Mon prénom est Caliawen, je suis une jeune elfe de vingt ans, blonde avec les yeux bleu, d'une tribu Intyalë. J'ai commencée ma vie dans la forêt avec mes parents, ma tribu, une grande et unique famille. Vers cinq ans, je commençais à étudier nos traditions, le repérage en forêt, la fabrication de divers objets et beaucoup d'autre choses avec les autres enfants . Toute fois j'étais assez longue pour réfléchir avant de faire ce que je devais. Quelques années plus tard, je me suis mise à aider ma mère pour divers tâche, concernant le ménage, la cueillette et un peu de premiers secours. Pendant ce temps là, mon père chassait et apprenait la chasse ainsi que la fabrication d'armes et d'outils à d'autre personnes. Arrivée à quinze ans, lors d'une fête au village, tout le monde s'amusait, pendant qu'un groupe de bandit était aux portes, prêt à piller et à tout saccager. La fête battait son plein, les tambours, les chants, puis les arbres qui tombent, le bois qui brûle, le village qui cri. Tout le monde courrait pour s'en aller, être entier. Tandis que je tombe avec la précipitation, tout tombait à côté de moi, le feu était proche, et il s'approchait encore. Je souffrait, je pleurais, les nuages de pluie arrivaient puis je me suis évanouie. Je me suis réveillée, dans l'herbe, il y avait des arbres à côté de moi, la nature était morte, le côté gauche de mon visage piquait, il était brûlé. Je me suis alors relevée, j'ai fouillée le village, il y avait des cendres partout, des corps partout. J'ai alors marché vers le soleil, tout droit, je buvais quand je croisais une rivière, je mangeais quand je croisais des champignons ou tout autres choses comestible. Après des jours, des semaines, des mois de marche, je me suis arrêtée à la vue de frères et sœurs, très peu nombreux, les derniers, à peine dix, mes parents n'étaient pas dedans.Nous avions décidé de se séparer, soit pour chercher d'autres personnes, soit pour refaire notre vie. Bouleversée, je marchais, sans envie, je continuais ma route jusqu’à croiser une petite cabane au bout de quelques semaines. Des humains, vieux et remplie d'amour. En voyant mon état, ils n'ont pas hésité à m’héberger, ils m'ont soignée, nourrit. L'homme, forgeron m'a fabriqué un petit plastron en bout de métal, de quoi prévenir quelques coups. La femme quant à elle prenait soin de moi, puis elle m'a offert une tenue, bleu comme le ciel. Je suis restée avec eux très longtemps, jusqu'à mes vingt ans, ils allaient de moins en moins bien. Sans me mettre à la porte, ils m'ont conseillé de partir, pour ne pas les voir souffrir d'avantage, de continuer ma route, ainsi que ma vie. Si je continuais vers l'Est, je trouverais une île, bien différente des autres. C'est ainsi que je suis partie reforger ma vie, seule.

En attente.