--*Vous lisez une vieille lettre poussiéreuse*-- Chers parents Je vous écris depuis le port de la ville de Tréno. Comment je suis arrivé ici ? Et bien c'est simple. Après avoir quitté Lindblum, je me suis engagé sur les plaines enneigées du continent. Avec tout les enseignements que j'ai pu apprendre au village, métallurgie, commerce, charpenterie, combat rapproché, bijouterie, antiquaire, apothicaire et bien d'autres... J'ai pu m'en sortir. Comme vous le savez, j'étais parti à la recherche d'un Ordre sur le mythe d'Herobrine que j'ai découvert lors de mes recherches sur l'astronomie dans la bibliothèque du village. Après avoir traversé ces plaines, je finis par arriver dans un désert. Oui vous avez bien compris, un désert. De la neige au sable, du froid au chaud. Étonnant n'est ce pas ? Enfin bref, suite à cela, mes réserves de nourritures s'estompaient rapidement, mes forces m'abandonnaient de jours en jours. La chaleur intense le jour, et le froid glaciale la nuit. Telles étaient les déserts. En plus du climat, je devais aussi lutter contre les monstres qui rôdaient le soir venu. Un jour, alors que je perdais tout espoir, alors que toute ma vie défilait devant mes yeux, un miracle se produit. Un voyageur en tenue bleu passa à côté de moi. Il m'offrit au passage de quoi subsister. Je ne savais pas qui était cette brave personne, mais elle était partie si vite que je n'avais même pas eu le temps de la remercier. En ramassant la nourriture laissée par le voyageur, je remarquai qu'il y avait avec, un billet pour une embarcation à destination d'une île nommée Sangha. Devinez quoi ? Le port où cela devait avoir lieu se trouve non loin de ma position. Coïncidence ? Je n'en sais rien. Tout ce que je peux vous dire c'est que c'est là que je comptais me rendre. La route y menant était parsemée de bandits de grand chemin, et c'est dans ce genre de moment que je me disais que les cours d'initiation au combat n'étaient en fin de compte, pas si inutile que ça. Je les ai tous tué de sang froid. Au final, j'ai pu arrivé au port sans trop de difficulté, mis à part les agressions. C'est sûr ces derniers mots que je vous laisse. Je pars en direction de Sangha, ne sachant ce que l'avenir me réserve. En tout, je pense fort à vous et je vous dis à un de ces quatres. Deucalion

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