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Une main gantelée écarte le rideau des ombres, mandatée par le Triumvirat, l'Ecarlate Sylkabe impose le respect du Dharma, de gré, ou de force.

  • Profane Calyys

  • Aucune citation.

  • Fonction

    Profane

    Race

    Obsyde

    Sexe

    Indéterminé

  • Ampoule alluméeAmpoule allumée
  • Réput. HRP

    Présence

    17 heures

    Réput. RP

  • Histoire du personnage

    Je suis un Obsyde du nom de Calyys. J'ai vu des tas de paysages, et de visages, mais je vais vous raconter ceci plus clairement... Je suis né dans le ciel, comme tous les Obsydes, il y a une quarantaine d'années. J'ai vu le jour dans un lac, dans une contrée lointaine. Du moins, je crois. J'ai marché droit devant moi, durant un jour. Deux jours. Trois jours...Au bout d'un moment, j'ai perdu le compte. Je me nourrissait de ce qui me passait sous la main...petites bestioles, ect... Au bout de je ne sais combien de jours, j'arrivais épuisé, mais vivant, aux portes d'une petite bourgade. C'était une ville de taille moyenne, entourée de murs plus ou moins en ruine, avec une porte en bois de la taille de deux ou trois hommes. Elle était gardée par deux hommes en armure, qui me regardaient, intrigués par mon apparence. Un des deux gardes avait une tenue plus...brillante que celle de l'autre. Il s'approcha de moi, et me fixa, l'air perplexe. Il me demanda mon identité...enfin...je suppose...Je ne comprenais rien à ses paroles...Il a appelé l'autre garde, et ils m'ont portés jusque dans la ville. Là, j'ai été mis dans un lit, dans une sorte de cellule, mais en plus confortable. Une femme est venue et m'a donné une mixture à boire. Elle avait un goût amère, et une texture comme si il y avait des graines broyées dedans. J'eu l'impression que ma tête faisait une cube-tonne, mes yeux se fermèrent tous seuls, et je perdis connaissance. A mon réveil, j'étais toujours dans ce même lit, dans cette même cellule, dans cette même ville. J'entrepris alors d'explorer la pièce, et de comprendre ce qu'on attendais de moi. Mon logis était fermé par une grille, tel une prison, mais cette "cellule" comprenait en fait trois pièces. La chambre, une sorte de salle vide, avec un tapis et deux trois meubles, et la troisième étais une sorte de salle de bain, avec une petite baignoire et un lavabo. Je fut tenté de croire que j'étais plus un invité de passage qu'un prisonnier, ce qui agrandirait beaucoup mes chances de survie. J'attendis donc plusieurs heures, en réfléchissant à quoi faire, quand un homme ouvrit la porte et entra avec un plat. C'était une sorte de salade avec des ingrédients plus ou moins appétissants. Il m'avait l'air chaleureux et pas hostile du tout, mais je restais méfiant quand même. Il resta ici durant tout mon repas, puis, quand j'eu fini, me fit une geste, m'invitant à le suivre. Il m'entraîna hors de cet "appartement", et me donna une sorte de tenue me recouvrant de la tête au pied, et je compris que les gens d'ici ne resteraient pas sans réaction en me voyant, vu qu'ils n'avaient jamais vu d'Obsydes et me fit visité la vile, me faisant comprendre tant bien que mal l'utilité des divers bâtiment, à l'aide de dessins et de mîmes. Cet homme m'étais sympathique, et une fois la visite terminée, il m’accompagna chez lui, et tenta de m'apprendre les rudiments de leur langue. Au bout d'une bonne demi-journée, je sus dire à peu près tous les mots essentiels de leur langue : Oui, Non, Merci, ect... Puis il me donna son nom. Fradikh. J'appris donc que j'étais effectivement un invité, et que de nombreux voyageurs passaient par ici, et étaient accueillis ainsi. Fradikh me remis les clés de mon appartement, et me dit que des repas me seraient amenés tous les jours. A l'époque, je n'avait pas tout saisi, mais j'ai acquiescé comme si. J'étais libre de me promener dans cette ville, qui avait pour nom LogNoLoch (prononcez LogNoLok) Plus le temps passait, plus Fradikh et moi devenions amis. Il était intrigué par mon espèce, et moi par leurs langue et leurs coutumes. Il m'appris d'autre mots, et m'inscrivit dans une sorte d'école d'érudits, pour que j'apprenne à parler couramment leur langue. J'appris donc à parler. Mais cela me gênais de devoir me cacher de tous, de ne pouvoir montrer mon visage, sous peur d'être montré du doigt et mis à l'écart. Alors, un jour, j'ai décidé d'aller chez les érudits à visage découvert, mais avec une capuche, pour cacher mon cristal. Dans la rue, les gens paraissaient halluciner en me voyant. Certains s'écartaient, d'autre me regardaient, intrigués. Quand je suis arrivé en cours, le Maître de cet établissement m'a regardé avec un sourire, et m'a fait remarqué qu'il savait que j'étais un Obsyde. Alors comme ça, c'était ça le nom de mon espèce. les Obsydes. Je trouvais que ça sonnait bien, et je m'assis comme d'habitude. Mes voisins me regardaient, mais ne paraissaient pas plus surpris que ça...Ils me dirent que le Maître leur avait dit la nature de mon espèce, et que j'étais un plus un homme de lettre qu'un barbare. Plusieurs mois plus tard, tout LogNoLoch me connaissait, et ne me répugnait pas. J'étais franchement heureux de ne pas être mis à l'écart. J'ai doublé mon temps de travail, passant le plus clair de mon temps chez les érudits, pour devenir érudit à mon tour. Je me révélais être le meilleur des élèves, et le plus motivé. Quand j'eu quitté l'école des érudits, Je me suis mis à écrire, à tenir une bibliothèque, ect... En trois ans, j'étais devenue le savant de LogNoLoch, l'homme, ou plutôt l'Obsyde, qui savait tout. Je ne dirais pas que ce rôle ne me plaisait as..au contraire, je l'adorait. Un jour, j'étais parti en excursion, pour récolter des plantes rares, et je me fit prendre au piège par une meute de loups. Ils me traquèrent pendant plus d'une heure, puis se rassemblèrent autour de moi. Je n'avais pas envie de mourir ici...pas comme ça... Ils se jetèrent sur moi, et m'égorgèrent. J'ouvris les yeux, et je cru que j'étais au paradis. Mais non. j'étais encore en vie, mais autre part. Je ne comprenais rien à ce qu'il m'arrivais. J'étais pourtant sûr d'avoir été tué. Peut être n'étai-ce qu'un rêve ? Je voulais en être sûr. Je pris un couteau, et le planta d'un coup sec dans la gorge. J'eu mal, mais pas longtemps. Je mourus donc ainsi. Mais plus tard, j'ouvris encore les yeux. Ce n'était pas normal...Un mort, reste mort. Je repris mon chemin vers LogNoLoch, et alla en vitesse parler de ce qu'il m'arrivait au Maître érudit. Il me dit ne rien pouvoir faire pour moi, ni même m'aider. Mais il me parla d'un groupe d'érudits, encore plus instruits et plus puissants que notre école. a ce qu'il paraissait, ils étudiaient les phénomènes paranormaux, et étudiaient un Mythe ancestral. Je partis donc de LogNoLoch, en disant que je reviendrais bientôt. Je me mis en route vers une plus grande ville, et marcha jusqu'à la mer. Sur la côte se trouvait une petite ville, mais elle était dotée d'un port, c'était tout ce qui comptait. Je demanda au capitaine si il pouvait m'amener chez ces érudits. Il m'embraqua, et nous partîmes pour un voyage de deux ou trois jours, avant d'arriver dans la ville d'Andalaué. Là, je pris un autre bateau pour "L'Académie". Je suis donc arrivé à bon port. Je regarde autour de moi, et je me permet un soupire d'espoir.

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