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Dans une canopée antique, un Sage s'élève, se faisant porteur de la flamme d'une Oracle disparue. Félicitations à Yazor qui passe Sage !

  • Compagnonne Eleisya Valenkio

  • Aucune citation.

  • Fonction

    Compagnonne

    Race

    Humaine

    Sexe

    Féminin

  • Ampoule alluméeAmpoule alluméeAmpoule alluméeAmpoule alluméeAmpoule alluméeAmpoule alluméeAmpoule allumée
  • Réput. HRP

    Présence

    2067 heures

    Réput. RP

  • Histoire du personnage

    -HRP- Vous trouvez un carnet. Certaines feuilles sont un peu cornées et certaines sont illustrées de dessins assez précis. Dans celui-ci est consignée la mémoire d’Eleisya, jour par jour. La plupart des pages ne comportent que quelques mots, beaucoup comportent des ratures. Certaines comprennent des détails que vous pourriez rattacher à ses voyages mais si vous tournez bien les pages, vous en verrez trois, bien lisibles et résumées. Aucune page n’est datée. Voici ce que vous pourrez y lire. --------------- Extrait premier --------------- Qui suis-je ? Je suis une jeune femme du nom d’Eleisya. Je suis une enveloppe vide qui ne comprend pas comment elle est arrivée là, ni pourquoi. Une personne sans souvenir et sans désirs, si ce n’est celui de survivre. Il y a quelques cyclames, je me suis réveillée dans une clairière ensoleillée, entourée par le paisible murmure du vent. Une douleur sourde me vrillait le crâne et le chant des oiseaux me paraissait comme étouffé. Alors que je touchais ma tête, j’ai remarqué qu’un bandage ceignait mon front. M’approchant d’une rivière pour regarder mon reflet, je n’ai vu qu’une jeune femme d’une vingtaine d’années, dont la tête portait une légère cicatrice qui s’estomperait bientôt. Une jeune femme sans souvenir de son passé. Une page vierge qui n’attendait que d’être remplie. Alors, j’ai simplement rangé les bandes de tissu dans une poche de ma cape, débarrassant ma tête de toute entrave et je me suis élancée dans la forêt. Il m’a fallu des jours et des jours de marche pour atteindre un semblant de civilisation. J’aurai pu croiser d’horribles créatures mais il n’en a rien été. Seuls des cauchemars sont venus déranger mes nuits. Des cauchemars j’en fais toujours. Sanglants, parsemés de lieux sombres et exigus. J’y erre sans croiser âme qui vive jusqu’à me réveiller, souvent en sursaut. Mais au moins ai-je à présent un lit et un toit. Je n’ai pas à vivre dans la peur, ou du moins, je l’espère. Qui sait donc ce que me réservera cet Ordre, qui me fournit le gîte… Extrait second ---------------- Qui suis-je ? Je suis une voyageuse et une artiste. Je suis une peintre qui arpentait les chemins de ce monde en quête de connaissances et de nouveaux paysages. Alors que la fièvre me quitte et que je reprends enfin mes esprits, je m’en rends compte. Je sais. Des années durant j’ai parcouru forêts, plaines, montagnes, îles et falaises. Des années durant je me suis déplacée de villages en villages, de villes en villes avec mes amis pour découvrir de nouvelles cultures, de nouvelles coutumes. Nous vendions tableaux et autres menus services pour subsister et continuer encore et toujours notre périple. Nous cherchions la nouveauté, nous cherchions l’extraordinaire. Tant de choses, à présent, m’inspirent une anecdote. J’ai voyagé sept ans, mais ça aurait pu être une vie. Qu’est-ce donc qui a signé la fin de ce voyage époustouflant et heureux ? Une tragédie dont je n’ai pas connaissance mais qui m’emplit d’une incompréhensible peur lorsque je tente d’y penser. Je n’ai ni la fin ni le début de ce voyage. Mais ma non si lointaine enfance m’inspire quelque chose de doux et d’heureux. Dernier extrait ----------------- Qui suis-je ? Je suis une noble Lunieloise. Je fais partie de ces rares personnes qui, dans leur jeunesse, ont connu l’opulence sans devoir se passer d’une famille aimante. Mes parents ont voulu faire de mon frère et de moi des esprits libres et curieux. La recherche de la connaissance devait faire partie de notre existence et nous offrir la meilleure vie au sein de l’aristocratie savante de la cité-état de Luniel. Les plus grands précepteurs se sont succédé pour nous donner une éducation aussi littéraire et artistique que scientifique. Mais qui a dit que la physique théorique convenait à tous les enfants de dix ans ? Bientôt, les responsabilités liées à notre rang et la société complexe et injuste de la ville ont commencé à se dessiner dans notre esprit. Le mariage s’imposait, les obligations mondaines se sont faites plus oppressantes. Alors, nos seize ans approchants, nous sommes partis.

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