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  • Apprenti John Binks

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  • Fonction

    Apprenti

    Race

    Humain

    Sexe

    Masculin

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  • Réput. HRP

    Présence

    338 heures

    Réput. RP

  • Histoire du personnage

    L’histoire incroyable du légendaire John Binks. Il y a tant de contes et de légendes dans le monde, surtout dans les profondeurs inexplorées des océans si vastes. Laissez moi vous parler d'un homme qui en fit partie, laissez moi vous parler de moi. Je suis John Binks, fils de Robert Binks et de Cindy Binks, ainsi que du Rhum ! Sinon je ne serai sûrement pas né ! Je suis enfant de marchands, frères de 7 autres enfants, dont 2 filles et 5 garçons, nous étions donc 6 garçons pour 2 filles. Entre frère nous nous chamaillions souvent, après tout c'est la nature humaine, j'étais ni l’aîné ni le plus jeune, ni le plus fort ni le plus faible, ni le plus bête ni le plus malin, en revanche, j'étais le plus chanceux, enfin, allez savoir ce que la vie réserve ? Au fur et à mesure que je vieillissais, on m’apprenait l'écriture et la lecture, a mes 8 ans je savais écrire et lire, tel était le début de mon apprentissage pour devenir marchand, car comme dis souvent mon père, la chance sourit aux audacieux, alors pourquoi ne tenterai-je pas ma chance à la marchandise ? C'est un monde si ouvert aux gens comme moi, c'est pour ça qu'à mes 10 ans j'ai supplié mon père de pouvoir l'accompagner lors d'une de ses exportations marines, il accepta à contre cœur, j'étais audacieux ! Le voyage devait durer longtemps, et les techniques de navigation pas très au point, apparemment, selon certains matelot, l'endroit par lequel nous passions était... parsemé de tempêtes, beaucoup de bateau disparaissait pour des raisons inconnues, des légendes parlent d'un monstre marin, les gens le nommait « Dragon » un être extrêmement grand nageant dans l'eau comme volant dans l'air, tant d'exotisme attire forcément ma curiosité infantile, des contes pourrait exister dans la vrai vie ? Des vagues, grandes, puissantes, faisant tanguer le navire, mon cœur s'emballe, tout était entre le mal de mer et la peur de mourir. Les vagues continuait, la pluie continuait, l'orage continuait, je perdis la notion du temps, il faisait noir, probablement nuit, ou alors le déchaînement de foudre trop intense pour laisser les rayons de soleils passer. Les voyages continuaient, les vagues continuaient, les tempêtes continuaient, et mon cœur s'arrêtait à chaque mouvement. Calme, doucement, je fixais l'horizon d'un teint bleuté, cheveux aux vents, le calme emportait la mer, je refusais de continuer mon éducation, je voulais continuer d'admirer ce teint profond. Quand je suis revenu, je voyais tous ces matelots travaillant sans forcément regarder la mer. Sauf quelques-uns, des vieux loup de mer, profitant de leurs vieux jours sur des rafiots qu'ils ont parfois vu naître, il y en avait un de ceux-là sur le navire, fixant lui aussi l'horizon. J'avais trouvé ma voie. Ça faisait plusieurs mois qu'on était sur le bateau, enchaînant moment calme et deux tempêtes, mais à un moment, on croisa une chose très rare, une île non répertorié, mon père décida donc d'y accoster pour voir s'il n'y avait pas des ressources vendables, cette île ne semblait pas habitée, mais il y avait une chose étranges, un couloir d'eau naturel ayant formé une grotte tout aussi magnifique, j'avais envie de tout découvrir, de tout explorer, de pouvoir lancer des expéditions, comme les aventuriers des contes que lisait ma mère. Marchands ? Non, je veux tout explorer, être un homme de la mer. Nous découvrons dans cette île, aucune richesse particulière, mais en revanche, nous trouvions des fruits sur les arbres étranges et exotiques, ils étaient noirs et collés sur le tronc des arbres, nous en prenions avec nous, peut être était-ce une ressource vendable ? Comme moi, marchands peut aussi signifier aventurier, j'étais alors coincé, plus tard serai-je marchands comme mon fier père qui semble vivre des aventures assez grandes, tout ceci me laissait perplexe, mais le chemin me montrera sûrement la réponse. Après une visite peu approfondie du lieu, l'équipage commençait à partir, mais je voulais rester, et je tentais d'y rester en fuguant, mais hélas le bon vieux loup de mer que je suivais m'emmena de force invoquant ma trop grande jeunesse comme moyen de raisonnement, me portant finalement à bout de bras me ramenant de force sur le bateau, mon père me regardant avec un regard, comme déçu de ce qu'il m'arrivait. Mais pour la première fois de ma vie, je me fichais du regard de mon père, j'avais envie de partir à ce que le vieux matelots appelait l'aventure ! Je suis peut être jeune, mais la chance sourit aux audacieux ! Nous reprenons donc la route du commerce, croisant au passage un navire de la force royale du pays vers lequel nous nous dirigeons, je me souviens parfaitement du fanion, deux serpents encerclant une épée, l'un dans le sens inverse de l'autre. Le bateau de guerre était immense, armé de plusieurs étages de batterie de canon, des soldats armée d'épée mais pourtant aucune armures lourdes, seulement des petites protections, une fois dépassé le bateau, nous continuons donc la route vers le pays du sable fin, Herdanny. 4 mois passèrent, lorsque d'un bon matin, un homme cria « phare en vue », c'est alors que plus nous avancions dans l'épais brouillard présent, plus nous voyons avec distinction une lumière scintillante vers les côtes, une forme se dessinant comme une ombre immense à travers le brouillard aveuglant, il s'agissait des falaises des côtes d'Herdanny, une île immense avec sa propre royauté, en centre de celles ci se dessinait un trou, mais naturel, l’île avait une entrée naturel qui permis au bateau d'atteindre le port, l’allée était finis. Je posais un pied dans ces terres, aucun sable fin pour m’accueillir, les dires de mon père n'avaient donc aucun sens, du moins pour le moment. Mais avant de m'évader vers cette nouvelle contrée qu'est Herdanny, aider mon père. Nous déchargeons du tissus principalement, et de l'alcool aussi, principalement l'alcool le plus fabriqué par chez moi, nous devions placer les tissus à un couturier local, qui nous versa pleins d'or en équivalence, et il vendit la moitié de l'alcool à un vendeur qu'il avait l'air de connaître, mais, c'était étranges, il était balafré et semblait peu amicale, puis sans même prendre repos sur terre, nous remontions et posons l'ancre au large. Sans me laisser le temps d'observer les merveilles d'Herdanny. Au petit matin, nous étions parti si vite, que je n'ai même pas vu le phare en me retournant, mon père semblait impatient de partir, pas un air de soulagement de rentrer, mais un air d’inquiétude du départ, c'était étrange. Mais moi je voulais mon lot de surprises, de découvertes et d'aventures ! Mais grâce au brouillard, le mystère était omniprésent, jusqu'au moment où nous le quittions, j’espérais tomber sur un conte de légende, c'est alors que je pris une décision, marchand c'était trop d'affaire et pas assez d'exploration, plus tard j'aurai mon propre bateau, et je serai une légende ! Pendant le retour, la mer restait calme, 1 mois et pas encore de mauvais temps, il paraît que plus le temps sans pluie est long, plus le retour sera grognon, mais bon, je n'y crois pas vraiment à ça, ce n'est que superstition. Cela dit, pendant le voyage, nous avons fêté mes 11 ans, après 6 mois de trajet, à la fin des festivités, le vieux loup de mer m'emmena en cachette dans un endroit, et me montra une bouteille de rhum, il me fit boire ma première bouteille, mon premier verre ma première gorgé, puis plus rien. Je me réveillais le lendemain, un mal de crâne intense, le moindre bruit me faisant grimacer, le moindre mouvement de ma part me faisant râler, j'étais dans la cale, sale, sûrement du vomit, et du, du sang ? Oui, sur mes vêtements, sur mes mains, du sang, mais pas le mien, mais du sang quand même. Après m'être enfin rendu compte de la situation et d'avoir dégrisé un peu, je suis sorti en trombe en demandant s'il y avait quelque chose de spécial hier tard la nuit, et la réponse fut affirmative. Du sang sur le pont, un, deux, était-ce moi ? Si jeune, si pacifique, une bouteille et hop je suis un meurtrier ? Nan, non, quoique, peut être ? Tant de question, et ce mal de crâne qui ne cesse, c'est insoutenable, lorsque je vis le loup de mer, allongé et blessé ce qu'il s'est passé, il saignant du thorax et de l'épaule, le médecins dis qu'il ne lui restait peu de temps, et ce temps il le consacra pour des explications, mes explications. Il faisait nuit, noir, j'étais totalement ivre, et je titubais, je bousculais beaucoup de matelot, jusqu'à sans le vouloir, bousculer un homme à la mer, le deuxième tenta de me frapper, mais je tombais au même moment, et le vieux loup de mer pris pour moi, puis je dormais sur le sol, sur le dos, laissant les deux hommes se battre épée à la main, sabre contre sabre. L'homme à la mer était le frère de celui qui se battit contre le loup de mer, et les deux frères sont donc morts, et il ne restait plus longtemps pour mon seul ami sur ce rafiot, tout ça pour ma première bouteille. Et la le vieux loup de mer me rapprocha de lui, et me sortit dans un dernier soupir, « te voilà homme de la mer ». Pendant la journée j'avais perdu goût à cette mer, elle offrait tant, mais elle venait de me montrer qu'elle retirait aussi. Les légendes, les contes, les mythes, tout ceci attirait, mais c'est toujours la dure réalité qui nous fait retomber sur sol, plus les rêves sont ambitieux, plus l’atterrissage est douloureux. Il paraît que c'est quand on est au fond du trou qu'on trouve la réponse, peut être alors fallait il que je creuse ? Peut-être aurait-il fallu que je ne boive pas ? Ou alors que je ne le pousse pas ? Ou tout ceci pour me montrer la dure loi de la vie ? Mes questions étaient normales, mais un bruit tonna en réponse. Des bruits assommants de canon retentissaient, un vacarme s'ensuivit, des morceaux de bois volant par-dessus nos têtes, et les bruits continuaient de tonner, comme si la foudre tombait sur nous, puis le vigie cria, « Navire de guerre en vue « . Je regardais à droite, un boulet filant à tout vitesse sur la coque du « Ascentia », je levais finalement la tête, pour voir en face de moi un navire plus petit, plus rapides, et mieux armés, d'un fanion 3 épée dont une encastré dans un crâne, sur un fond noir. Je fonçai alors vers la cabine de mon père quand un matelot me prit et me jeta dans la cale m'intimant d'y rester jusqu'à ce qu'ils viennent me chercher, dommage que cela ne se passe pas toujours comme prévu. L'enfer était sur terre, le fracas des armes avait sonné, des cris de peur, de haine, de douleur, des râles d'agonie, de souffrance, du sang accompagné de la mort, puis rien, plus rien, absolument rien, le silence du néant s'était abattu. Puis un cri, puis deux puis une horde de hurlements de victoire, j'allais sortir quand j'entendis ces mots, qui raisonnèrent dans ma tête, encore et encore, cette voix autoritaire et vicieuse, qui semblait venir d'un monstre assoiffé de sang. « Nous avons pris leur navire ! Je veux aucun prisonnier ! ». En faisant demi tour, j'ai bousculé une bouteille de rhum qui se fracassa au sol. Le silence régna à nouveau, pendant un moment, un court moment. Les hommes descendirent dans la cave, je pris alors un coutelas qui traînait par là, et puis je fonçais, fermant les yeux, j'en tuais un, puis deux et trois ! Du moins, c’est ce que je pensais, ou plutôt, ce que je m'imaginais. je sentis une vive douleur, je regardais la main qui tenait le coutelas, elle était entaillée, le coutelas au sol avec quelques gouttelettes de sang, rien de grave, mais c'était ma première blessure par arme, et je pleurais, inutilement, et pour rien, mais je pleurais, quand un poing se fracassa d'un coup sur ma mâchoire, je tombais donc au sol, et on me traîna devant leurs « chef ». Il semblait pas très vieux, était habillé de vêtement noir, d'un chapeau étranges, et mon père était la, quand tout d'un coups le chef demanda à mon père où était le cacao. Il répondait qu'il savait pas, et la l'homme plaça sous ma gorge, son long sabre, menaçant à mon père que s'il répondait pas, il allait me tuer, et la mon père détourna le regard, disant qu'il ne me connaissait pas. Je pleurai alors, implorant son nom, le nommant papa, et par conséquent, le condamnant. Il jura que je n'étais pas son fils, que j'étais qu'un pauvre gamin qui volait dans la cale, et hurla de toute ses forces qu'on le laisse en vie, quand soudain, leur chef planta son épée dans le ventre de mon père, celui ci tombant raide, sans un bruit, une larme coulant sur sa joue. Puis l'homme se tourna vers moi, un de ses sbires l'appelant « capitaine », puis il leva le sabre haut en l'air. Et plus rien. Le vide absolue, le noir totale, l'endroit parfait pour se poser des questions sur la vie ? J'aurai pu, si je n'étais pas âgé de seulement 11 ans depuis le jour d'avant. Comment survivre quand on ne peut rester qu'immobile ? Le vide est terrifiant, il est sombre mais pas totalement, juste assez pour ne rien voir mais voir quand même les ombres des cauchemars, silencieux, mais pas trop, pile ce qu'il faut pour écouter les murmures tourmentant mon crâne, infini, mais pas trop, juste assez de temps pour que tout ceci ait une fin, un bout de lumière, de chaleur, de sensation, un bout de vie. J’ouvris mes yeux, pas d'entaille, pas de blessures, pas de navire, même pas d'eau, juste moi, au milieu d'une plaine, à droite une forêt, à gauche une plaine, au centre moi et moi seul. Comment ? Pourquoi ? J'étais en vie ? Oui, épargné, déposé ici. Ici ? Mais il n'y à ni eau ni empreintes, comment ? Je ne saurai le dire, pourtant j'étais la, vivant, mais pour combien de temps la nature laisserai un gamin tel que moi en vie ? Une fois cette question posée, sans chichi ni blabla, je partis vers la plaine, moins dangereux que la forêt qui couvre les rayons de soleils, j'ai couru, encore et encore, perdu aussi bien physiquement que mentalement. A force de courir, je suis tombé d’épuisement, j'avais couru plus d'une heure, ce qui est relativement peu, enfin pas mal pour un enfant, mais je n’ai fait qu’user mes forces inutilement, je me posais et me rappelais ce que je m'étais dit, je voulais être aventurier, mais un aventurier fuit comme un lâche ? J'étais audacieux ? Ou pleurnichards ? J'ai décidé de faire mon débrouillard, je n'avais rien sur moi hormis mes vêtements, je ne pouvais donc rien faire avec mes petites mains, la solution la plus censé que j'ai trouvé, c'était de marcher jusqu'à trouver un village, et de dormir à même le sol, enfin j'ai essayé, jusqu'à ce qu'une horde de Zombies tentent de me dévorer, j'ai du fuir, encore, puis je suis tombé sur une jungle, et en s'agrippant à une liane, j'ai pus escalader un minimum, et rester la nuit éveillé en haut de l'arbre. Une fois le soleil levé, les zombies auraient dû mourir par le soleil, auraient. Au lieu de ça, les arbres les protègent, du coups, j'ai voyagé sur les branches des arbres de la jungle, ces branches si serrées les unes des autres, pratiques pour se déplacer, mais pour se griffer aussi, puis comme un débile, je suis tombé de la branche, elle n'était pas haute et encore heureux, mais la douleur était là, cela me fit rappeler que malgré mon peu de sommeil, je ne peux pas laisser tomber, et j'ai continués jusqu'à tombé sur un village avec beaucoup de chances, enfin villages, il s'agissait d'une belle ville bien active. Une fois la bas je demandais si les gens connaissaient par chez moi, les réponses étaient négatives, je n'avais donc plus de foyer, et plus de moyens de rejoindre ma famille, les gens me prenaient pour un orphelins des rues, alors que non, ma famille m'attendait ! Lorsque soudain, une bande de gamins des rues vinrent vers moi, me demandant si j'étais pour ou contre le roi, je ne connaissais ni le roi, ni la contrée, et au hasard je répondis contre, et ils m'embrassèrent tous, criant d'un coup « bienvenue ! » Nous jouions donc comme des enfants, j'oubliais la mort de mon père, ma mère, mes frères et mes sœurs, avec tant de difficultés, mais eux m'y ont aidé, puis nous grandissons, nous volions pour nous nourrir, et nous nous battions entre nous pour nous entraîner, j'avais arrêter d'apprendre, et enfin arrêter de compter les jours, puis les années passèrent, encore et encore, je pris de la taille, de la voix, du muscle, de l’épaisseur, mais un vieux souvenirs allait bientôt frapper à la porte de ma mémoire, la chance ne sourit qu'au audacieux ! J'ai passé le reste de mon enfance avec mes nouveaux amis, nous volions pour notre survie, mais pas forcément pour le mal, nous ne voulions pas faire de dégâts autour de nous, même si un jours nous avions du assommer un boulanger pour ses pains et ses cookies, mais encore une fois il s'agissait de notre survie. J'étais pas très discret contrairement à mes camarades, mais j'étais fort, à force de se chamailler, de courir, de se battre parfois pour pouvoir fuir, je me suis fais de bon mollet, ainsi qu'un bon coup du droit, même si je ne suis pas le plus fort. J'étais quelqu'un d'autre, je suis John Binks, j'ai 18 ans et j'ai grandi plutôt facilement dans une ville où la population reste riche. Un jour, un boulanger ambulant était de passage, nous n'étions pas affamés, mais en revanche, nous étions impatient de goûter ses fameux gâteaux, alors parfois oui, nous volions pour le plaisir. On attendait qu'il passait par une petite passe, avec des arbres, il était sur un chariot avec deux chevaux pour le tirer, et la nourriture devait être à l’intérieur, les plus habile et discret était sur les arbres, et nous les plus rusés et fort attendions caché derrière les tronc, le signal était donné, on se ruait tous dessus, le cocher assommé par ceux des arbres, il ne restait plus qu'à ouvrir le chariot, simple non ? Lorsque nous retirons la toile du chariot, des soldats nous sautèrent dessus, armés de masse pour ne pas nous tuer, mais nous conserver vivant. J'avais beau me défendre, je tombais comme mes frères. Je me réveillais dans une geôle de la ville, avec mes 7 camarades, apparemment nous étions recherchés, et nommés « la bande des huit », sauf que nous étions neuf, il faut toujours un qui regarde derrière pour vérifier que tout se passe bien. A la nuit tombé, il arriva avec ce qui semblerait une masse de fer, il s'agissait en faite d'un bout de fer laisser par le forgeron, il s'approcha de notre cage, et nous chuchota qu'il ne croisa aucun garde, puis il leva la masse, et un gros bruit résonna dans la prison. Notre ami, allongé au sol, assommé par deux gardes en même temps, ils savaient que nous étions neuf, ils savaient qu'il allait venir, sauf qu'ils ne savaient pas toute la bonté du monde qu'il y avait en lui, et en sortant leurs épées, retirèrent la vie à l'un de nos frères. Un hurlement général et commun sorti de nos bouches, un crie de douleur mélangé en parfaites harmonies, une peine immense et partagé nous réunissait, tout en nous séparant, son sang devenait notre symbole, nous n'étions pas mauvais, mais tout nous poussait à l'être, nous cherchions à survivre, et nous sommes condamnés de nos vies. Le chef de la garde dit d'une phrase, « demain, nous partons. ». Le lendemain matin, les gardes nous ont réveillés à coup de bâtons sur les barreaux, un mal de crâne commença alors, et la journée allait être longue. Nous sortions donc de notre geôle, et nous marchions vers un chariot, avec les mêmes soldats d'hier, et le même cocher, le faux boulanger. C'était tellement ironique, que j'en ai légèrement rit, au détriment de mes camarades, mais ma rigolade pris fin quand je me pris un coup de bâton sur la cuisse, et comme prix, tout mes amis prirent le même coups, une façon de me culpabiliser, mais, je m'en fichais, pourtant j'ignorais où ou nous envoyais. La journée fut longue, le chariot ne s'arrêta pas, même si nous n'avions ni maison ni or émeraude ou autre moyens de payement, c'était la première fois que je ressentais autant de faim, dans notre ville, les gens étaient pas assez prudent, et il y avait toujours un petit quelque chose, mais là, nous étions affamé en une seule journée, et il en restait 3, il faudra garder le courage, la tête haute, le sang froid, et surtout, sa vie. Après 3 jours et 3 nuits, sans dormir, sans manger, nous n'étions plus que des cadavres ambulant, des âmes rattachés à leurs bout de chair, ne voulant pas lâcher, pas pour survivre, mais pour ne pas donner le plaisir de mourir aux gardes, et puis, personne ne voulait abandonner ses frères en premier, alors nous restions en vie, tous ensemble, pour un avenir très, trop incertain. Nous sommes donc arrivés dans une ville portuaire du nom de Alboria, elle était une île avant, enfin c'est ce que racontait le cocher avant qu'un garde lui intime de la fermer. La ville semblait belle, et encore plus riche que l'ancienne dont je n'ai jamais connu le nom. Même si on passait au début par les quartiers les plus pauvres, cette ville la semblait aussi bien mieux sécurisée que l'ancienne, des gardes partout, aucun voleur, et aussi aucun groupe d'orphelins. Ils nous enfermèrent dans une autre prison, plus spacieuse, et plus « confortable ». Nous étions condamnés pour la semaine qui suivait, et donc il ne nous restait rien à vivre. Enfin, nous restions nous, nous nous chamaillions encore et toujours, nous étions de nouveau nourri, et au bout de 4 jours, et non une semaine, la sentence arrivait pour nous punir. Un gros bruit de tonnerre raisonna, puis une explosion, ces bruits réveillèrent en moi, un passé que je voulais oublier. Puis deux, puis trois, c'était un véritable foudroiement qui s'abattait sur la ville, mais la relance se faisait entendre aussi, la ville se défendait, c'était un déluge d'explosions, de bruit de canon, de sifflement. Quand d'un coups tout cessa, un homme cria au loin « abandonnez le port, réfugiez-vous dans la ville fortifiée ! » puis le silence absolue, jusqu'à entendre un hurlement de victoire, suivi de pas rapides. Ils arrivaient vers le fort, pour tout piller, et surement nous tuer. Des hommes descendirent et nous virent au même moment, il nous demanda pourquoi nous avions été arrêté, j'allais dire la vérité, quand d'un coup un de mes amis répondit à ma place, il disait que nous étions des hors la lois rechercher pour tuerie, pillage et autres crimes odieux, c'est alors que les hommes hésita entre nous tuer, ou nous recruter. Et ils appelèrent leurs capitaine, qui descendit lentement, il semblait pas très jeune, mais bien conservé en tout cas, il était vêtu de noir, et était habillé d'un chapeau étranges, avec trois pointes. Sa tête me disait quelque chose, d'ailleurs, il me dit la même chose, me fixant longuement, puis il demanda à ses hommes le problème, et tout fut exposé au capitaine, un sourire arborant son visage. Il ordonna de nous ouvrir notre cage, puis une fois libéré nous demanda si nous savions ce qu'il faisait comme « activité », nous répondions que non, et il cita le nom de « piraterie », des hors la loi de la mer, piller des navires de guerre, des navires marchand, des forts aussi, seul les plus dangereux survivent dans les hautes statures de l'océan qu'il disait, comme un fanatique des eaux profondes, il ressemblait à ce bon vieux loup de mer. Puis nous demandions à pouvoir le rejoindre, arquant un sourire sournois, acceptant à une condition, tuer un être humain dans la ville fortifiée, et en revenir sain et sauf, nous acceptions tous, délivrant notre âme à un démon des océans, la vie ou la mort ? Nous choisissons le pacte avec le démon. Nous prenions chacun un sabre, et nous nous dirigions vers la porte de la ville, simulant des rescapés affolé, on nous ouvrit rapidement, nos corps ne laissait pas paraître notre traîtrise, nous décidons de nous séparer, pour éviter de tous se faire prendre, c'est ainsi que je me retrouvais seul, mêlé à une foule immense et inquiété, je me demandais qui était le malchanceux qui allait devoir mourir à ma place, allais-je vraiment le faire ? Pour ma propre vie ? Quand d'un coup un homme surgit de nul part et tente d'enlever une pauvre petite gamine, ma chance était là, comme toujours, de plus il venait vers moi, au moment où il était le plus près, j'ai enfoncé mon épée dans son gosier jusqu'à la garde, le type relâchant immédiatement la petite qui tomba au sol, sonnée par les événements. Voilà où j'en étais, tué ou être tué, était-ce moi ? J'étais perdue. La petite pleurait, tandis que le corps proscrit de l'autre s'affala sur moi, j'ai alors doucement retiré mon épée, l'autre tombant sur le sol, mon épée en sang, je repartis en courant vers la sortie, la dame me remerciant de loin allant récupérer son gosse, c'était une chance pour rejoindre le groupe de l'autre, il me restait plus qu'à sortir, et quand je demandais aux gardes de me laisser sortir, ils répondirent qu'aucun civil ne devait partir, quand tout d'un coups, un crie, et l'affolement générale, deux de mes camarades avait chacun tué une personne, ils étaient tout près, tellement que je pouvais apercevoir leur peur, leur haine, leur tristesse, et les gardes qui foncèrent vers eux, j'aurai pus arriver par derrière et en tuer un pour être ensuite à trois contre un, mais j'ai ouvert la porte que j'ai fermé ensuite derrière moi, et j'ai accouru vers le navire, qui me faisait signe de venir, à voiles ouvertes. J'arrivais devant le capitaine, deux de mes amis étaient déjà là, il s'agissait de Richard et de Lisson, du sang sur les vêtements, mais pas le leurs, le regard vide, mais aucun regret ne se lisant sur le visage, un silence de mort régnait, et au moment où j'allais ouvrir la bouche pour parler et revendiquer ma place, des cris se faisaient entendre, ceux de mes acolytes, des deux que j'ai laissé tomber, je serrais les poings, et je fixais le capitaine arrogant et souriant en tête de son groupe de hors la loi des mers, et je revendiquais alors ma place, et il me fixait d'un air grave, comme s'il allait me déchiqueter vivant, et c'est alors qu'il ria me souhaitant la bienvenue dans l’équipage du Capitaine Bark. Puis d'autres sont arrivés du sang dégoulinant de leurs mains désormais corrompues. Nous étions la bande des huit, nous ne sommes plus que 5. Bilan des morts ? J'en sais rien, j'avais perdu 3 amis cher, dont deux par la faute de ma lâcheté, ou peut être un moment d’intelligence ? Mieux vaut se laisser porter par ses sentiments ? Ou par son envie de survivre ? Tout ceci m'était encore brumeux, et je laissai le futur guider ma voie, sans même faire attention au présent, alors qu'il était très, peut trop important, cela va de soit, un hurlement général, 5 gamins à peine sevré de leurs existences en petites bandes, un hurlement de victoire autour d'un silence de vivant qui pleurait ses morts sans le dire, un hurlement de joie camouflant le silence abyssal de la honte de la bande des 5, acceptés par le Démon et ses serviteurs. L'ancre fut levé, nos mines dépités se levèrent aussi, mais malgré les morts, je fus le seul pour qui l'aventure maritime m'assurerait un amusement prochain, des souvenirs remontant peu à peu, du loup de mer et du rhum, tout me semblait si proche, alors que tant d'années me séparait de ma tendre enfance, puis le vent souffla, les voiles se gonflèrent, je sentais la brise salée de l'océan caresser mon visage, et un claquement retentit, un coup de fouets, un coup de travail, on me força à me mettre sur les genoux, on me donna de quoi laver le navire, et je pris un coup de pied dans le dos, d'un homme m'ordonnant de laver le sol avant de me souhaiter la bienvenue. Je comprenais tous ces marins qui ne regardaient que la sueur de leur travail, alors, il fallait commencer mes aventures. Nous dormions dans la cale, sur des tissus tendu entre deux poteau, personne n'avait vraiment de poste attitré sauf les plus spécifiques, je sais qu'il y à un cartographe, qui s'occupe des destination, de dessiner des cartes, océanique ou terrestre, il y a les canonniers, qui savent ce qu'il faut mettre de poudre dans les canons pour que le boulet parte sans que le canon explose, il connaît la taille des boulets, il y à le cuisinier de bord, même un médecins, puis il y a les haut placés, le trésorier, le contremaître, le second et le capitaine, je ne connais pas encore tout d'eux, et pourtant ce sont des informations capitales, je ne suis qu'un serviteurs, un pion préparé à l'abattoir, même si selon les occupants, le plaisir en vaut la chandelle, je verrai bien, les nouveaux en font pas de vieux os, tandis que les vieux sont respectés, j'inverserai la tendance. Un jour comme les autres ne l'est jamais forcément, un ciel bleu, une mer calme, cela faisait une semaine que nous voguions sans qu'on sache où nous menait notre destination, quand d'un coups, le second faisait porter sa voix, un navire marchand repéré par le vigie, tous à son poste qu'il disait, mais nous quel était le nôtre ? Être les pions de l'assaut, s’armer et foncer dans le tas, il fallait être prêt à ce qu'ils appelaient un «abordage», l'activité était intense, nous avions chacun nos sabres à la main, et certains un arc avec un genre de flèches mais avec des extensions de fer sur les pointes, ils appelaient ça un « grappins », pour pouvoir accoster sur l'autre navire facilement. Enfin, facilement n'était qu'un mot comparé à la vérité. Un, puis deux, et trois, les coups de canons retentissait distinctement, mais ceci n'était que des coups de sommation, puis vient enfin le moment où on est sûr d'atteindre sa cible, un gros vacarme prends alors le contrôle du navire, tous les canons actionnés presque en même temps, bouchant mes oreilles, j'entendis le raisonnement de la douleur au loin, je jetais alors mon regard sur le morceau de bois flottant appelé navire marchand, des morceau de bois volant partout, notre navire le rattrapant peu à peu, et même rapidement au final, puis les grappins sont tirés, le fer peut alors commencer son débat, et faire de nous les serviteurs du combat. Des souvenirs, voilà ce qui me hante pendant que j'essaye de survivre à ce carnage, c'était pas compliqué, les marchands étaient à peine armé, j'ai tué deux personnes, et de dos qui plus est, mais les souvenirs me hantèrent, je repensais à ce moment où je fus enlevé à mes parents, je ne savais plus quoi penser, puis d'un coup un crie final, celui du massacre et de sa fin, on commençait à piller la cale, quand tout d'un coups le Capitaine Bark frappa le capitaine de l'autre navire, lui demandant où il avait caché le cacao, une scène que j'avais déjà vu. Un bruit, le fer, une vision, le sang, tout ceci résonna dans ma tête comme dans une cloches, le pirate qui tua mon père, était désormais mon capitaine, mon commandant, mon guide, mon protecteur, tant de mot pour désigner un homme dont les actes ignobles ont séparés les bons, et réunis les mauvais, tant de haine déversées dans des gens inconnus pour s'emparer d'or et de ce qu'il appelle « cacao », suis-je un pirate désormais ? Malgré toutes mes anciennes conditions si lointaines et respectables ? Oui. Les derniers cris retentissaient, le navire sombrait au loin, avec les survivants attachés au mât principal, le Capitaine disait que la terreur venait des actes et non des mots, et que c'est pour cela qu'il ne laissait à chaque fois qu'un seul survivant, étais-je donc celui qui a réchappé à son courroux ? Qui refuse de tuer juste pour que je raconte les actes d'une cruauté rare ? Sûrement, même si je ne sais toujours pas pourquoi j'étais au milieu de rien, sans rien, avec rien. Mais mon périple ne fait que commencer, un fort à été ciblé, et pour de l'or, il faudra le détruire. Je restais sur le bateau, sabre à la main, les coups de canons tonnant, je restais sur le pont, avec les autres gueulard qui criaient des hourras par ci par là, le sang dégoulinant de leurs yeux tueurs, je restais debout, le regard vide, pas d'émotion à montrer, tellement à ressentir, je restais immobile en ce moment précis, et je regardais devant moi. Des cries, des larmes, le feu, la fumée, c'était un fort militaire certes, mais il y avait une ville en son centre, et le fort ne résista pas contre les trois étages des sept canons du Pr'Or'Ibis, surtout que le cartographe était intelligent, il avait montré d'où il fallait attaquer pour que les 4 bombardes à l'arrière du bateau puisse toucher les canons du fort, sans que nous soyons en danger, au moins je savais que chez les pirates, l’intelligence tue. Une fois au sol, le massacre fut terrible, homme femme enfant, on avait ordre de tuer quiconque ne portait pas le fanions des pirates, celui avec trois épées dont une qui transperce un crâne à la verticale, les deux autres étant derrière celui ci à la diagonale. J'ai tué des femmes, des enfants, j'évitais les hommes pour ne pas avoir à combattre, jusqu'à ce que je rencontre ce père de famille qui se mit devant moi, me hurlant de dégager, le bougre n'a pas tenue face à la flèche qui atteignit sa tête, le capitaine visait bien, et il me restait à finir sa famille, ce que je fis rapidement. La tension que j'avais, la haine, mon âme déchirée en milliard de morceau, j'avais autant de cassure que de crimes, je devais prendre les choses en main. Nous retournions sur le bateau, et pendant la nuit, j'organisais avec tout les non « gradés » du navire une mutinerie, prétextant non pas la barbarie que ces hommes aimaient, mais le peu d'or, le peu de bouffe, le peu de bon traitement, je disais que nous étions des proies par sa faute, et que je suis en réalité un meilleur capitaine, ces demeurés assoiffés de sang prirent les armes après les mots « or » et « tuez l’équipage », ils foncèrent sur les gradés, moins nombreux mais plus fort, et scandèrent mon nom, je pris une cape brune qui traînait la, virait l'insigne salit avec le fanion, pris un couteau et écrivais dans ma propre peau sur l'avant bras gauche, « Plus jamais ». Je saignais de mon bras gauche, mais je résistais, je voulais résister, je devais résister. Tel était mon prix, le sang par le sang, je sortis, je voyais que le nombre l'emportait, les lieutenants tombaient et mourraient un à un, nous laissant de plus en plus nombreux, je sortais lentement, mon bras en sang, mon long manteau brun m'allait comme un gant, les bruits finissaient, les plus importants étaient encore en vie, il ne fallait pas tuer le médecin le cuisinier ou le cartographe, même les canonniers étaient avec nous, le capitaine était devant nous, devant moi, jugé de mon regard, le jeu était terminé. Je continuais de fixer cet homme qui ne se souvenait pas de qui j'étais, et je lui mis une droite dans sa barbe collé à sa joue. Je lui demandais exactement ce qu'il demandait à mon père, « où est le cacao ! », il me regarda, riant légèrement, me disant que le Cacao était sur son île personnel, là où il était « raffiné », mais je m'en foutais, je demandais s'il se souvenait de moi, après tant d'années, il me répondit que non et je lui expliquait qui j'étais, d'où je venais, et comme son air m'agaçait, j'élevais mon sabre, et avant de se faire trancher la tête, il dit « j'avais tué tout les Binks sur ce rafi... » sa tête roulait sur le parquet du navire, le sang dégoulinant de partout, puis je levais mon épée au ciel, hurlant de rage et de victoire, les hommes suivant mon geste, une légende était né. Le fanion était déchiré de partout, et le drapeau fut enlevé, un des hommes s'y connaissait en couture, et je lui laissais le libre choix de faire le fanion. J'étais devenu le Capitaine John Binks, le Capitaine des mutins, le Capitaine d'un équipage sans nom, l'aventure s'ouvrait à moi, mais la réalité aussi, je mis mes mains à la barre, je ne savais pas la contrôler, c'est alors qu'un dilemme apparu, j'étais un bon orateur, mais un mauvais Capitaine, dépité, je donnais mon poste au second, et échangeait donc avec lui, il m'apprit tout sur la navigation, sur les ordres, et aussi sur la guerre, c'était devenu l’équipage du Capitaine Richard Montlieu, qui nous proclama l’équipage au cents têtes brûlés. Un crâne en feu avec une sabre en dessous apparaissait comme fanion. J'étais donc un grade très important, un second, mais un second sert à quoi ? Et bien j'organisais avec le cartographe quel fort était le plus susceptible de tomber, même si j'oriente mon choix sur le moins de civil possible, sur les petits fort qui ne rapportaient pas tant que ça, mais à chaque fois que je regardais mon bras cicatrisé sans suture après ma demande au docteur du navire, « Plus Jamais », je faisais le bon choix, enfin pour moi même. Mais les hommes la voulait, cette charcuterie, cette boucherie, ce cauchemars ambulant tant rêvé par les matelots intrépides et cruel que sont les pirates, j'ai du faire une concession, et envoyais notre navire sur un fort immense, chargés en soldats royal d'un certains pays maritimes, tout dépendait des hommes, soit c'était un carnage, soit la débâcle des têtes brûlés. Le Capitaine Montlieu décida de gagner en homme et en arme avant de s'en prendre à un tel fort, nous allions donc accoster dans une île pirate, perdue au milieu des océans, aucune loi, aucun chef, des prostituée, des alcooliques, des criminels, tout et n’importe quoi, tout les bars sont des bordels, des terrains de combat, et dans l'un d'entre eux, un mot m'interpella, deux en fait le premier était « le cacao raffiné » le deuxième étant le rhum, je m'empressa d'entrer dans le bar, regardant les personnes présentes, demandant de me montrer ce fameux cacao, certains me tendant leur mains me donnant de quoi faire « une virée de rêve » mais je ne savais pas comment le prendre, il me disait de le manger simplement, et que c'était gratuit juste pour que j'essaye, des gens sympathiques pour des criminels, des gens juste eux même, je me sentais libre, enfin. Je me réveillais dans mon navire, allongé, au centre d'un cercle formés par les hommes de l’équipage, mon ventre me faisait mal, mon dos aussi, je ne pouvais pas me lever tellement que je souffrais, je demandait quels coups j'avais pus subir, et la réponse fut autre, j'avais deux tatouages, un représentant un crâne muni d'une barbe blanche, semblant vieux sur le ventre, et derrière, un grand tatouage représentant un pirate aux cheveux et à la barbe noir avec un sabre visant le ciel, la gueule ouverte, le cacao avait marché, mais de fait, je préfère le rhum, d'ailleurs mon épaule fait mal. En me relevant je vis qu'il y avait plus d'hommes, et des bombardes étaient présentes désormais sur le pont, nous étions prêt, je regardais d'un air attristé tout ses hommes voulant leurs quotas de meurtres, viol et j'en passe. Je me massais mon bras encore endolori, la tête engourdi par ma « virée » d'hier, je fixais devant moi sans regarder, je sondais mon esprit, et j'empoigne une bouteille prenant une bonne gorgée, la fatigue m'accable, était-ce mon but ? Je le pense oui, ses hommes sont aussi bon que mauvais, j'enfile ce long manteau brun, et vais rejoindre mon ami et aussi Capitaine Monlieu. Nous étions prêts oui. Notre équipages étaient une familles, nous étions tous sans arrêts en train de rire, et pendant le trajet vers cette île lointaine, nous nous amusions, alcool et pour certains Cacao, puis je leurs ai appris la chanson des Binks, et je leurs ai joué un petit instrument que j'ai toujours su jouer, le Violon. Même si j'ai dû modifier les paroles, remplaçant les passages de « marchands » par « Pirate » . La vie était belle et parfaite, pas de mauvais moment, que une famille riant, chantant, buvant à la gloire de notre équipage, mais toutes bonnes choses à sa fin. « Navire en vue ! », telle était la phrase que le vigie hurlait depuis son poste sur le plus haut mât, en sortant, nous vîmes un navire de guerre du pays qu'on s’apprêtait à attaquer, du moins l'un des forts. Leurs royaume ne le savait pas, mais que peut faire une armée quand elle voit un pavillon noir s'approcher de ses terres ? L'attaquer. Des boulets filait vers le bleu étincelant de l'eau, des éclaboussures nous arrivants dessus, il fallait se battre, encore.En tant que second, je gueulais comme un malpropre les ordres donné par le capitaine, les canons sortis, le navire tourné pour la bataille, un silence de mort régnait sur ce pont emplie de vie, et la déchirure commença. Des éclats de bois volant partout, des cris, des sons parfois sourd et parfois stridents. Je levais légèrement la tête, et voyais leurs navires prendre aussi des gros coups, mais notre avantage gagnait tandis qu’un tire de bombarde avait touché de plein fouet la barre ennemi, puis, on utilisa notre proue renforcé, ainsi que notre tête de figure en pierre, le navire ennemi immobile ? On ne l'aborde pas, mais on le coule à notre manière. Le vent qui passait dans mes cheveux ébouriffés, dans ma jeune barbe, le vent qui s'infiltre dans ma longue veste, la faisant voler à son dos, le vent, puis le choc. L'avant de notre navire planter dans le ventre de l'autre, notre navire était plus petit, donc plus rapide, je ne connais pas encore les termes des navigateurs, mais je savais que notre navire plus petit était donc plus rapide, et la proue éventre le navire ennemi, malgré la proue renforcée, ce n'était pas sans dégâts, et on utilisa la proximité des gens pour tirer à l'arc sur les plus courageux qui restaient devant, et ensuite les deux canons avant pour le faire couler totalement, il ne restât donc rien chez eux, et chez nous, il n'y avait un mort, qu'un seul, mais pas n'importe qui. Pleins de blessés, un seul mort, les médecins. Nous devions continuer selon Monlieu, et nous le ferons de toute manière, et c'est ainsi que notre famille avait un mort, mais notre destination était toujours claire, le fort. Nous arrivions devant le port du fort militaire, un drapeau blanc marchands à son mât, puis les ingénieurs engagés lors de notre arrêt à l'île pirate, réglait les 4 bombardes pendant qu'on s'approchait à lente allure, le ciel était calme, le bleu de l'océan reposant, mais la tempêtes des cents têtes brûlés arrivait. On mit le bateau de côté, tout canon sur les points des défenses du fort, visant donc absolument les canons et les tours, puis le bras de Monlieu s'abaissa, et la tempête éclata. Les 4 bombardes tirant toutes une à une pour donner un effet de rafales et ne donner aucun temps de répits, pendant qu'une charge, l'autre tire et ainsi de suite, pareil pour les lignées des canons, le premier étages sur le pont tire, et pendant qu'il charge le plus rapidement possible, la deuxième bordée arrive rapidement via le deuxième étages dans les cales. On continue comme ça jusqu'à tomber toutes les défenses possibles des murailles, puis on tente un abordages rapide et précipités pour esquiver le peu de canons qu'il restait. Le navire arriva à port, et les hommes débarquèrent, suivis par Montlieu et moi, puis un son fendit le ciel, et du sang tacha l'air, une flèche avait touché. Monlieu tomba au sol, une flèche directement plantée dans le cou, l'empêchant de respirer et de parler, il crachait du sang, et je le regardais de là où j'étais, immobile, un de nos hommes tuant le tireur, il mourut rapidement, et je le regardais, sans larmes, sans peines, comme m'y attendant, je pris sont tricorne, le plaça sur ma tête, sortit mon sabre, et j'ai hurlé de rage qu'aucun d’entre eux ne devaient vivre. Et le massacre commença. La débâcle, un mot signifiant beaucoup, psychologiquement comme physiquement, la débâcle démoralise, c'est un terme qui signifie un échec lourd, ce mot ne pouvait pas mieux signifier ce massacre, et ceux pour les deux côtés. Nous avancions la rage au cœur, et le sabre vers l'horizon, pointant l'ennemi et le plantant, puis en remontant les rues du fort, en tuant tout militaire présent, nous tombons sur une place, avec pleins de soldats, nous aurions du partir, mais ma rage parla, et le sang gicla. Des tireurs aux vitres et sur les toits, des soldats armés de lances ou même de hallebarde, notre débâcle était là. Je me réveillais sur le bateau, le bras gauche en sang, avec 21 personnes qui m'accompagnaient, je me relevais sans un bruit, un bandages fait à la vite sur mon bras gauches, plus aucunes pensées, plus de familles, plus d'amis, plus de bons moments, plus d’équipages, plus d'autorités, plus de vie. J'appelais le cartographes, lui demandant de me guider jusqu'à l'île pirate pour de nouveau recruter, il me dit qu'il fallait des vivres avant, je le pris de mon bras droit par le col, et lui ai demandé de sang froid où était le village de pêcheurs le plus proches de ce pays que nous venions d'attaquer, il me répondit, puis je le lâchais, attrapant la barre à une main, posant l'autre douloureusement dessus aussi, puis je hurlais ma rage d'un coups, commençant à faire avancer le bateau vers mon destin. Un carnage, pas d'autres mots, le bras gauche dans des bandages primitifs, le droit dans le cœur d'un pécheur, enfin à titre d'image, ce n'était que mon sabre, c'est-à-dire le prolongement de mon bras. Piller, tuer, et même violer, j'ai tout fait, tout ce que je refusais, tout ce que je haïssais, tout ce qui me répugnait, j'ai tout fait. Je buvais encore et encore, j'ai tout fait. Allant même jusqu'à uriner sur les cadavres encore chaud et saignant, j'ai tout fait. En remontant vers le haut, un autre village tout aussi petit, mais se basant sur le commerce de bois, notre navire étant un peu amoché, voler du bois était pas si compliquer, convaincre des gens de nous suivre l'était, mais nous avons réussit à forcer la présence d'un docteur, menacer la femme est toujours efficaces, la fille aussi. Certains nous ont rejoint par envie, par aventure, par découverte, ils ne savaient pas. J'ai tout fait. Le navire reprit sa route, je savais désormais naviguer, je savais me battre un minimum, me défouler, commander, et massacrer, que me fallait il de plus ? Un nom d'équipage, un emblème, un surnom, et du charisme. C'est ainsi que les pirates miraculés sanglant étaient nés, que le capitaine Binksou le nerveux était né, que le pavillon noir avec une tête de mort fendu en deux était né, et que notre futur destination l'était aussi. Longue barbe noir, très longue, grand équipages, très grands, et un grand âge, très grands, de simple capitaine je suis passé à légende, pourquoi ? J'ai environ 150 ans et j'en parais 30, Je suis passé de Binksou le nerveux à Binks du Rhum, Binks l'intrépide, Binks inarrêtable et maintenant, Binks l'immortel. Mais tout le monde meurt un jour, mais pas tout le monde revit. Pour inspirer mes hommes, je leur contait des histoires d'enfants, comme quoi de l'eau limpide et claire sortant d'une fontaine m'avait rendu immortel, mais le problème de la popularité, est quand on en fait les frais. J'avais plusieurs navires, plusieurs équipages, comme une armée en soit, ma tête était mise à prix, et les cupides sont nombreux, même parmi les confrères. Une embuscade, un navire marchand au loin, vraiment facile d'accès, et sans méfiance on à foncer dedans, la proue renforcée en avant, et la, une explosion. L'avant de notre bateau était parti en cendre, des corps cramés volant, le bateau commençait à s'enfoncer dans l'eau, elle qui s'infiltrent lentement, tandis que le navire marchand, lui était vide, que des mannequins fait de paille, habillé comme des marchands, ridicule. Et la, des flèches pleuvaient, l’équipage mourrait peu à peu, et moi aussi, 3 flèche sur mon corps, une dans le dos, une sur la jambes, une sur mon épaule, et je suis mort, mains à la barre, mort comme un sauvage après une vie barbare, les ironies de ma vie m'ont tout aussi tué, je revis le premier village que j'ai pillé qui n'était pas le dernier, je revis le premier capitaine que j'ai tué et qui n'était pas le dernier, je revis mes amis avec qui je volais, je revis mon père avec qui je voguais, je revis ma famille, puis je revis le monde, de mes yeux, de mes yeux vivant. J'étais dans une chambre, je me “réveillais” en sursaut, tâtant toutes les parties de mon corps à la recherche de mes blessures, aucune. Une femme venant me voir, me disant qu'elle m'avait trouvé sur le sol, inconscient, c'était un cabinet de médecins, je ne comprenais plus rien, je bafouais tout ce que je savais a propos de ma vie, de ma longévité, de ma mort, et de mon statut, et puis je saisi un scalpel présent, et sa gorge n'était plus. Je sorti en trombe, et j'ai accourut vers le port, allant à la taverne de celui ci, montrant mon tatouage, ma cicatrice, on me reconnus de suite, je demandais un équipage et un navire prêt, même si c'était en petit, et ce fut le cas. Je fonçais avec une simple caravelle vers mon île personnelle, celle que j'ai fait grandir juste avec ma notoriété, une île semblable à celle des pirates, mais en moins bruyante. En arrivant les gens n'en revenait pas, la nouvelle disait que j'étais enfin mort, et me revoilà qui surgit, je faisais celui qui comprenait cette situation, mais j'étais vraiment dans le brouillard, puis on me fit rencontrer un des survivants de ce piège, et sa réponse fut troublante, puisqu’à mon dernier souffle, j'étais collé à la barre, puis mon corps à disparu, laissant les flèches se planter dans le sol. Je lui disais que j'étais bel et bien immortel, mais au fond de moi, je me sentais fou, il me fallait un carnage. Après un pillage qui pour moi est devenu une banalité sans pareille, nous fonçons vers le lieu du piège, je m'attendais à voir ma dépouille, mais le navire avait déjà sombré, et le faux marchand était parti dès le début en cendre. Nous avons donc accoster afin de voir le pays le plus proches, il a fallu une petite heure de marche avant de tomber sur une grande ville de commerce, moi, mes hommes, nos armes, nos rages, nos pulsions, un carnages, du sang, la mort, et encore une fois, la mienne. En fonçant dans cette ville trop gardé, certains ont fuis, ils ont désertés, ma folie m'aveuglent, et je pris des coups d'épée à foison, j'en perdis même ma main droite, puis un coups d'épée de soldat dans le cœur, et le ciel bleu était à moi, ce ciel qui semblait calme, ce sable doux, cette brise apaisante, moi, ma folie, on était vivant, allongé au sol, je fermais les yeux, ne voulant pas le croire, je m'endormais, je me laissais sombrer, j'abandonnais. Était-ce la ma « punition » ? ne jamais mourir ? Ne rien comprendre ? Je voulais donc tenter de me reprendre, quoi que c'était, ça ne m'aura pas, ni moi, ni ma vie, ni ma mort, je ferais ce que bon me semble, et je ne changerai pas ce que j'ai accompli, du moins c'est ce que je pensais. La peur, un sentiment étranges, elle fait trembler, transpirer, elle peut faire bafouiller, bégayer, ou encore même perdre la raison, alors que la raison est ce qui fait de nous des hommes à part entière, plus que quoi que ce soit, les hommes peuvent être féroce doux fous ou encore malin, s'ils ne sont pas doué de raison, ce ne sont pas des hommes, la peur transforme les hommes en des créatures affligeantes, avec toutes ses morts, je n'étais plus un homme. Je décidais de m'avouer vaincu, de ne plus foncer comme un demeuré assoiffé de sang, j'ai décidé de ne plus être le capitaine si connu, je laissais les gens croire en moi, mais je n'étais plus là, mon corps résistait malgré la mort de mon esprit, puis, vint le jour fatidique, le jour qui décida du destin de l’équipage de l'immortel, je refusais tout carnages, mes hommes, ma famille, plus aucun ne scandait mon nom, ne chantait mes chansons, s'agenouillait devant la légende du Pirate invincible même mort, ces hommes firent ce que je fis, une mutinerie. On n'échappe pas à son destin, à ses actes passés, chacune de nos actions, de nos perfidies, on en paye le prix. De fils de marchand je suis devenu orphelin des rues, de voleurs de ville je suis devenu pirate, de petit moussaillon je suis devenue une légende, et de légende, je redeviens un homme, anéanti, sans rien. J'étais John Binks, fils de Robert Binks, de Cindy Binks, Du rhum, de l'océan, et maintenant je meurs, encore, et pour toujours. Toute vie à sa fin, mais toute revis à son recommencement, 329 ans aujourd'hui, compter et la seule chose que je sais faire ainsi que parler avec distinction, lire je ne sais plus, négocier non plus, mais je pense que mon aventure n'est pas fini, j'ai encore à faire, à trouver, à commencer par ces mutins, mais me voilà à croiser la route de l'ordre, je feins de vouloir le fuir, mais qui sait, mon aventure est peut être la. Je suis John Binks, Ancien capitaine de la frégate Millénaire, Ancien capitaine de l'équipage à l'immortel, aujourd'hui pirate et profane maudit, je resterai fidèle à moi même, peu importe le temps qu'il fera, je serai là à la fin comme au commencement.

    Présentation du joueur

    La personne que je suis n'est peu voir pas intéressante, même si vous voulez en savoir plus sur moi, ce sera chose impossible ^^ L'anonymat est un mot que j'aime appliquer, surtout sur internet. Sinon vous voulez en savoir sur John Binks ? et bien d'accords, tout d'abords il fait jeune, la trentaine, ce qu'il adore c'est le rhum ! Les femmes ! Et les aventures ! Comme un bon pirate. Il a pour qualité la sympathie, enfin quand il est pas énervé. Il est de nature calme et préfère boire du rhum avec des inconnus que se battre, mais il reste un (ancien) capitaine pirate, il aime avoir le contrôle, la débauche et aussi voyager sur les eaux. Comme défauts, il est arrogant, égocentrique, mauvais perdant, et mauvais capitaine en plus. Après, a vous de voir le reste en le croisant de manière hasardeuse ^^
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