[En cours de finition] [C'est une lettre tachetée de sang séché que vous avez trouvé. Le haut de la lettre est déchiré.] Nowaya ? Certain raconte que maintenant elle est morte. C'est faux, bien-sure. Mais bon, s'il y a bien une chose qu'on ne pouvait pas lui reprocher, c'est l'amour qu'elle vouait à sa fille. Du haut de ses... Quel âge ça lui faisait ? 24 ans il me semble. Oui exactement, du haut de ses 24 ans, elle devait bien faire, d'origine l'une des cibles de la ville. Tout le monde n'est pas garde du corps privé du roi, après tout. Mais qui ce serait douté que lorsqu'elle mis sa fille au monde, Erika, ça vie entière allait changer ? Une chance inouïs fut qu'elle la fasse naître à l'hospice, au près de sa sœur jumelle bien aimée et de son père. Et que ne fut pas notre surprise en voyant que l'enfant était albinos ! Au départ, nous l’avons cru morte, cette petite chose toute petite, toute fragile, toute pâle comme si elle avait déjà été prise par la mort. Mais les preuves étaient là, elle pleurait, la petite. Bien évidement, c'est une maladie, une maladie très rare même, et ici fort méconnu. Malgré tout mes arguments, je n'ai pu convaincre que la famille que ce n'était pas un démon, comme a si vite tendance à crier la populace dès que quelqu'un sort du lot. La jeune femme et sa sœur d'ailleurs étaient rousse. Mais à ce jour il est aussi possible qu'elle ai grandement changé. Imaginez la réaction du peuple en apprenant qu'une femme rousse mette au monde une enfant « touchée par la mort » ! En quelque jours elles furent accusées de démone, de monstre, d'impie, et de tout un tas de mot lié à la sorcellerie noir, dont il n'était finalement rien. Le roi destitua la jeune mère de ses grades, et quelque semaine plus tard, les magistrats sous le conseil du roi firent commander l’exécution de ces fruits démoniaques. Pour les deux sœurs, je connaissais déjà un mystère de la vie à leur sujet : elles ne mourraient pas. Ne me demandez pas comment, je n'ai même pas compris comment cela ce passe en vérité. Ce que je sais c'est qu'elles reviennent toujours en parfait état. Elles n'ont jamais vieilli au delà de leur 20 ans, leur visage est resté le même sans prendre de vieillesse. Ce sujet est tabou, ici bas. Mais il m'a été intéressant d'étudier la "mort", du moins de ce qu'elles m'ont dit, de ce qu'elles on ressentit et du traumatisme qui en découlait. Malgré tout, la sœur de Nowaya resta la moins marqué, et oubliait rapidement. Ne sachant pas si la petite aurait les mêmes attraits que sa mère et sa tante, je ne souhaitais pas prendre de risque et organisa un plan d'évasion. Mais à ma surprise, j'entendit un seul et unique dialogue entre les deux jumelles. « Sans plus tardez ces gens viendront te chercher, et ils voudront te tuer, toi et ta fille, ou t'enfermer à tout jamais. Si la tête de ma nièce est alors un trophée convoité, même seule je n'hésiterais à m'opposer à eux. Prend ces vêtements qui sont les miens. Porte les, et enfuie toi. Ne craint rien nous sommes jumelles, personne ne parviendra à nous différencier. » L'accord fut sceller, la jeune mère dans une longue robe rouge à capuche, l'enfant cachée par la cape qui la couvrait. Au préalable, elle s'était coupée les cheveux aussi court que ça chère sœur. Je la vie disparaître, une torche à la main, dans la ville. Quelques heures plus tard débarqua la garde royale entière, et comme je l'eu prévu, la famille au complète fut enfermé. Moi j'eu la chance d'avoir la grâce du roi. Plus tard, ont appris qu'elle s'était réfugié dans les montagnes. Elles y survécurent pas je ne sait quel miracle. Parfois, on la voyait en ville, poursuivit par des gardes, voler des vêtements, de la nourritures... Mais jamais la garde royale ne su la retrouver dans les monts. Ce fut dix ans plus tard que je pu la voir, elle et ça fille de mes yeux, lorsque j’accompagnais des gardes récupérer un soldat blessé. A nouveau prise en chasse, je la vie s'enfuir, tenant la main d'une petite fille, qu'on aurait appelé blanche neige si je ne savais pas qu'il s'agissait d'Erika. Les gardes furent incapable de la retrouver. [L'encre parait différente, d'une autre couleur] Il y a quelque semaine, j'ai reçu une lettre, qui semble avoir excessivement voyagé. En tout cas le sceau n'était pas ouvert. Dans cette lettre, Nowaya me racontait sa reconnaissance envers moi. Elle voyageait de ville en ville et se cachait avec Erika, qui fêtait « aujourd'hui » ses 14 ans. Elles voulaient pour survivre. Mais aussi elle précisa « Notre cauchemar va bientôt finir, j'ai rencontré un jeune homme, comme moi, qu'on nomme « Nagona ». Il m'a conduit à la civilisation. Là bas, pour la première fois j'eus l'impression de ne pas être rejeté, et quel ne fut pas surprise de voir des gens... Non-humain ! Tu serais émerveillé ici. Cette personne m'a sortit moi et ma fille de cet enfer, où nous étions perpétuellement rejetée. Ici, je me sent comme avant. » [Une signature semble avoir été gribouillé rapidement. Quelque goûte de sang sont visibles.]

Petit point IRL : Je suis une rôliste, et je pratique depuis plus de 8 ans. Je suis en l'attente des résultats de mon BAC tout fraîchement passé, et... Et c'est tout en fait. Petit point RP : Comme je l'ai dis je pratique le RP depuis 8 ans, soit depuis mes 11 ans (Et avec un chouille de calcul mental vous trouverez mon âge). J'aime le médiéval, et le post-apo', mais ça c'est encore autre chose. J'ai un an d'expérience en temps que rôliste sur table virtuelle (oui parce que les personne avec qui je joue sont excessivement loin) dont je suis récemment devenu Maître du Jeu. Je me suis tournée vers Minecraft car la plateforme m'était la plus simple à prendre en main, et pour moi la plus riche en idée. Berceuse que Nowaya chante pour s’apaiser : https://www.youtube.com/watch?v=WlQVj1dNXm4