La citadelle de pierre d’Armantur, un bastion pour les aristocrates au beau milieu des terribles marécages de Lustor, un monde totalement coupé du reste des marécages malgré sa position. C’est dans cet espèce de monde parallèle au reste de la région, lors d’une des nombreuses nuits froides de la devenue lugubre Lustor, que dans une des nobles familles régentes de la cité, vint à la vie un jeune garçon. Né dans la famille Jones Kilkelly Hawkins en tant que Cadet, Erifael, surnommé Eri par ses frère pour question de facilité, était donc le second enfant de la famille, ou en tout cas l’était de manière officielle, mais cette histoire là fut bien différente. Élevé dans l’aisance, ne connaissant pendant très longtemps pas la pauvreté, Eri en grandissant reçu, dans les plaisirs d’une vie dans les grandes places de la ville, une éducation marquée par la volonté des parents de faire de lui quelqu’un de mieux que son frère, pour une raison qui bien évidemment était échappait à ce dernier, il était toujours comparé à ce dernier, peu importe ce qu’il faisait, tant que son frère l’avait fait, il était comparé à celui ci pour le pousser à faire encore mieux, le père souhaitant peut être ainsi assurer un avenir brillant pour son cadet De cette manière, avec cette éducation, le jeune garçon n’eut jamais vraiment le temps de faire attention avec tout ce qui passait vraiment dans le monde autour de lui, gardant un candeur importante jusqu'à l’âge de ses quinze ans, ou le garçon qui habitué à sa condition de vie rencontra, un jour au seuil de la ville alors qu’il y marchait pour la première fois, un homme qui ressemblait à un voyageur, extrêmement mal en point. Poussé par son grand coeur, Dès qu’il l'aperçut, il se précipita pour lui venir en aide de manière efficace, venant soigner et cacher ce voyageur pour le protéger, le nourrissant comme il le pouvait sans être trop vu, il se lia ainsi d'amitié avec un homme à qui, il demanda, en l’échange de son aide, de lui rendre un service en lui racontant la vie extérieure. C’est ainsi, qu’en grandissant de plus en plus, arrivant sur ses dix huits ans, le jeune homme qui était destiné à devenir un riche noble à l’image de son paternel avait décidé qu’il voulait devenir un combattant, Maître d’armes itinérant, soldat ou alors aventurier cela il n’en avait que faire, tout ce que lui désirait c’était de découvrir tout en améliorant la maîtrise de l’arme exotique qu’il avait, dans le plus grand des secret commencé à maîtriser, et de ce fait, il donna sa vision des choses, indiquant que son frère perpétuerait la prestance et la noblesse de la famille et que s'il échouait, il leur restait encore un plus jeune, et se fit pitoyablement remettre en place par un père qui semblait hors de lui en lui disant que son grand frère était un incapable qui ferait d’autres affaires comme il l’entendait, mais qu’ils devaient à tout prix assurer un héritier. Ainsi, déterminé à avoir ce que lui voulait, il prit un temps pour apprendre à son cadet, benjamin de la famille, tout ce que lui savait. Néanmoins, quelque chose vint bouleverser sa vision des choses, même si lui ne le savait pas encore réellement. Alors qu’il allait mettre son plan à exécution, le jeune homme aperçu dans la demeure familiale, un visage qui lui était inconnu, et qui était auprès de sa chère mère. Néanmoins, déduisant qu’il s’agissait d’une servante, il n’en pris réellement compte. Mais cette arrivée avait eu des répercussions autres, et même sans réellement avoir le temps d’appliquer son plan, il avait eu de son père ce qu’il recherchait quand il avait demandé qui était cette personne, cette situation créant en lui quelques interrogations qui très vite disparurent. Terminant donc son éducation par un enseignement très stricte pour rejoindre l’armée et maîtriser à la perfection une arme qui était différente tout en étant semblable à celle qu’il avait précédemment appris à maîtriser. Eri Travaillait ainsi de jour pour maîtriser la première, et en cachette pour garder sa maîtrise offerte par l’aventurier le soir, finissant par atteindre son objectif vers l'âge de ses 22 ans, pouvant devenir un soldat, il eu enfin la possibilité de rejoindre les rangs de l’armée. Néanmoins, mis à part ces entraînements, sa vie ne fut pas rose non plus. La présence constante de la jeune inconnue auprès de sa mère réveillant en lui les interrogations vis à vis de la réaction de son père, et créant en lui une sorte de jalousie involontaire que cette femme puisse devenir à la place de son frère ou ai pu devenir à sa place l’héritière de ce commerce qui avait donné tant de valeur a sa famille, une jalousie qu’il ne pouvait qualifier d’autre chose que toxique pour sa santé mentale. Quelle ne fut sa surprise quand il vu la somme dépensée par sa mère, quand, quelques temps plus tard, celle qui était censé être une servante avait été blessée et était en dangers de mort. De plus, quelle ne fut la violence de ses pensées quand il apprit la vérité redoutée au sujet de celle ci. Tout du moins, de son grand coeur passé, parmis la jalousie et la haine, il restait des fragment, qui le poussèrent à émettre la possibilité de la faire mourir aux yeux de tous, et que celle ci puisse partir a tout jamais, sans dire que cela était en partie pour protéger l’héritage qu’il avait fait porter au benjamin. Néanmoins, quand le tout fut fait, après plusieurs mois les regrets attaquèrent le coeur d’Erifael qui depuis peu avait 24 ans. Et ces regrets firent de lui une loque pendant plusieurs jours voir semaines,un jeune homme qui restait la, pensif, parfois absent , réfléchissant, relevant des erreurs dans ses faits, le fait qu’il ai fait partir une femme seule malgré les dangers du monde racontés par son ancien maître d’armes, femme qu’il en connaissait de surcroît pas, et qu’il avait jugé et selon lui condamné par le seul fait de la jalousie. Et c’est ainsi, que bien longtemps après celle qui était son aînée, armé et plein d'espoirs prenant de quoi vivre si il survivait à la sortie du marais, il partit a la recherche de celle qu’il avait fait exiler, se forgeant ainsi, un avenir incertain, un destin différent de celui qui avait été tracé pour lui par son père et par sa famille tout entière

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