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  • Apprentie Aurore

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  • Fonction

    Apprentie

    Race

    Humaine

    Sexe

    Féminin

  • Ampoule alluméeAmpoule alluméeAmpoule alluméeAmpoule allumée
  • Réput. HRP

    Présence

    110 heures

    Réput. RP

  • Histoire du personnage

    Cela fait de nombreuses années que ma vie à complètement basculé. Moi qui étais née dans une famille aisée de Davillon. Fille de Forgant Sterenn, un Alchimiste renommé et de sa femme Luna, j’avais tout pour être heureuse, mon père me prédestinait à le suivre dans sa carrière et j’ai passé 4 années dans un institut scolaire dont je n’en revenais que les week-ends. Week-ends que je passais à observer mon père dans son atelier et à dessiner avec mon petit frère, Heras, dont j’étais de 4 ans son aînée. Cette vie me convenait. Mais un beau jour, tout me fut enlevé ... ----------------------------------- ¤ « La Tragédie » - 8 ans : Le 13ème jour de l'hiver, il y a 10 ans. Je venais de fêter mon 8ème anniversaire avec ma famille au coin du feu, j’avais eu de mon père un nécessaire a potion, de quoi jouer l’apprentie à ses côtés, et de ma mère quelques colorant afin de me consacrer à l’une de mes autres passion : la peinture. Pour une fois, j’ai pu veiller tard alors que je devais reprendre la route de mon institut le lendemain. Cependant, aux alentours de 23H, un étrange personnage est venu frapper à notre porte. Mon père est allé ouvrir mais je n’ai eu le temps que d’entendre un « Vous ? » murmuré par mon père qu’il était déjà tombé à terre, gisant dans son propre sang. Ma mère s’est alors précipitée sur son corps, hurlant à s’en déchirer la voix, mais sa complainte fut vite anéanti par le sinistre inconnu qui la transperça elle aussi de son épée effilée. Il s’approcha alors du lit de mon frère, où je le vit complètement tétanisé par la peur. Je me lançai alors sur sa jambe, la ruant de coup et le suppliant de partir. Il me regarda alors, je pus voir deux grandes canines dépasser de ses lèvres. Il laissa alors échapper un léger rire et me poignarda moi aussi de part en part. Je le vit alors partir, agrippant mon frère par le bras, l'emmenant loin chez nous. A mesure que ma vue se troublait et que je sentais mes forces me quitter, j’entendais des pas s’approcher de moi. Lorsque je me suis réveillée, j’étais dans l’appartement d’un vieil érudit, Ignatus Ordiil, ami de ma famille qui m’avait sauvé la vie. Mon corps était encore énormément endolori mais mes jours n’était plus compté. J’avais dût passer au moins cinq jour entre la vie et le trépas et sans son aide j’aurais déjà rejoint mes parents. Mais ce n’était pas la fin de l’acharnement du destin pour autant ... ----------------------------------- ¤ « L’Abandon » - 8 ans 1/2 : Quelque semaine après mon rétablissement, le vieux sage mourut pendant son sommeil. Le rude hiver de Davillon aura eu raison de lui. N’ayant alors plus aucun moyen de subsister, j’ai dût aller quérir de la nourriture hors de son logis. Bien mal m’en pris, à peine quelques heure sorti que je tombai nez à nez avec de dangereux malfaiteurs. Ils me capturèrent donc et me destinèrent au marché des esclaves. Je fus donc enfermée dans une caravane piteuse où j’y suis resté une bonne dizaine de jour, nourries avec seulement du vieux pain moisi et une eau à la couleur douteuse. Arrivée à destination, ils m’exhibèrent dans un quartier souterrain que je ne connaissais pas à une foule tout aussi mystérieuse. Une sorte de marché noir. Je fus alors vendu à un dénommé ... non, son nom n’a aucune importance. Je fus alors contrainte à travailler à son service en tant que bonne à tout faire. J’ai récuré de fond en comble son manoir, qui d’ailleurs, comble de l’ironie était celui qui appartenait avant à ma famille, préparé un millier de repas et satisfais les moindre désirs de ce rustre. Mais au moins j’étais nourris convenablement et logée, bien que dans une pièce assez insalubre, c’était tout de même mieux que la rue. Mais un jour, un événement que j’aimerai sortir à jamais de ma mémoire eu lieu ... ----------------------------------- ¤ « Le Dégout » 11 ans : 2 ans que je suis contrainte à la servitude d’un ivrogne qui ne pense qu’à multiplier les conquêtes. Car des courtisanes j’en ai vu défiler. Au moins pendant ce temps il me laissait tranquille. Mais un jour, alors qu’il avait un bien trop abusé sur la vinasse et qu’une fille de joie avait refusé ses avances, il essaya alors de venir souiller mon corps. J’ai essayé de résister, mais ma force n’était pas suffisante et ... je préfère taire ce qui s’est passé ensuite ... Et le pire c’est qu’il revenait de temps à autre abuser de mon corps, profitant de ma faiblesse et ce pendant 3 longues années. Mais un jour, il a fallu que cela cesse et j’étais bien décidée à y mettre un terme ... ----------------------------------- ¤ « La Fuite » 14 ans : Je sentais la mélodie funeste se répéter, il avait une fois encore bu plus que de raison, aucune courtisane n’était présente dans le Manoir, il ne restait plus que moi. Cette fois-ci, j’avais réussi à m’introduire à son insu dans l’armurerie. C’est là où il entreposait les fers qu’il utilisait pour m’immobiliser pendant qu’il ... enfin voilà quoi. Je disposais donc de l’effet de surprise. Je pris alors la première épée que je trouvais qui me paraissait assez légère pour que je puisse la manier. Mon choix se porta sur une rapière sans garde. Je l’entendis alors s’approcher, je pointai alors l’épée en direction de la porte, prête à agir. Après ... et bien je n’arrive pas à m’en rappeler. J’ai eu comme une absence. Tout ce que je me souviens c’est qu’après, il gisait à mes pieds, la lame plantée dans son cœur et cette même lame dans mes mains. Sans réfléchir, je pris alors ce qui me passait sous la main, quelques émeraudes, des sacoches que j’accrochai alors à ma ceinture et un fourreau pour la lame d’argent. Je me mis alors à courir le plus loin du Manoir que je le pouvais. Je ne voulais pas passer d’une vie de servitude à une vie d’emprisonnement. J’avais retrouvé ma liberté et je ne souhaitais pas la perdre de sitôt. D’autant plus qu’une rencontre quelques mois plus tard me redonna alors goût à la vie ... ----------------------------------- ¤ « La Rencontre » 15 ans : Un an après mon échappée, je m’étonnais que la garde de Davillon n’ait pas cherché à me retrouver. Je n’ai compris que plus tard qu’étant une esclave achetée au marché noir, rien ne prouvais que j’existais au sein du manoir et encore moins que j’étais là au moment du meurtre. Ils n’avaient donc aucune piste. Il me fallait cependant me nourrir. J’essayai alors de faire quelques petits travaux de coursier, de quoi subsister alors que je pouvais entamer la quête qui me permettrait de venger mes parents et de retrouver mon frère. Cependant, à mesure que l’hiver approchait et que le froid était de plus en plus glaçant, il était vital pour moi de trouver un refuge. Un soir, je m’introduisis alors dans une cabane, perchée au sommet d’un bâtiment abandonné. Je fus accueillie par un bâton de bois placé sur mon cou et une jeune fille à son extrémité, prête à m’assommer. Elle n’en fit cependant rien. Elle me demanda alors ce qui m’amenait ici. C’est alors qu’après toutes ces années, sans trop savoir pourquoi, je me mis à évacuer toute la souffrance que j’avais accumulée. La mort de mes parents et d’Ignatus, l’enlèvement de mon frère, la capture par les marchands d’esclaves, l’infâme traitement de l'ivrogne, son meurtre et ma fuite. Je lui ai tout raconté. En guise de réponse, elle posa son bâton et me pris dans ces bras. C’était la première marque d’affection depuis plus de 6 ans ! Ce fut un réel choc pour moi. Je crois que ce jour j’ai évacué toutes les larmes de mon corps. Elle me raconta alors qui elle était. Clelya de son prénom, elle avait toujours vécue dans cette cabane. Ses parents étant trop pauvres pour posséder une maison, ils vivaient reclus ici. Mais ils ont succombé au froid, la laissant livrées à elle-même. Cependant elle s’est très bien adaptée à la vie dans la rue, développant une grande agilité et de bons réflexes. Dans les mois qui ont suivi, elle m’a d’ailleurs enseignée tout ce qu’elle savait. Elle m’a même appris quelque chose que je n’aurais jamais soupçonnée être capable ... ----------------------------------- ¤ « La Lumière » - 17 ans : Ça faisait maintenant plus de 2 ans que Clelya et moi parcourrions la cité de Davillon pour trouver de la nourriture et ainsi subsister. Un matin, alors que l’on déambulait au cœur du marché, un homme qui tenait un stand de fruit et légumes nous pris alors à part. Il proposa de nous donner un peu de nourriture à la condition que Clelya et moi nous embrassions ... Ah, ces hommes ... Tous les mêmes ! Et pourtant je n’ai même pas eu le temps de le remettre à sa place que Clelya avait déjà prise ma tête entre ses mains et posa ses lèvres sur les miennes. Le marchand s’exécuta alors et nous donna un panier rempli de pain et de fruit. Je ne sais pas si cela a eu le même effet sur elle mais à ce moment-là je me suis senti revivre. A partir de ce jour et de plus en plus je nourrissais des sentiments à son égard sans pour autant lui en faire part. J'aimais de plus en plus passer du temps à ses côtés. Un jour, alors que je venais de trouver un morceau de toile qui serait parfait pour une peinture, elle m'a alors demandé de lui apprendre à peindre. On est alors allé chercher ce qu'il nous fallait en ville. De retour dans la cabane, j'ai donc pris un morceau de bois pour lui montrer mes techniques. Elle m'a alors demandé de m'asseoir sur le lit pour pouvoir me peindre. Je me suis alors mis en tailleur sur le matelas, un peu gênée, mais au fur et à mesure que je voyais son air concentré se poser sur moi, tentant d'observer chaque détail, j'étais de plus en plus heureuse. C'était un moment formidable. Mais j’étais loin de me douter qu’encore une fois tout allait virer au cauchemar ... ----------------------------------- ¤ « La Chute » - 18 Ans : Comment ai-je put être aussi naïve de penser que la mort de mon ancien tortionnaire n’aurait aucune répercussion. Même si j’avais toutes les raisons du monde de mettre fin à ce calvaire il faut toujours payer pour ses crimes ... mais pourquoi a-t’il fallut que cela se passe de cette manière ? Quasiment un an après qu'elle m’a embrassé, j'ai fini par tomber par hasard sur une lettre qu'elle était en train de m'écrire alors qu'elle était partie en ville chercher de quoi soigner la douleur de mes cicatrices. Je vis alors qu'elle aussi nourrissait des sentiments fort à mon égard. Aussi fort que les miens. Ça me donna alors du courage. Une fois rétabli, je choisi alors de prendre le jour où Clelya et moi nous sommes embrassé pour lui faire ma déclaration. J'ai alors voulu l’emmener au centre-ville de Davillon, au niveau de l’échoppe du marchand, mais un petit groupe de personne a commencé à nous suivre. Au départ nous ne les avions pas remarqué mais leurs présences s’est faite de plus en plus insistante. On alors essayé de s’éclipser mais ils se sont alors mis à nous prendre en chasse. On a réussi à monter jusqu’aux remparts, le long des falaises bordant le fleuve mais d‘autres nous attendaient également là. On fut rapidement encerclées. Ils se jetèrent alors sur nous, je sorti alors mon épée et Clelya son bâton. On se mit alors à combattre nos assaillants. Le combat fut dur. Mais, profitant de l’avantage numérique, ils réussirent à faire passer Clelya par-dessus les remparts. Je la vie alors chuter dans le ravin, fonçant droit vers la falaise et ses pics escarpés. Un tourbillon de colère et de chagrin s’empara alors de moi et je n’en sorti qu’une fois la menace hors d’état de nuire. A moi seule je venais de décimer une demi-douzaine de mercenaires. Mais je fus cependant interpellée par la garde qui, si elle n’avait pas eu le temps d’intervenir, avait au moins eu le temps de voir ce dont j’étais capable. J’eu de la chance d’apprendre que ces rustres étaient sur la liste noire de la garde et que donc en leur ôtant la vie j’avais rendu service à la cité. Depuis ce jour-là, je dus m’acquitter de temps à autre de petits boulots pour la garde, des filatures, des missions de renseignement, ce genre de chose. Voici donc deux ans que je fais cela ... et toujours rien au sujet de ma famille ni de mon frère. J’ai pourtant demandée aux gardes des renseignements mais aucun n’a été capable de m’en donner. Il ne me reste plus qu’un espoir, suivre les traces du manuel de mon père. Il étudiait les Chimère alors il n’y avait qu’un endroit au monde pour en avoir les plus beaux « échantillons » : Sangha !

    Présentation du joueur

    Voici les différentes chôses à savoir sur mon personnages : ¤ Équipement: Ma tenue est composée d’un pantalon en cuir noir très près du corps, afin d’éviter les frottements lors des déplacements furtifs, d’un haut également en cuir noir possédant une capuche et un corset. Enfin j’ai des bottes m’arrivant au milieu du tibia faite, encore une fois, de cuir noir. Hormis le fourreau dorsal en cuir brun où j’accroche mon épée et la broche de Clelya, je porte à ma ceinture trois sacoches. Deux du côté droit et une du côté gauche. Dans celle de gauche, j’y range mon argent ainsi que les rares Emeraudes que j’arrive à récolter. Dans celles de droite j’y range le reste. Il peut s’agir de biscuits, de cartes, d’objets de faible valeur ou d’autres objets. Je peut également porter une légère robe bleu qui appartenait à la mère d'Alyse, c'est cette dernière qui me l'a offerte. A ce moment là, j'accrocha alors la broche de Clelya sur mes cheveux afin d'accentuer encore plus ma féminité. ¤ Talents/Savoir-faire: Je suis assez douée en peinture. C’est une des rares choses qui me rattache encore à ma vie d’avant « La Tragédie ». Sinon, pour ce qui est du combat, mon apprentissage de la vie dans la rue m’aura permis de développer des réflexes vifs et une agilité d’une grande précision. Lorsque je suis sujette à une émotion vive telle que la colère ou la tristesse, ma force au combat est décuplée cependant mes mouvement deviennent moins précis et je ne suis plus aussi rapide. ¤ Faiblesses: Les cicatrices que je porte peuvent me tirailler à tout moment. Si cela arrive en plein combat, autant dire que mes chances de victoire s’amenuisent considérablement. Je peux également perdre beaucoup de mon discernement si l’on se met à parler de ma famille ou de Clelya, c’est pourquoi je n’en parle jamais à ceux en qui je n’ai pas confiance.
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