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Dans une canopée antique, un Sage s'élève, se faisant porteur de la flamme d'une Oracle disparue. Félicitations à Yazor qui passe Sage !

  • Harmoniste Colombe

  • Où est Victoria ?

  • Fonction

    Harmoniste

    Race

    Humaine

    Sexe

    Féminin

  • Ampoule alluméeAmpoule alluméeAmpoule alluméeAmpoule alluméeAmpoule alluméeAmpoule alluméeAmpoule allumée
  • Réput. HRP

    Présence

    3 heures

    Réput. RP

  • Histoire du personnage

    Une Colombe... Flamel : "Droite." Clarence : "Fière." Fenitis : "Incomprise." Maxson : "Ardente." Dirella : "Forte." Vhral : "Somptueuse." Bjorn : "Désordonnée." Haevan : "Âpre." Aestraem : "Franche." Lellion : "Énergique." Yuni : "Étonnante." Eltharion : "Hautaine." Alena : "Attentionnée." Acerius : "Passionnée." Shikure : "Acharnée." Vildiur : "Ouverte d'esprit. " Alexender : "Impétueuse. " Dirella : " Vaillante. " Héritage Récit librement inspiré du personnage de Cassandra Colombe par Vhral S’il y avait bien quelqu’un en ville à la hauteur de sa réputation, et à la réputation haute, c’était Jakov de Colombe. Pourtant, personne n’aurait parié trois sous sur lui, à sa naissance. Il était sorti si chétif du ventre de sa mère que personne ne pensait qu’il passerait la nuit. Contre toute attente, il avait survécu, et avait grandi ici, à la Volière, la demeure ancestrale des de Colombe. Eduqué avec soin par les meilleurs instituteurs de la région, il était devenu un fier jeune homme aux épaules larges et carrées, aux yeux verts et aux cheveux si blonds qu’on les aurait dit blancs. Ses parents, à la santé fragile, moururent avant qu’il ai vingt ans, et lui léguèrent les miettes de la fortune familiale ainsi que les nombreuses dettes qu’ils avaient contractées. Unique héritier de la grande lignée des de Colombe, le jeune homme avait sauvé sa maison de la faillite, et bientôt, la renommée de sa famille reprit le brillant qu’on lui avait connu, quelques générations plus tôt. Philanthrope et amoureux des arts, il avait largement investi dans la réforme architecturale de la cité, nettoyant les quartiers insalubres, détruisant les baraques vétustes et creusant des égouts salutaires pour la ville. Bientôt, il devint un notable à l’influence fort appréciée, et il n’était pas rare de voir les responsables de la cité venir en personne lui rendre visite, mandant son conseil, son soutien ou des financements qu’il distribuait généreusement. Parallèlement à ces fructueux et généreux investissements, il usait de son temps libre pour enrichir le manoir. Il dota la demeure d’une vaste bibliothèque, d’un laboratoire, fit rénover la grande serre à oiseaux dont la demeure tirait son nom. Homme de culture, il dépensait de petites fortunes pour faire importer d’anciens manuscrits ou envoyer des copistes à travers le pays pour quérir les doubles de textes anciens à la valeur scientifique, artistique ou archéologique fort élevée. Enfin, il épousa une jeune femme du nom de Camilla, mettant un terme aux espoirs de bien des nobles des environs. Elle lui donna deux enfants, des jumeaux, du nom de Léon et Fable. Comme leur père, ils étaient fort chétifs à la naissance, mais ils survécurent tant bien que mal, emplissant les coeurs de la maisonnée de joie. Hélas, le bonheur fut de courte durée. La guerre vint résonner aux frontières, et l’ampleur de celle-ci força Jakov à rejoindre l’armée. Lui et les hommes de la ville n’eurent d’autre choix que d’abandonner les leurs pour partir au front, laissant sa femme et ses enfants seuls. La guerre dura deux ans. Deux ans de grand chaos pour le jeune père, qui s’accrocha de toute son âme à l’espoir de revoir les siens un jour. En temps que noble, il avait d’abord eu la chance d’occuper un poste d’officier, sans devoir se mettre trop en danger, mais le conflit tourna rapidement au désavantage des siens, et il se retrouva au combat. Chaque jour se fondait dans le suivant, en une succession de déplacements, voyage dans des paysages dévastés par les armées, des villages incendiés, des corps ensanglantés et gonflés par la décomposition putride qui les rongeait depuis des semaines sur le bord des routes qu’ils avaient suivi pour tenter de fuir. Lorsqu’enfin il revint chez lui, accompagné de ceux qui avaient réussi à s’en sortir vivants, il était profondément changé. Il avait passé sa vie à se construire comme bâtisseur, pendant des décennies il avait veillé sur ceux qui l’entouraient. Ces deux ans de guerre avaient sapé les fondations même de l’homme qu’il s’était acharné à être. Le sourire qu’il adressa à sa famille et à ses serviteurs, aussi sincère qu’il soit, était un masque sur une âme vidée de son sens. Il vécu, pendant des mois, enfermé chez lui. Auparavant de caractère énergique, homme sincère, plaisantin à l’esprit vif, il était devenu taciturne, secret et inquiet. Il ne recevait presque plus, sauf quelques camarades de combat tout aussi sombres que lui, avec qui il prenait, dans un silence religieux, un verre, avant de se dire au-revoir. Camilla avait dû gérer la maisonnée pendant deux ans dans des conditions de guerre, et la jeune femme ne démérita pas. Elle déployait depuis le départ de son mari une énergie phénoménale, et portait sur ses épaules frèles le bon fonctionnement de la demeure. Les serviteurs l’auraient suivie jusqu’au bout du monde l’eusse-t-elle demandé, et elle s’occupa tant et si bien de son époux que, peu à peu, celui-ci repris de sa vigueur. Son teint naturellement pâle rosit de nouveau. Il marchait dans le grand jardin, montait à cheval, sortait en ville avec les siens, plaisantait de nouveau avec les serviteurs. On craint une rechute lorsqu’il se mit à interroger les habitants de la ville sur la guerre, mais jailli un soir de son bureau, brandissant les plans pour une haute statue en l’honneur des morts, qu’il fit bâtir et inaugurer dans le mois, sous les applaudissements sincères et émus des habitants reconnaissants. Il avait, semblait-il, réussi à faire la paix avec ses souvenirs. Enfin, la vie pu reprendre son cours. Pendant quelques années, ce fut presque comme si rien ne s’était passé. Comme s’il n’était jamais parti. Jakov de Colombe était bien là et son esprit d’initiative le consumait avec la même vivacité qu’autrefois. Il se mit à parler commerce, fit venir nombre d’experts et de marchands fortunés de la région, noua des marchés, contrats et associations, fondant ce qui allait rapidement devenir l’une des plus grosses compagnies marchandes du pays. Mais, l’année où ses fils eurent cinq ans, Camilla tomba gravement malade. Une fièvre terrible faisant trembler son corps et délirer son esprit. Jakov passait le plus clair de son temps à son chevet, convoquant les médecins les plus renommés du pays pour la guérir. Hélas, le mal qui la rongeait ne semblait pas avoir de remède, et Camilla mourut finalement, emportée par la fièvre. Camilla de Colombe fut enterrée sous le grand arbre qui trônait au coeur de la serre, entre ses racines, sans cercueil. Son corps rejoignait la terre, et nourrirait les plantes de ce lieu coupé du monde où elle aimait passer du temps à se promener, lire, coudre ou faire les comptes. Même au plus fort de la guerre et de la pénurie, elle avait fait préserver et entretenir cette bulle de paix, alcôve hors de portée des maux que le monde pouvait jeter sur cette maison à laquelle elle s’était offerte, corps et âme. Jakov était inconsolable. Un désespoir stoïque, silencieux, noble. Il ne pleurait pas. Il ne parlait pas d’elle. Il vaquait à ses tâches avec la rigueur d’un automate. Pourtant, chacun de ses gestes, de ses souffles, de ses regards hurlait de douleur. Parfois, il se tournait vers le siège où sa compagne était habituée à lire, la bouche entrouverte, une question, une remarque, un compliment ou une plaisanterie au bord des lèvres, mais la violence de la réalité le heurtait si fort qu’il en perdait le souffle. Elle était morte. C’est à ce moment-là que ses fils commencèrent à souffrir de troubles étranges. Leur santé se détériorait lentement, mais jamais gravement. Ils subissaient des maux de tête réguliers que seuls des décoctions puissantes parvenaient à calmer. Le moindre effort les fatiguait. Le souffle leur manquait lorsqu’ils tentaient de courir à travers le manoir. Jakov ne s’éloigna pas seulement de ses fils. Il se coupa petit à petit du monde. Il ne parlait plus que pour donner des ordres brefs. Il passait son temps enfermé dans son bureau, consultant des ouvrages exotiques dans des langues étrangères. Le seul moment où il parlait, c’était avec deux de ses camarades de guerre, qui lui rendaient régulièrement visite. Lorsque cela arrivait, ils s’enfermait avec eux dans la bibliothèque et parlait avec animation. Sa voix résonnait dans la pièce, mais aucun des domestiques inquiets et curieux ne parvenaient à en comprendre le sens, étouffée par les murs épais et les portes closes. Cela avait trait à certains événements de la guerre. Une histoire parmi tant d’autres revenait régulièrement, au sujet d’un homme qu’il avait dû affronter, et qui semblait lié à d’autres soldats ennemis de manière trouble dans une série de combats meurtriers au plus fort de la guerre. Ses camarades sortaient de ces discussions le regard empli de doute craintif, jusqu’à, finalement, ne plus venir du tout. Ayant tranché ce qui semblait être son dernier lien avec le monde extérieur, Jakov ne quitta plus le manoir familial. Il mangeait peu, dormait peu, parlait peu -mais beaucoup tout seul-. Il fit importer dans ses archives personnelles les registres des habitants de la ville, qu’il fouillait avec acharnement. Il fit venir des historiens, des paysans, des soldats chez lui, les interrogeant sur des épisodes précis de leur vie, dont sa connaissance ne faisait que le rendre inquiétant, avant de les renvoyer chez eux. Puis, un soir, après dîner, il s’habilla élégamment et annonça qu’il sortait. Montant dans sa calèche, il exigea à ce qu’on le conduise rapidement en ville. Un domestique du nom de Venec bondit sur le siège du conducteur, saisit les rennes et l’y emmena sans le faire attendre, plantant là le reste de la maisonnée. Le domestique expliqua plus tard l’étrange manège que son maître lui fit faire. Jakov de Colombe fit le tour des maisons de passe et autres bordels de la ville. A chaque fois, il ordonnait au domestique d’attendre dehors, entrait, et ressortait seulement quelques minutes plus tard, donnant une autre adresse. Le domestique osa finalement demander ce qu’il cherchait, et celui-ci répondit avec une étrange franchise qui n’expliqua rien du tout : << Quelqu’un de particulier. >> Enfin, alors que la nuit était fort avancée, Jakov signala à Venec qu’il avait trouvé ce qu’il lui fallait, qu’il pouvait rentrer au manoir, et que lui trouverait bien un fiacre pour le ramener plus tard. Le domestique fila sans demander son reste. Jakov de Colombe ne revint qu’au petit matin, l’air préoccupé. Il y retourna le soir-même, une forte somme en poche, et regagna le manoir sans celle-ci, visiblement satisfait. Par la suite, il entretint une correspondance prolifique avec la tenancière de la maison de passe, envoyant régulièrement de l’argent à celle-ci. Quelques mois plus tard, il revint de la Volière avec un bébé dans les bras. Il était évident que c’était le sien, car la toute jeune enfant ouvrait sur le monde deux vastes yeux verts comme ceux de son père. Il la nomma Cassandra Colombe, la privant de la particule noble de son nom, mais la reconnaissant comme sa fille illégitime. Elle grandit dans la dépendance, avec les domestiques qui furent chargés de s’occuper d’elle. La jeune fille fut élevée par les serviteurs, éduquée par les précepteurs que Jakov choisissait pour elle, et appelait son père monsieur. A son sujet, l’incompréhension régnait. Jakov de Colombe n’était jamais retourné dans aucune maison de passe, et son attitude envers la jeune fille n’était ni celle d’un père, ni celle d’un maître. Il l’appelait par son prénom, lui fournissait une éducation variée et complète, mais jamais il n’avait pour elle la moindre démonstration de tendresse paternelle. Il lui enseignait personnellement, d’un ton strict et distant, les rudiments de la connaissance médicale qu’il possédait et l’histoire généalogique, sans que personne ne sache exactement pourquoi. Il lui parlait, durant des heures, de la fréquence d’apparition des yeux verts dans sa famille, conduisait avec elle des recherches poussées sur la famille de sa mère, confirmant qu’elle était bien l’une des filles du bordel qu’il avait visité. Jamais il ne l’embrassait. Jamais il ne l’étreignait. Jamais il ne lui offrait de cadeau. Parfois, il lui disait simplement << Regarde-moi dans les yeux, Cassandra. >> et plongeait son regard dans celui de sa fille, silencieux, pendant de longues minutes. La petite grandit, docile et effacée, se pliant aux caprices de son père, apprenant ce qu’il lui enseignait, mémorisant les mots, les dates, les embranchements familiaux, et ancêtres. Il ne cessait de lui répéter que c’était important. Qu’il avait découvert quelque chose qu’il lui expliquerait un jour, mais qu’elle devait être prête. Ce lien étrange qu’il tissait avec elle rendit ses frères jaloux. Léon et Fable, de sept ans ainés de la petite, comprirent rapidement d’où elle provenait, et la haïrent tout aussi vite. Eux obtenaient des cadeaux de leur père, pouvaient se confier à lui, échangeaient au sujet de l’avenir de la famille, mais… quelque chose, dans Jakov de Colombe, n’était plus tourné vers eux. Ils cherchaient, de leurs yeux bruns comme ceux de leur mère, son regard, mais ne le trouvaient jamais vraiment là. Lorsqu’il parlait à Cassandra de ses recherches, ses yeux brillaient d’une fièvre passionnée, comme s’il était animé d’un souffle vital nouveau. Alors qu’elle allait sur ses dix-sept ans, la peste frappa la ville. Elle venait d’on ne savait où. Les rats avaient émergés des égouts par milliers pour mourir dans les rues pendant des jours, semant la panique dans la population. Quelques jours après, les premiers cas étaient apparus. Foudroyants, terrifiants, mortels. La région tout entière fut engloutie par la Mort Noire. Les habitants n’avaient nulle part où aller. On murait les demeures autant que possible, on brûlait les cadavres en dehors des murs de la ville, on enfumait les chambres d’herbes aromatiques brûlées. On pratiquait saignées, ventouses, alchimie, breuvages et prières sans succès. Les morts s’accumulaient. Bientôt, le manoir fut frappé à son tour par le mal. Les domestiques tombèrent malades, et bientôt, Léon, Fable et Cassandra aussi. Leur père, étrangement préservé du mal, remua ciel et terre pour tenter de sauver les siens. Léon succomba le premier, tordu de douleur, le corps couvert de bubons noirs et sanguinolants, la bave aux lèvres. Jakov l’enterra lui-même, aux côtés de sa femme. Puis ce fut le tour de Fable, qui connu le même sort. Les jumeaux, à la constitution faible, périrent avant leur soeur. La jeune fille résistait étrangement bien à la maladie. Son père l’abreuvait de décoctions qu’il tirait de son laboratoire où il travaillait, sans dormir, lorsqu’il n’était pas à son chevet. Même dans cet état, il continuait à lui lire des textes de sa bibliothèque. Elle n’était plus en état de parler, mais, visiblement, elle écoutait. Cette folie que son père avait pour son enseignement semblait être, dans l’obcurité de sa douleur, une lumière lointaine à laquelle elle se raccrochait, refusant de laisser son corps succomber. Lorsque son état semblait désespéré, il lui disait simplement, d’un ton étrangement distant : << Pas encore, pas encore… il y a tellement que je dois encore t’enseigner, Cassandra. >> Elle mourut une semaine après ses frères. Seul son père était dans la pièce à ce moment-là. Il s’était occupé d’elle dans la nuit, personne n’avait rien vu. Il n’y avait pas de tombe. Personne ne savait ce qu’il avait fait du corps. La peste repartit comme elle était arrivée : sans raison. La ville, vidée de sa population, ne se relèverait jamais de l’hécatombe qu’elle avait subit. Les trois-quarts de la population avaient disparu. Jakov de Colombe avait cinquante-quatre ans, mais se comportait comme s’il en avait quinze de plus. De l’homme énergique et bon qu’il avait été, il ne restait qu’un fantôme. Il avait fermé son laboratoire. Il se levait tard. Se couchait tôt. Il lisait, mangeait, vivait en silence. La grande serre, privée de soins, se changeait en roncier immense, jardin de mauvaises herbes sauvages qui poussaient avec abondance. Le lierre envahissait la structure de pierre, grimpait sur le verre dont certains carreaux brisés laissaient le jardin ouvert aux intempéries. La mousse recouvrait les pierres tombales de Camilla, Léon et Fable. Lentement, sûrement, la Volière se laissait dévorer par le temps. Jakov de Colombe passe l’essentiel de son temps à lire, installé sur le porche du manoir. De là, on peut voir le chemin serpenter jusqu’au pied de la colline où se trouve la Volière. Personne ne vient le voir. De ses amis d’autrefois, il n’en reste plus aucun. Lui et son manoir s’éteignent doucement, engloutis par le temps et son usure. Les quelques serviteurs qui restent sont aussi âgés que lui, et le servent avec une respectueuse dévotion. La Volière tombe en ruine, lentement, calmement, sans sursaut. Jakov de Colombe est usé, vidé de ses forces. Mais, lorsque l’on regarde dans ses yeux verts éclatant, quelque chose brille encore. Une force. Une certitude. Un soir, alors que le soleil effleurait l’horizon, teintant le ciel des couleurs d’incendie qu’on lui connait si bien, le fidèle Venec vint le chercher. Jakov était debout et fixait la route. Il déclara simplement : << Vois-tu, Venec… cette maison va disparaître. Tout, tôt ou tard, est rattrapé par le temps. Nous autres, les humains, on ne fait que ramper quelques années sur ce monde, avant que la mort ne nous cueille, d’une manière ou d’une autre. >>. Il avait soigneusement refermé l’ouvrage qu’il tenait entre ses mains fatiguées, et s’était dirigé vers la porte grinçante de l’antique demeure. Son visage était fendu d’un grand sourire et sur ses joues ruisselaient des larmes qui jaillissaient en cascade de ses yeux verts brillants d’une joie extatique. << Heureusement, Venec… il y a des choses qui ne mourront jamais complètement. Des choses… et des gens. >>. Venec était resté un long moment sur le porche, seul. Le vent du soir soufflait fort, faisant bruisser les arbres, portant les oiseaux en quête des derniers moucherons de la journée. Au loin, sur le chemin, une silhouette fine, montée sur un cheval, se dressait, immobile. Autour de son visage clair, une longue chevelure noire et bouclée tourbillonnait au gré du vent. Venec entrouvrit la bouche, mais déjà, la silhouette galopait vers l’horizon, disparaissant derrière les arbres, ne laissant, imprimé dans son sillage, que l’éclatant vert de ses yeux.

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    https://docs.google.com/document/d/1zfb6avu26fFryFx8ljkIvMX3NyZ SNKBZo849Vr51SQE/edit?usp=sharing Merci à Vhral pour ce texte fabuleux !
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