[HRP] Vous trouvez un carnet, la couverture est en cuir, les feuilles sont légèrement jaunâtres et la reliure est faite avec des lianes tressées. Il est marqué sur la couverture en grosse lettre « Le périple de Rahir ! » [HRP] Présentation : Alors, pour commencer, bonjour. Je m'appelle Rahir Porteplume, j'ai 25 ans au jour où j'écris ces quelques lignes. Si vous trouver ce journal, c'est que je suis arrivé à destination, que j'ai enfin trouvé ma vraie voie ! Donc vous avez du trouvé ce carnet je ne sais ou, à vous de savoir ce que vous allez en faire. Mais s’il vous plaît ne le brûler pas. Chapitre un L’enfance et les bases : Je suis né dans un vrai paradis, La clairière de Bristan ! Vous n’en avez sûrement jamais entendu parler et c'est normal. Mais vous devez au contraire connaître les bois du même nom. C'est un endroit effroyable ou vie bien des terreurs dont les arachnides de bristan et bien d'autre monstre. Mais en son centre, il y a une petite clairière, avec un lac. C'est là où je vis, coupé du monde extérieur, en parfaite harmonie avec la forêt. Ce qui est génial, c'est que l'on connaît tout le monde enfin presque, on peut toujours avoir des surprise. Toute personne à un travail bien définit, a sa propre spécialité utile pour la survie du peuple, seul les enfants ne travaille pas et encore, il assiste a beaucoup de cour et autre pour ce trouver leurs propre domaine. Tout est bien organisé, tous tourne à la perfection comme un monde sans défaut. Nos ferme sont bien entretenu par des personne qualifier qui exploite la moindre parcelle utilisable a cette effet, l’eau ne manque pas pour les plantes grâce au lac alimenté par des sources souterraines. Nous avons aussi des bûcherons, des boulangé, des artisans du bois et bien d’autre. Mais nous n’avons pas de métal car pas de mine dans la clairière, pour vous dire je n’en connaissais pas l’existence avant d’arriver dans le grand monde. Pour ma part, j'ai rapidement commencé à m'entraîner au tir à l'arc avec mon père et ma mère. Ils m’entraînent aussi à me battre avec un bâton, mais je n’aime pas beaucoup car il faut avoir beaucoup d’agilité et je suis plus du genre a resté à distance et bien analyser. Mes parents était fière de moi, ils voulaient que je les rejoigne dans La ronde de nuit. C'est un groupe de personne qui est chargés de protéger le village. Car oui tout n'est pas rose au paradis, on a des attaques de monstres de temps à autre, c’est pour cela qu’a été créé ce groupe. Mes parents y sont depuis leurs 20 ans et ils s’y sont même rencontré las bas. Comme leur grand parent et leur arrière grand parent… Tous les enfants rêve d’y rentré, c’est le seul moyen d’entré dans la foret, le seul moyen d’être vraiment libre, mais en même temps c’est un métier qui demande beaucoup de pratique, d’entrainement. J’ai été bien seul pendant tous mes entrainement avec comme seul accompagnement mes parents et le mannequin d’entrainement. Mais bon c’est bien ce qu’il fallait pour rejoindre mes parents. Chapitre deux L'adolescence : A mes 16 ans j’ai commencé a pensé différemment, je commençais a me dire que je n’étais pas fait pour vivre dans le groupe de la ronde de nuit, j’étais très bon au tir à l’arc mais pas pour le corps à corps. Donc j’ai commencé à me dire que je louperais une vie paisible a simplement cultiver un champ ou faire de la menuiserie ? Quelque chose de simple, car la vie de garde c’est du non-stop, une nuit à garder la foret l’autre à faire une ronde dans les alentour pour se battre contre ces arachnide. Alors que le travail dans les champs on sait ce que l’on va faire et l’on a du temps pour profiter de la vie. Le jour de mes 17 j’en ai parlé à mes parents, pendant de longue heure nous avons discuté de tout ce qui engendre la rentré dans la ronde de nuit dans le travail des champs, mais j’avais déjà pris ma décision et mes parent l’on comprit. Alors je suis parti de la maison pour habiter avec un fermier, mes parents l’ont très mal prit. J’étais leur seul enfant, le seul que le chef a bien voulu. Donc cela voulait dire que notre ligné ne continuerais pas dans la ronde de nuit. Je me disais que la vraie vie allait enfin commencé ! Chapitre trois La vraie vie : C’est à ce moment-là que j’ai commencé à travailler dans les champs avec le fermier, j’ai commencé par simplement faire les récolte et l’entretien des champs que l’on me disait puis j’ai rapidement été nommé chef d’une plantation donc je pouvais moi même décidé de ce que j’en fessait et j’aimais bien ça . Les années sont passé et je suis m’améliorais et un jour j’ai rencontré Léa, une très belle femme ! Avec qui j’ai rapidement commencé à passer beaucoup de temps, peut-être même trop de temps mais ça c’est une autre histoire. Et a ses 22 ans j’ai été habité chez elle. Elle travaillait dans une boulangerie pas loin de mon champs, donc c’était facile pour moi d’aller la voir. Je crois que j’étais vraiment heureux avec elle, que tout aurais pu ce passez ce passer normalement, que j’aurais eu une belle vie, et même peut être le privilège d’avoir un enfant qui sait. Mais ça a rapidement changé. Chapitre quatre La remise en question : Quand j'ai eu mes 23 ans, la personne avec qui j’habitais avant est venue me voir chez moi. Ma copine était partie plus tôt pour la boulangerie. On a discuté de travaille, puis Il m'a demandé si j'étais bien dans ma peau, si j'étais vraiment content de cette vie, si je voulais vraiment passer le reste de ma vie avec une femme, sortir pour faire le champ et revenir pour refaire encore la même chose que la veille ? On en a discuté pendant des heures et des heures. Et cela, m'a fait énormément réfléchir. Le lendemain, je l'ai revu aux champs, c'était son dernier jour, après il allait arrêter pour un travail moins endurant. Et je ne sais pas vraiment pourquoi, mais je lui ai promis de ne pas faire la même erreur que lui et de partir explorer le monde, pour lui faire honneur. Un mois plus tard, il est mort vieillesse, mort, comme ça, sans aucune raison. Il n’a pas eu le temps de profiter de la vie après son travail. Cela veut dire qu'il n'a fait que de travailler dans les champs toute sa vie ! Et c'est là que j'ai pris bêtement la pire décision de ma vie. J'ai décidé que j'allais partir du village, le plus rapidement possible. J'ai arrêté de travailler dans les champs, je suis retourné devant les mannequins d'entrainement, j'ai récupérer mon arc, mes flèche, et même un des beaux bâtons de mes parent pour me préparer à ma sortie du village, à traverser les bois. J’en ai bien sur parlé avec ma femme et elle a bizarrement et rapidement comprit mes ambition et ne m’a pas retenus, je lui ai demandé si elle voulait venir. Mais elle ne voulait pas quitter sa famille sont boulot comme ça du jour au lendemain. Alors après un mois d’entrainement je suis parti. Chapitre dernier Le périple : Parti comme ça en laissant tout derrière moi, je savais que je ne serais pas revenir d’une part à cause de foret trop dangereuse mais aussi que la communauté ne m’accepterais plus. J'ai dû me battre pendant plus de deux jours pour survivre dans cette forêt, mais j'en suis sorti indemne ! Le monde était devant moi, alors j'ai marché pendant des long mois avant de retrouver la civilisation, enfin ! Et à partir de là ma a recommencer de zéro, je ne connaissais rien de tout ce qui avait dans ce nouveau monde, j’ai eu beaucoup de chose à découvrir, à explorer. J’ai rencontré des personnes extraordinaires, qui m’ont ouvert les yeux face à ce nouveau monde et qui m’ont changé de l’intérieur. Pour survivre, je suis devenu trappeur, ça m’a beaucoup servit pour manger et admirer la nature, mieux la comprendre. Comme quoi je n’aimais plus me battre mais j’ai trouvé un métier qui m’allais, elle alliait maîtrise de l’arc avec réflexion. Maintenant je referme ce livre pour la dernière fois. Je vais a la recherche d’un groupe de personne qui vive en harmonie avec ce monde. Peut-être encore un nouveau départ ? Le dernier peut être ?

Une personne pas tout à fait normal.