L'impressionnante porte de fer s'ouvrait enfin, je vis les rayons de soleil qui aussitôt se mirent à éblouir mon visage. Je senti la chaleur sur les pièces de fer qui composait mon "visage". J'entendis un bruit derrière moi sans me retourner je franchis la porte et courra sans m'arrêter. jusqu'à hors d'haleine. au bout d'un ou deux kilomètres je m'arrêta épuisé et regarda derrière moi. j’apercevais le labo du docteur. je marchas lentement dans la pleine. Je marcha pendant des jours, en passant devant une auberge, épuisé et assoiffé, je volas quelques bouteilles et un âne sur lequel je voyageas encore jusqu'à la petite ville de Gèlepierre. arriver là-bas je passa quelque jours en vil -le. Après mettre fait voler mon âne, je décidas de monter discrètement dans un chariot. Mais au bout de quelques heures de galopages intempestives le possesseur du chariot me vit et m'éjecta de son engin à grands coup de savate. Et me revoilà a marcher dans une direction hasardeuse avec peu de nourriture.Au bout de quelques minutes j'aperçues une torche, puis une deuxième, et une troisième. celle ci ce suivaient les unes après les autres. je les ais donc suivie en espérant qu'elles me mèneraient quelque par. Je vis alors de grands morceaux de roche suspendu au dessus du sol. impressionné je m'arrêta quelque instants. cet endroit avait quelque chose de magique. quelque centaine de mètre plus loin, j'atteignis enfin un village. il semblait vide et inanimé. mais plus je enfonçais dans cette bourgade et plus je tombais sur du monde.

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