Bonjour. Je me nomme Jyquentel. Laissez-moi vous conter mon histoire... Je vivais auparavant chez mes parents. J'ai là-bas appris à lire et à écrire. C'est là-bas que j'ai entendu parler de Herobrine pour la première fois. La légende (ou plutôt la version la plus courante) disait qu'il s'agissait d'un fantôme dont les yeux étaient vides, et que quiconque le voyait mourrait alors dans d'atroces souffrances. A chaque fois, on aurait retrouvé le cadavre de ses victimes dans de la lave, ou au fond d'une mine. Je pensais alors à un stupide racontar pour les enfants qui ne mangent pas leur soupe. C'est vrai quoi! Les fantômes, ça n'existe pas!... Pas vrai? Un beau jour, je trouvais ma vie ennuyeuse et répétitive. Je quittais alors la maison familiale, alors âgé de 20 ans et quelques. J'étais nomade. J'allais de ville en ville. Seulement voilà: après environ 8 ans de voyages et de péripéties, je découvrais une ville: Athènes. Je trouvais tout de suite le paysage superbe. Je me suis fait des amis, des contacts, des ennemis et des habitudes. Sans m'en apercevoir, j'avais déjà reporté mon départ de 5 ans. J'étais alors âgé de 32 ans. J'avais même une maison: mon ami Supra m'hébergeait, vu que j'étais trop pauvre pour me payer une maison à moi tout seul. Mais lors d'une partie de mine dans ma grotte cachée avec une autre connaissance nommée Emericoq, je trouvais... De l'or! Je n'en croyais pas mes yeux. Fini la misère! J'allais enfin pouvoir couler des jours heureux dans un manoir! Que je me disais... Par contre, ce que je ne comprenais pas, c'était cette sorte de statuette flottant au dessus d'un socle, dans une salle étrange, émettant une drôle de lueur violette assez faible. Je fis alors remarquer à Emericoq des bruits de pas derrière nous. Je me retournai d'un bond. Un choc me parcourut alors le corps tout entier: Le plus grand voleur de la région, dénommé Caesaris, se trouvait devant moi! Je n'eus alors pas le temps de dire "Cube" qu'il nous détroussa tous les deux. Nous ne pouvions rien faire: il avait une épée de fer aiguisée comme pas deux et une armure de fer. Il fut tellement content de son coup qu'il ne remarqua même pas la salle se tenant derrière nous. Il s'en alla alors. De dépit et de rage, je jetai furieusement ma pioche sur l'étrange statuette. Je remarquais alors que le plafond et le sol tremblaient de plus en plus fort et que la lumière de la statuette devenait de lus en plus vive, et qu'il en émanait une énergie étrange. A ce moment, vous vous doutez que ce n'était pas ce qui me préoccupait le plus: nos vies étaient en jeu. Je crus sur le coup à un tremblement de terre, et ordonnai à Emericoq de me suivre. Le plafond commençait déjà à s'ébouler et le sol à se fissurer lorsque nous atteignons la sortie. Nous croyant tirés d'affaire, je reprenais mon souffle. Cependant, ce que je croyais alors être un tremblement de terre était de plus grande envergure que je ne croyais: je regardais la ville se faire engloutir. Je n'en croyais pas mes yeux. La ville avec laquelle j'ai eu tant de souvenirs... Était en train de disparaître sous mes yeux... A cause de moi. Je remarquai alors qu'un vieux dirigeant de la ville se trouvait sur un carrosse et nous faisait de grands signes. Lorsque nous nous approchâmes, il lui fallut hurler pour nous faire comprendre qu'il fallait monter dans l'immédiat, tant l'affaissement de la cité faisait un vacarme assourdissant. "Mais où sont les autres!?" M'écriai-je. Il me fit remarquer les autres carrosses non loin de là. Je voulus m'y rendre, mais le Maire nous cria de plus belle de monter, ce que je fis immédiatement. Si je ne m'étais pas décidé à ce moment là, il n'existerait en ce moment rien de moi: en effet, la place où nous nous trouvions entreprit une dizaine de secondes plus tard de s'effondrer à son tour. J'appris lorsque nous étions à distance raisonnable de la ville que le plan était que tous les carrosses aillent dans la même direction, jusqu'à trouver une ville. Malheureusement, le destin en décida autrement: Au bout d'un moment, les chevaux devinrent fous à lier d'un coup d'un seul, et tous de concert. Ils se mirent à ruer et à ne plus obéir aux ordres. Puis, ils partirent au galop, tous dans des directions différentes. Le conducteur fit ce qu'il pouvait, mais malheureusement, le cheval était impossible à calmer. Puis il rua et fonça sur un arbre. Je vis ma vie défiler devant mes yeux. Le temps se ralentit. Je pus voir les visages des autres passagers déformés par la terreur. Le cheval vira brusquement à gauche au ras de l'arbre. Le carrosse heurta l'arbre. ... Suis-je vivant? Je ne sais pas. Je vois au travers de mes paupières une douce lumière braquée sur moi. C'est le Paradis? Je ne crois pas. J'entends des voix autour de moi. Je suis allongé. Et si j'ouvrais les yeux? À 3; 1... 2... Je suis dans une auberge. Je suis resté apparemment longtemps dans le coma. Aucun bandage. Aucun os brisé. Je pense que je vais bien. Il faut que je sorte. Je me lève. Rien. Aucune douleur. Parfait. Je vais pouvoir reprendre ma route, et, seul, j'aurais le temps d'y penser. Je suis sorti. Je repars, non sans avoir demandé au préalable si d'autres gens ont étés vus avec moi. Aucune information intéressante, bien sûr... Enfin, je reprends ma route, en me demandant comment retrouver mes amis. 1 an de voyages. 1 an pendant lequel je n'ai cessé de chercher un moyen de retrouver mes amis. Quand soudain, un soir de pluie dans une auberge, je décide de ne plus monopoliser mon esprit avec cela. Je me suis dit que la rage m'empêcherait de penser à un plan correct. Je me décidai donc à prendre ma revanche sur l'être ignoble qui m'a séparé de mes compagnons. Je lui réserve un aller simple pour l'Enfer. Mes pensées seraient alors plus libres pour penser à un quelconque moyen de retrouver la trace de mes amis. Le lendemain, après avoir demandé à un aubergiste s'il connaissait quelque secte mystérieuse qui vénère un dieu démoniaque (pour éventuellement retrouver sa trace et le massacrer), car la statuette dégageait une aura infernale. Il me donna alors une liste énorme. Après avoir tenté ma chance dans plusieurs cultes, j'ai remarqué ce nom: "Le culte d'Herobrine". C'est ainsi que je suis arrivé chez eux, âgé de 35 ans. Ça doit maintenant faire une vingtaine de sectes que j'ai rejoint pour trouver une piste me menant à lui... J'ai comme un pressentiment. Le pressentiment que ce que je recherche se trouve sur cette voie.J'espère qu'ici, je trouverais les réponses à mes questions... De plus, il émanait des statues de ce culte la même énergie diabolique que la fameuse statuette mystérieuse. Peu de temps après être arrivé, un évènement des plus graves se déroula alors: Un démon nommé Lam Pale avait tué des dizaines de personnes à coups de faux. Je ne pus malheureusement rien faire, n'étant pas présent au bain de sang. Je déteste cela. Si je ne suis pas capable de protéger mes amis... Ça va recommencer... Je me suis exilé, pendant de nombreux jours. Des années, peut-être. J'ai perdu la notion du temps, demandez-donc au peu de gens qui se rappelaient de mon existence. Maintenant, je sais ce que je dois faire... La Fin du Monde approche, de nouveau. Jamais je ne la laisserai s'opérer. Même si je dois sacrifier ma remortalité pour cela. Et elle s'opéra. A quoi m'attendais-je? Bien sûr. Je n'ai rien pu faire. Et cette impuissance commence à me tirer sur les nerfs. Je me suis promis de devenir puissant. J'ai mon idée. Finie cette faiblesse que même le Cauchemar me reproche. Oui... Patience.

Bonjour. Mon pseudo est Jyquentel, et je suis très content d'avoir pu accéder à votre serveur. Je joue à Minecraft depuis la Bêta 1.3, il me semble bien. J'ai été sur plusieurs serveurs RP, PvP... Mais j'ai arrêté les serveurs sur lequels j'étais actif pour plutôt me concentrer sur un seul et même serveur, ce que j'ai été forcé de faire le jour où mon précédent laptop a cédé. Paix à son âme. Je suis tombé sur Herobrine.fr par hasard en recherchant des données sur Herobrine. Ce que j'aime dans un serveur, c'est d'abord et avant tout la bonne entente entre les différents membres du serveur. J'ai cru comprendre, après mes quelques connexions sur le votre, que l'ambiance est en effet très conviviale. A part ça, je n'ai pas vraiment de préférences... Aussi avant TOUTE CHOSE, si vous me voyez faire une erreur RP, prévenez-moi sans me gueuler dessus comme un/une idiot(e). C'est pas en me caps-lockant que je suis un newbie et un retardé que la situation s'améliorera. Je m'énerve très facilement. Ca m'a valu quelques bans. D'abord, expliquez-moi le problème calmement. Ensuite, on en discute. Je suis gentil, en plus. Ceci dit... J'espère vous voir bientôt sur le serv'!