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  • Profane Giovanocci

  • Aucune citation.

  • Fonction

    Profane

    Race

    Humain

    Sexe

    Indéterminé

  • Ampoule alluméeAmpoule allumée
  • Réput. HRP

    Présence

    Aucune heure

    Réput. RP

  • Histoire du personnage

    Je suis nommée Angela Giovanicci. Membre de la dynastie Giovanicci et fille aînée du Roi. On a forgé mon caractère telle une bourgeoise. Une noble. Je fut, au long de ma vie au château, gâtée, vêtue de riches habits, passant des robes de dentelle crème accentuée d'un drap de soie écarlate, des escarpins dorés à fleurs, des amples jupes à froufrous tenues par un cintrage en argent forgé à toutes sortes d’orfèvreries hors de prix pour toutes personnes "normales". Lors des temps froids, on me couvrais de fourrures fraîchement chassées par mon père, dans SES bois. Ma mère était en permanence à mes pieds, cédait au moindre de mes caprices. Il faut dire que mes nombreuses mimiques me facilitaient la tâche. Un simple regard boudeur, le moindre sanglot, la moindre larme ou même un mouvement d'humeur la faisait immédiatement changer d'avis. Mon père n'était que rarement là, avec moi. Il était trop occupé à mener des guerres à coups de petits cailloux avec les seigneurs voisins. Tout ce qu'il pouvait m'apporter était cette vie. Au chaud. Aussi, j'oubliais de vous préciser ma localisation. Je vivais non-loin de New-Stendel, pays avec qui mon peuple procède à des échanges divers et variés. J'eut droit à avoir un frère. Le successeur de mon père. Ce crétin-profiteur-gâté n'avais pas sa place ici. Malheureusement, je ne pouvais prendre en main le Royaume. J'ai donc laisser faire. à la mort de mon père, il s'assit sur le trône. Il mal-mena le Royaume jusqu'à une attaque des royaumes voisins. Cet idiot s'était pourtant entraîné, mais pourtant, il a fuit. Les paysans sont morts, derrière le premier rempart du château. Moi, mon frère ainsi que les membres de la noblesse sommes partis par le passage sous-terrain que dispose les caves. Lors de notre longue marche, de nombreux nobles sont tombés. Nous n'étions plus beaucoup à notre arrivée au port. Je fis ordonner le départ d'un navire. Les plus rapides y entrèrent. Les autres restèrent en pleurs au port. J'étais sauve. Sauve, jusque là. La mer nous emportais vers le Sud. Puis, telle une nappe, elle se troua avant de laisser tomber le navire dans d'infinies abîmes. Tous crièrent. Nous étions condamnés. Pourtant, au bout d'un instant, le bateau heurta une autre terre. Il explosa. Les planches, après ce choc, se dé-cloutèrent et se brisèrent telles de simples branches mortes. Tous furent éjectés. Je fut réveillée par une lueur. La nuit était passée. Le soleil était là. N'était-ce qu'un rêve?... Le sel marin m'écorchait les yeux. Je toussa longuement, à m'en arracher le gosier, en laissant sortir toutes sortes de moisissures issues de la mer, biensûr accompagnées d'eau atrocement salée. Nous avions fais naufrage. J'avais* fais naufrage. Qu'allais-je devenir?... Tout mon luxe? Mes bijous d'or brut? Mes pierres? Mes tenues nobles? Ma robe était détrempée, décolorée et frottée au sable humide. J'eut vite l'occasion de croiser... D'étranges personnes, aussi vertes que des légumes, mais me repoussant supérieurement par leur pestidentielle odeur de moisissure. L'un d'eux, après une mauvaise chute due à l'auto-amputement de sa jambe pourrie, laissa tomber de la poche de son pantalon délavé et déchiqueté, une dague moussue, rongée par l'âge et par son utilisation, sans doutes, rare. Je m'en servis pour mettre fin aux jours de ces bêtes, visiblement intéressées par ma personne. Visiblement non-pas pour me courtiser. Après des heures de marche dans une direction insensée, loin de l'océan, je fut plongée dans un sommeil soudain. Puis, simultanément, une douleur. J'avais chuté, au fond d'une courte crevasse. Je n'avais encore aucune idée d'où je me trouvais. Je pris vite connaissance du "nouveau" peuple de l'île gigantesque. Un Ordre étudiant un Mythe. Pour la plus-part de simples gueux malpolis, mais encore, d'autres part, de grandes pimbêches. Ma robe malpropre se dégradait de jours-en-jours. Qu'allais-je faire? Je ne pouvais retourner dans ma Provence natale... Sûrement infestée d'ennemis.

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