Un cyclame, alors que j'étais paisiblement en train de pêcher le candiru, un jeune profane s'est assit à mes côtés et me fit la conversation. C'est alors que je lui fis part des grandes lignes de ma vie : Il y a bien longtemps, à mon tout jeune âge, je vivais avec mon père, qui était un paysan, tout ce qu'il y a de plus banale. Nous vivions à Fubila, ville paysanne peuplée d'humains, en harmonie avec un village voisin de Nezloyan bûcherons. Je travaillais avec mon père dans les champs. Ma mère mourut en me donnant vie alors qu'elle n'avait que vingts ans. Et mon père continuait sa vie fermière à mes côtés avec un but bien précis : m'éduqué du mieux qu'il puisse pour qu'un jour je quitte le nid et vole de mes propres ailes pour réussir ma vie. Et malgré ses basses années d’éducation qu'il a effectué, il me donna des cours pour m'alphabétiser. Mais ses cours ne se limitaient pas à m'apprendre la lecture, il m'apprenait aussi d'autres choses mais c'était plus de l'ordre de la culture générale, histoire que je ne passe pas pour un abruti vis à vis des autres. A mon adolescence, mon père me confia à son ami, il pensais que maintenant que j'était un minimum cultivé, il se devait de me forger au combat. Celui qui m'encadrait pour m'apprendre l'art de se battre, me disais tout le temps qu'il était mieux de frapper au bon moment, réfléchir sur le combat, plutôt que de foncer tête baissé vers l'ennemie. Et j'adopta vite ce style, même si je m’entraînais seulement sur les gibiers du village. Au bout de moult et moult septiels d'entraînement, des cernes commençaient à se dessiner sur mon visage. Je n'avait plus le temps de bien dormir entre combats et lectures. Et malgré les choses qui me restaient à apprendre sur l'agilité et la fourberie, je suis partis. J'ai pris un sac de vivre assez conséquent, quelque bouquins, une épée pour me défendre et quelques émeraudes que mon père m'avait donné. Lors de mon voyage vers l'inconnu, j'ai quelque peu perdu mon amour pour les livres. En effet je me suis plus consacré au combat lorsque j'ai vu que les nuits n'étaient pas vraiment fréquentables en pleine nature. Mais je survécu avec tout le mal que j'ai eu, et surtout grâce au auberges qui m’accueillaient contre quelques émeraudes la nuit. Et malgré le courage que j'avais, j'étais tout de même craintif, pour moi et pour mon père que je n'avais pas revue depuis bien longtemps. Cependant, quand je devais avoir du sang froid, face à un ennemie, je l'avais. Mais malheureusement je n'ai jamais pu réellement avoir des amis. Une timidité et aussi une sorte de honte m'envahissaient, et je n'ai jamais su pourquoi. Cependant, l'argent se faisais parfois rare dans ma bourse. C'est pourquoi que quelquefois, je gagnais des émeraudes en devenant chasseur de primes. Je ramenais les coupables à la garde du village proche et j'empochais de quoi me nourrir quelques cyclames. C'est alors qu'un beau cyclame, j'eu croisé un marchand, c'était un Nezloyan. Il était vêtu d'une robe brune, et poussait un chariot en bois. Je lui achetât alors quelque vivres et une merveilleuse cape pour une poignée d'émeraudes. Il m'aida donc à attacher ma cape sur mes épaules et me fît la conversation. Il me parlait de son village, de sa famille, de son travail, et alors que je commençait à ne plus l'écouter, il me fît part d'une communautés assez originale, il racontait que cette communauté étudiait un mythe ou je ne sais quoi d'étrange. C'est là qu'a débuté ma route vers ce lieu. Ce lieu où je pourrait m'installer et qui sais trouver ce qui me... comblerait. Je suivit les instructions du marchand, en me dirigeant toujours vers le nord. Ma route vers ce lieu fut longue pour cause de ma peur bleue des araignées : ces vermines à six pattes trop larges. Dès que j'en voyais une, je tirais une vingtaine de flèches à l'aveuglette. Mais je continuais mon chemin... Et fût un jour, sous une tempête de neige qui me glaçait les mains, que je vît un énorme bâtiment, bâtit sur une montagne. C'est là que j'y couru histoire de me réchauffer et peut-être avoir de la nourriture ? J'entrai donc dans ce lieu, quand je vis une foule d'êtres vêtus de gris, de vert, et même, si ils étaient peu, de bleu. Je m'approchai donc d'un de ces être. Il était blond et portait une robe grise.Il se nommait "Lezard Light" mais j'ai toujours apprécié l'appeler "Lez". Je m'en rappelle comme si c'était hier... Il m'expliqua tout: d'abord que j'étais au sein d'un Ordre et que la plupart des personnes ici étudient le "Mythe" d'un certain Herobrine. C'est alors que nous devenions petit à petit de bons amis. Nous étions toujours à l'académie, en train d'étudier, de méditer. Et fût un cyclame où je me réveilla au fond d'une assez profonde crevasse. Je voyais flou, et j'avais des bleues partout. Je me posais pas mal de questions quand je décidai enfin de sortir de ce lieu. Quand je fût dehors, je vît des yeux. Oui des sculptures qui ressemblaient à des yeux. Mon ami Lezard m'en avait parlé, il disais que ces yeux servaient de repère pour que les profanes perdus retrouvent l'académie. Je suivis donc ces yeux, pour retrouver l'académie et mon ami. Après un demi-cyclame de route, je vis une cité. Au loin, les bâtiments de cette cité étaient d'un côté blanc et d'un côté gris. Je me sentis alors perdu : où se trouve l'académie ? Où se trouve l'Ordre ? Je couru donc vers cette cité et je demandai au premier venu ce qu'il c'était passé. Il me contât ce qu'il c'était passé, une sorte d'apocalypse si j'ai bien compris. L'Ordre avait donc déménagé, et s'était installé en ce lieu : Sangha. Je me mis donc en quête de retrouver ceux que je connaissais auparavant. C'est un septiel plus tard, alors que je négociais avec un marchand le prix d'une arme, que je vis quelque chose de surprenant : devinez quoi ? Mon ami Lezard. Je me fît une joie de le retrouver, et lui raconter ce qu'il m'était arrivé. Aujourd'hui je vis au sein de l'ordre, dans la cité de Sangha.

En vrai, j'n'ai pas de grosse barbe brune : je suis un jeune lycéen de 17 ans vivant en Rhône-Alpes. Je suis un amateur du Rôle Play même si j'ai très vite appris. En effet je suis plus World Of Warcraft, Guild Wars, où là on ne demande pas trop d’interpréter un personnage mais juste de jouer (^^). Je joue depuis 3 ans à Minecraft, et mon parcour sur ce jeu est assez basé sur le PvP, c'est vrai que j'aime beaucoup me défouler à coup de click sur ce jeu. Mais interpréter un rôle est assez amusant et comme je ne cesse de le dire : jouer son joueur c'est pour s'amuser et pas forcément être le meilleur de tous (même si j'ai énormément d'ambition). Sinon historique de mes jeux PC : (moqueurs s'abstenir, fut un temps j'étais jeune) > 8 ans : début - Dofus - World Of Warcraft - Flyff - Dragonica - AllodsOnline - Guild Wars - Guild Wars 2 - Css - Tf2 - Zombie Panic - Hidden - Cube World - Minecraft (non c'est vrai ?) - Diablo III - League Of Legends - Et plein d'autres. Cependant Minecraft est pour moi le Jeu IN-Dé-MO-DABLE. Je peux pas dire "Minecraft ça me saoule en ce moment" car il y a trop de choses diverses à explorer et à découvrir (comme de RP dans Minecraft O_O). C'est pourquoi j'ai beaucoup jouer dans des serveurs entre amis (vive hamachi) ou alors PvP / SemiRP. Voilà tout sur moi (ou presque). On se reverra In Game ! [Tikifirst est inspiré par les caractères du Roi Arthur et de Léodagan dans la série humoristique de M6 : Kaamelott.]