Je ne pensais qu'à marcher sur les traces de celui qui m'avait donner la vie. Bien que peu remplie, j'avais une très brève idée de ce que j'avais à faire pour la rendre plus riche et plus palpitante. Du danger, j'en avais été avertis par ses quelques récits et ils avaient fait naître en moi cette curiosité. Curiosité qui me consumé lentement. Je mentirais en disant que la relecture de mes correspondances calmé ces soifs d'aventures, mais c'est ainsi que je pouvais garder se cadre de vie calme. Je m'imaginais parfois prendre sa place dans l'une de ces belles aventures. Sauver un village Nezloyan, parcourir les terres à la recherche de quelques livres rares et uniques. La dernière que j'avais reçu m'avait, contre toute attente, laissé un goût amer. Elle ne semblait pas venir de la personne qui m'avait tant et tant compté ses aventures. L'affront aurait été de penser que l'écriture provenais d'un cerveau malade et dérangé, car de cela aussi j'en avais été avertis. La calligraphie restait malheureusement la même que les autres, son contenu seul changé, je devais me faire une raison, quelques chose de terrible était en train se produire. Jusqu'à présent, les quelques alertes de folie décrite brièvement dans les correspondances me permettait de croire d'avantage à ses témoignages, et ne faisait que rajouté plus de réalisme aux contes. Ainsi, j'avais pensé que les récits avaient été enjolivé pour les rendre plus agréable et passionnant à lire. Le temps passait, et je n'avais plus de nouvelles. J'attendais des réponses à mes lettres, mais aucune n'arriva. Mordaan, l'être qui m'avait fait naître... M'avait il oublié, ou abandonné ? Je ne pensais qu'à marcher sur les traces de celui qui m'avait donner la vie. Il était peut-être temps pour moi de savoir pourquoi je n'avais pas de réponse à mes questions. Il était peut-être temps pour moi de connaitre la vérité, même si celle-ci était difficile à concevoir : " Pourquoi et surtout comment était il mort ? " Je prenais quelques affaires. Le nécessaire pour voyager confortablement et sereinement. Mes lettres étaient suffisamment fournie en détail pour trouver l'Ordre, sinon le village Nezloyan auquel j'avais été confié à ma naissance. Je les rangeais soigneusement dans un des plies de ma veste et prit la direction du nord.

En attente.