi mais je vous assure que personne n'aimerait recevoir ce genre d'éducation où l'on vous pousse à bout. Un jour, alors que j'essayais de dormir comme je pouvais, une voix m'avait réveillé. « Petit, si tu ne veux pas crever comme ça, tu devrais te bouger et faire quelque chose. » « Qui me parle.. ? » disais-je d'une voix faible et à peine en forme. C'est vrai quoi, je suis très jeune, je ne devrais pas travailler. Il n'y a que les adultes qui travaillent. « Molly ! Je prends ce gosse avec moi ! », comment ça me prendre ? J'aimerai seulement être tranquille, dessiner... jouer, m'amuser… Et surtout cuisiner ! Mais je n'avais pas eu le temps de dire un mot qu'elle m'avait déjà embarqué. « Qui êtes-vous ? demandais-je. - Élisabeth petit. - Vous savez, ça ne m'aide pas beaucoup.. et puis je ne veux pas être avec vous moi, j'étais bien sans vous ! - Tu veux vraiment mourir à ton âge ? - Bah.. Non, mais je vais vivre. - Et bien, tu ne manques pas de mordant petit. - Je ne suis pas petit d'abord. Et puis j'attends toujours votre réponse. - Et bien, tu ne manques pas de mordant petit. - Je ne suis pas petit d'abord. Et puis j'attends toujours votre réponse. - Je l'ai dit. Élisabeth, marchande de renom à La Capitale. Maintenant à moi de te poser quelques questions. disait-elle, toute souriante. - Treize ans. - Très bien.. merci de répondre avant même la question.. ton nom ? - Douglas m'dame. Je veux devenir un grand cuisinier ! - Tu ne manques pas de culot non plus, j'aime bien. » La discussion pouvait continuer comme ça pendant des heures et des heures, mais elle m'avait emmené dans une taverne, drôle d'endroit pour un jeune... « Deux chopes, et un verre de jus de fruit pour ce gosse. » « Tout de suite m'dame », il y avait plutôt une bonne ambiance, très peu de gens, un peu de musique, et surtout une chaleur réconfortante. C'était très agréable, mais maintenant, je devais demander à cette femme pourquoi elle m'avait prise avec elle. « Dites... Pourquoi m'avoir pris avec vous ? » demandais-je tout timidement. « Aucune idée, je me lance moi-même un défi. On va voir si tu peux survivre plus d'une semaine avec moi. » « Un pari ? Mais je ne vais pas.. mais ça ne se fait pas ! Vieille peau ! » « Du calme, du calme petit ou tu retournes dans la rue. » « Ah non... », je refuse d'y retourner… Maintenant j'étais au chaud, et elle m'avait même payé un repas, c'était presque un luxe pour moi. Mais ça ne pouvait plus du tout durer j'imagine. À peine terminé mon repas, qu'on devait déjà repartir mais je ne savais pas où. Elle disait qu'elle avait quelques affaires à Horoy, qu'elle devait vendre quelques livres et qu'en plus de tout ça, elle souhaitait m'aider. Les mois passaient sans trop de problème, les affaires allaient plutôt bien et puis je me débrouillais mieux qu'avant. Je suis moins timide déjà et j'ai même réussi à vendre quelques objets ! Même si je pensais que c'était avec l'aide de Mark, un ami d'Élisabeth plutôt costaud. J'étais beaucoup plus heureux ! En plus, certains m'entraînaient au combat. Mais tout était trop rapidement passé, le genre d'affaire qui se passe mal, le genre d'affaire qui peut mal tourner et c'était le cas. « Ethan, ne bouge pas d'ici, si on ne revient pas, cours. Cours très loin, d'accord ? » disait Élisabeth, en me prenant dans ses bras. « Pourquoi.. ? Tu es forte de toute façon... Non... ? » « Bien sûr ! Tu me prends pour qui ? Allez, va te cacher. », puis plus rien. C'était là ses derniers mots. Chapitre deux : Une drôle de rencontre. Au fil des mois, je vivais comme je pouvais. Je travaillais dans les tavernes, enfin quand le temps me le permettait. Je faisais tout mon possible pour ne pas être abandonné, pour ne pas être traité de faible... je mangeais très peu, un morceau de pain me suffisait presque, même si l'on m'offrait par moment de la soupe. Je traînais sans but dans les rues, je pouvais observer ces personnes heureuses. J'entendais même assez souvent les gens parler d'une jeune personne avec beaucoup de talents, peut-être était-ce une chance pour moi. Je demandais alors aux gens s'ils savaient où est-ce qu'il habitait, mais rien à y faire. Qui souhaiterait de toute façon répondre à un enfant pauvre... et sale ? Cela faisait maintenant plusieurs jours qu'une taverne était habitué à me voir. En même temps, je pouvais m’y entraîner. Je pouvais rendre les gens heureux d'une certaine façon. Mais ce n'était pas suffisant pour me rendre heureux moi, ni même pour me payer quoique ce soit, alors je continuais encore et encore, me poussant cette fois-ci moi même à bout… Il était rare de voir une bagarre éclater au sein de cette petite taverne, mais ça pouvait arriver. Dans ces moments là, il valait mieux éviter un conflit direct. Et j'avais peut-être parlé trop vite. Un soir, alors qu’on m’ont m’avait autorisé à faire le repas, une fois celui-ci servit aux clients habituels, un homme qui sentait déjà assez fort l'alcool, me hurla dessus. "Eh l'ptit piot, tu peux pas me préparer un truc mieux qu'ça ? Les gosses d'vraient tous nous servir mieux q'ça, nous les vrais hommes !" Je n'osais pas lui répondre tout de suite et personne n'osait non plus intervenir. "Je.. je fais de mon mieux..", d'habitude, je ne réponds pas à ce genre de personnes, je ne veux pas m'attirer de gros problèmes, mais cette fois je voulais me prouver à moi même quelque chose, mais c'était très irréfléchi de ma part. Alors, l'homme se leva, très en rogne, et surtout dans un sale état. "R'pète un peu pour voir gamin. - Je ne veux pas d'ennuies monsieur... - C'ment ça ? Il a peur ? - Oui voilà... - T'va voir c'que j'fais aux gosses qui manquent de respects." Il monta directement sur la scène, j'étais tétanisé, ne pouvant presque pas bouger. Alors qu'il commençait à m'approcher, une bagarre se déclara au sein de la taverne. J'avais très vite détalé dans les rues, courant comme jamais. Je ne voulais pas de nouveau faire peur aux gens, ou en décevoir, je refusais cette idée. Je courrais encore et encore, sans m'arrêter, repensant à mes parents, à Élisabeth, à tous ces moments dans les rues. Je ne pouvais plus m'arrêter, en souhaitant changer de direction alors que je venais de voir des soldats approcher de la taverne, je me rendais à peine compte que je fonçais droit dans un mur.. Une voix, “Mais comment est-ce qu’il est arrivé ici ?” disait vraisemblablement une jeune femme, à la voix douce et reposante. “Qu’est-ce que j’en sais, il est là enfin, ce jeune homme était dans une taverne lorsqu'il a déclenché une bagarre, même si ça m'étonnerait que ce soit directement de sa faute.” disait cette fois-ci un homme, à la voix plutôt rauque. Où est-ce que je pouvais bien être ? Je me souviens de très peu de chose à vrai dire. Je dois me lever et leur expliquer et... Soudain, une troisième voix était parvenu à mes oreilles; “Mère, est-il réveillé ?” “Pas encore ma chérie” “Ne bouge pas trop jeune homme.”, en effet, l’homme m’empêchait de trop bouger, j’étais allongé sur un lit quand j’ouvris enfin les yeux. Je pouvais enfin voir la pièce où j’étais installé. Une magnifique chambre, et quelques tableaux accrochés aux murs. “Il est temps de nous dire qui tu es.” demandait l’homme, d’une voix plutôt posée tout en se tenant face à moi. Je me réveillais alors lentement, et répondit d’une voix peu sûre, “Qui je suis.. ?”, riant légèrement, et se grattant la barbe, il rétorqua : “Oui. Je t’ai tout de même accueilli chez moi.. Alors que j’aurais pu t’abandonner à ton propre sort. - Vous auriez dû le faire, disais-je d’une voix lasse. - Woh… tu es déjà autant dépressif ? Luc pour te servir jeune homme. Derrière moi se trouve ma femme Livia, et Alexia ma jeune princesse. disait-il tout sourire.” Se trouvait alors non loin de moi, deux jeunes femmes, du moins celle qui était cachée derrière sa mère avait plus ou moins mon âge. “E-enchantée”, murmura la jeune Alexia, puis sa mère me demanda si j’allais bien. Je ne savais vraiment pas quoi répondre. Je m'efforçais donc de sourire, “Mmh.. je.. j’ai comme qui dirait passé un certain temps dans les rues..”, voilà fait. Je voulais maintenant être seul, sans voir personne. “Je réitère donc ma question. Que fais-tu ici ?” “Je veux devenir cuisinier de renom. Enfin.. j'aimerai en devenir un.. Depuis déjà un certain temps, j'en rêvais étant plus jeune.. en voyant les plus grands chefs !.” Un silence, puis un fou rire de la part de l’homme. “Ai-je dit quelque chose d’amusant.. ?” demandais-je. “Oh non, non.. Ne t’inquiète pas, mais tu es la première personne au monde à me le dire sans même réfléchir, du moins le seul enfant.” Mais tu sais, trouver un chef demande du courage, et une grande patience.” Comment est-ce que je devais prendre ça... ? "Est-ce que vous êtes un Chef vous... ?" "Oui... enfin pas trop à temps plein... eh eh” "Comment suis-je tombé sur vous.. ?" "J'avais simplement une petite soif, puis... J'ai vu un jeune homme foncer en plein dans un mur eh eh..." "D-désolé..." "Ne t'en fais pas." disait-il en soupirant, "Mais normalement, je ne devrais pas prendre un élève sous mon aile en temps normal.”

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