== L'enfance et la Mort == Un jour dans un village du nom de Valkinia, une femme mortelle accouche, elle le nomme Vankalt, Vankalt Wickel signifiant l'enfant froid. Deux années s'ecoulèrent avant que cette femme accouche d'un second enfant, une fille, qui fut prénommée Ingrid. Les deux parents du nom de Harold et Hildegarde apprirent à Vankalt l'art qu'est l'agriculture c'est pourquoi il a développé une passion pour la faune et la flore au point qu'il ne revenait jamais le soir et passait des nuits à décrire les étoiles, le ciel, la forêt, les petits animaux, tel était sa passion. Les deux enfants grandirent et apprirent à cultiver, à bêcher et même à irriguer. Peu à peu leurs corps devinrent des corps d'homme et de femme. Vankalt connut peu à peu de nouveaux gens dont l'un d'entre eux fut Léonhard Grosswald, fils d'une caste aisée. Ces deux enfants entretiennent encore une amitié d'or semblant être imbrisable. www.wga.hu/art/b/bernini/gianlore/painting/selfpor1.jpg [Portrait de Léonhard qui sur celui-ci est âgé de 27 ans] Quelques années plus tard, un jour de Printemps, le premier drame intervint dans la vie de Vankalt. Son père lui dit par une voix calme mais tremblante : - Fils ... ta mère ... tu sais ... elle est malade et ... - Oui père et ? - Ta ... m ... - Oui mère est ? Peu à peu, son père aperçoit les larmes montées aux yeux de Vankalt. - Elle est partie ... lâche finalement Harold à présent veuf alors que son fils est âgé de douze ans. Vankalt s'écroule en larmes, s'agenouillant. Décisivement il demande à son père : - Pourquoi ? Pourquoi nous ... papa ? Harold lui répond, lui aussi, en larmes : - Je ne sais pourquoi Vankalt, je ne sais pourquoi ... == La Belle == Douze longues années se sont déroulées après le décès de Hildegarde, son fils, à présent qui s'occupe de la ferme des Wickels avec sa soeur, a connu de nombreux autres événements qui l'ont perturbé notamment le décès de son père à qui il tenait énormément. Son meilleur ami Léonhard Grosswald, qui était revenu habiter avec sa femme il y a de nombreuses années de cela, lui propose un jour de venir siroter un coup à la taverne avec sa soeur à la taverne, qui au fil du temps était devenu une femme ravissante, splendide et d'une beauté que nul homme peut oublier. shannavi.s.h.pic.centerblog.net/891fb46h.jpg [La splendide Ingrid] Vankalt et Ingrid rejoignirent Léonhard qui était en train de siroter un bière. Vankalt fit de même et but jusqu'à son gosier soit enflammé. Ingrid se rejoint aux danseurs et danseuses valsant au centre de la pièce. L'alcool ruisselait sur les tables, sur les mentons et sur le bar, l'or coulait à flot, le tavernier était aux anges et soudain un homme aux cheveux d'un noir intense, deux yeux bleus perçants la chair, portant une cape brune, mouillée par la pluie qui se déverse au dehors, que l'aubergiste se hâta de lui enlever et une chemise bleue, pénétra l'auberge ; on pouvait discerner diverses cicatrices sur son visage, sa barbe mal rasée lui donnait un air de mauvais bougre. Il sembla marmonner un moment dans sa barbe et finalement il beugla : - Hep, vous m'avez pas attendu pour fêter ! Bordel ! Qui vous a dit d'commencer sans moi ? Hein ? J'fais la loi ici ! J'veux du spectacle, hep toi ... lança-t-il à Ingrid, qui se trouvait au côté de Léonhard. - Donne-moi du plaisir ... danse pour moi ... Ingrid avança d'un pas, semblant obéir, Vankalt l'arrêta et s'écria à son tour : - T'ose parler à ma soeur comme ça ? Tu sais qui je suis ? - Non, j'en ai foutrement aucune idée. Et franchement ... je m'en fouts complètement ... ici c'est moi qui fait la loi ici. J'suis garde et si tu veux pas qu'j'te fracasse la gueule sur le bar, j't'ordonne de te casser. - D'accord ... viens, on va régler ça au corps à corps ... - Attends, t'ose m'défier, t'as du culot mon gars ! Quel âge t'as déjà ? - 24 ans ... - 24 ans ... hep ... écoutez les gars, 24 ans, l'mec ose défier la loi ? T'es fou mon gars, t'es fou ... bon vas-y, j'm'tape ta soeur si je gagne sinon j'm'casse d'là et tu m'reverras plus. Les deux hommes se serrèrent la main et se positionnèrent à chaque coin de la pièce. Vankalt frappa au menton le garde, ce dernier répondit alors par un coup au ventre, Vankalt essaya vainement de se protéger le ventre mais échoua. Il dégaina un magnifique uppercut et frappa avec une magnifique droite le garde, celui-ci sortit alors une dague qu'il pointa vers Siegfried et s'écrae : - Maintenant tu fais moins l'malin ? Hein ? Hein ? T'as cru avoir l'pauv'Norman ? Faut pas croire ça ... l'pauv'Norman est l'meilleur, maintenant, tu m'fais l'plaisir de déguerpir de "ma" taverne ! Vankalt, la tête basse, et son ami Léonhard tapotant son épaule sortirent sur le champ. Ingrid essaya de se hâter de sortir de la taverne mais Norman retint Ingrid par le bras et vocifèra : - Hep, toi, l'24 ans, j'garde ta soeur, elle m'donnera du plaisir en plus elle est très mignonne. J'l'engagerai bien comme femme de joie ! Vankalt, fou de rage à ces mots, se retourna et dégaina un coup de pied magistrale qui se diriga droit vers la mâchoire du garde qui lâcha Ingrid, tituba et finalement s'écroula dans la flaque de rhum qui ruisselait dans les fentes des planches de bois. Léonhard et Vankalt le prirent et l'éjectèrent promptement de la taverne dont le propriétaire les remercia pour le spectacle mais aussi pour avoir éviter d'engendrer des rumeurs qui auraient pu aggravées son enseigne. Tous les trois sortirent de la taverne d'où sortent encore quelques phrases perverses "flattant" Ingrid provenant d'hommes qui étaient sous l'effet de l'alcool. == Le Journal == [Vous trouvez au fond d'un coffre verrouillé dont Vankalt vous a remis la clé, un journal scellé. Il y est marqué qu'il est strictement interdit de le lire, vous continuez malgré tout bafouant l'interdiction et commencez la lecture du livre (Vous ne pouvez connaître ce texte sans le connaître au préalable sur le serveur)] Mes parents me prénommèrent Vankalt, je suis issu de la famille "Wickel". Voici trente-deux années que je foule ses terres et ma souffrance fût à la hauteur de mon nom, Vankalt Wickel, un nom représentant parfaitement mon caractère, un caractère froid, aussi froid que mes origines, les origines de ma famille. Mes parents m'ont élevés dans la joie, la bonté, l'amour et l'éducation. Je ne pouvais vivre heureux toute ma vie ainsi, c'est ainsi qu'un jour ... Je ne sais pour quelle raison on a décidé de me punir, pour tous les pêchés que j'avais commis, ce jour, il est gravé dans ma mémoire ... nous étions en pleine saison des moissons, l'air était frais. La journée avait été longue et rude, le soleil nous avait éclairé tout au long de cette journée. Mon camarade et moi-même, nous rentrions avec nos faux, nos boeufs et nos charrettes. Le soleil se couchait, nous continuerons le travail le lendemain. Les gamines étaient certainement dans les bois avec leur grand-mère en train de cueillir les champignons pour le repas du soir et Anysse en train de préparer le dîner. J'avais rencontré Anysse pendant la saison froide, elle était charmante, ses longs cheveux d'un brun couleur "écorce" faisaient trembler mon corps, ses courbures laissaient deviner une demoiselle charmante lorsqu'elle se trouvait nue, une femme que tout homme aurait eu le bonheur d'épouse et cet homme, ce fût moi. Quel que ce soit l'Homme, il ne peut supporter un décès, qu'il soit froid, qu'il soit sombre, qu'il soit fou, qu'il n'ait aucun sentiment, aucun Homme ne peut supporter un décès. J'ai pleuré, toutes mes larmes de mon corps, j'ai pleuré, elle était là, j'ai pleuré, elle ne pouvait finir ainsi, j'ai pleuré, elle, dans sa robe bleue ciel, j'ai pleuré, sa vie ne tenait qu'à un fil, j'ai pleuré, elle se trouvait dans mes bras, brûlé par l'incendie provoqué par la foudre. Cet robe bleue ciel que je lui avais offerte pour notre cinq années de mariage. Elle ne pouvait pas m'abandonner ... A présent mes filles qui elles aussi sont de la même beauté que leur tante et que leur mère, sont à présent la seule raison qui reste pour que je ne prenne pas une corde, que je me la noue au cou et que mon corps sans vie pende dans le vide au pommier au centre du jardin. --------------- La suite ne sont que quelques extraits de ma brève vie --------------- == L'interdiction == Un jour, elles ne sont pas rentrées. L'Homme est prêt à tout ... prêt à tout pour faire du mal à autrui ... ce type ... il n'avait pas de sentiments ... et je n'en ai eu aucun en retour. Il m'a supplié ... il disait qu'il était marié. Je me rappelle lui avoir craché au visage ... je lui ai parlé de mon passé tout en lui caressant son visage avec la lame de mon poignard, c'était mon grand-père qui me l'avait donné. C'est simple de changer le comportement d'un Homme mais lui on ne pouvait plus le changer. Il y avait une flaque à l'entrejambe avant que je commette l'irréparable ... il me donnait la nausée. Qu'il soit un homme honnête, qu'il soit le diable en personne, qu'il soit le prêtre du village, il n'avait pas le droit de le faire. Il ne pouvait violer ces peaux innocentes ... non ... il n'a eu que ceux qu'il méritait ... crever dans une caverne le poignard planté dans son cœur. == Le Paiement == Un jour, les forces de sa majesté m'ont emporté pour que j'aille payer ce "meurtre" ... ce "meurtre" que ... ma femme me rappelle chaque soir ... chaque nuit ... elle ... elle était celle qui me guidait ... elle était celle qui me dirigeait vers le droit chemin. Je n'ai jamais prié en une supériorité venant du ciel. Ce n'est que des sottises inventés par je ne sais quel con ... mais j'allais chaque semaine, me recueillir pour ma femme ... pour mes filles ... pour ma lignée ... pour la famille "Wickel". Je suis resté à croupir dans cette cellule pendant environ quatre jours ... et ... ils sont venus me chercher ... "Ton acte doit être payé !" éructait-il voire il crachait ses mots comme si le peuple me dominait, comme si je n'étais qu'un soumis à la plèbe ... des saloperies ... le bourreau approchait, hache entre ses doigts maudits par toutes ses victimes, maudits par moi, maudits par ma famille, maudits par mes filles ... oui ... hache qui naguère a certainement massacré des familles, des hommes, des femmes, brisés le cœur d'autrui ... un bourreau ... et je ne sais pour quoi ou pour je ne sais quelle raison, un homme m'a sauvé de cette fatalité que me réservaient les Cieux ... je l'aime et je le déteste cet homme, étrange façon de considérer l'homme qui m'a sauvé ... mais je lui dois une chose ... une seule chose ! Il m'a permis de voir mes filles grandir ... il m'a permis de connaître de nouveau le goût de la vie, ce goût que je n'ai plus connu après le décès de cet homme ... après ... son arrestation ... il se prénommait ... Vafür ... == Le Cauchemar == Depuis la mort de mon meilleur ami ... parfois, quand la lune éclaire le monde dans sa douce blancheur ... je me rappelle de ce meurtre ... meurtre, où des jours, je le vois giser encore et toujours dans son sang, dans ce sang que j'ai craché, que j'ai insulté, que j'ai sur mes mains ... rêve qui peu à peu devient cauchemardesque. Le corps de cet enfoiré prend la forme d'une demoiselle ou plutôt d'une femme, ses cheveux devient peu à peu brun "écorce" et je me rends compte que cette femme ... c'est ... c'est ma femme ... c'est ... Anysse ... et je saigne, mon sang se mélange au sien, à celui que j'ai tué ... à celui d'Anysse ... le sang des miens, le sang de mon sang, le sang des mes enfants ... == Le Voyage == Après deux mois où j'ai intégré ce culte, j'ai décidé de partir pour Fringsten, une ville marchande se trouvant loin de l'alise, loin de cet endroit que je ne maudis point mais j'ai besoin de me reposer, de revoir Ingrid, Léonhard mais particulièrement mes filles, Vanessa et Valérie. J'espère revenir dans cet endroit où je me sens ... bien ...

Que dire de moi ? Tout d'abord présenter pourquoi le nom "Siegfried". Ce nom ne vient pas de moi, il me fut gentiment proposer par le chef de mon équipe. Je le remercie grandement pour m'aider à avoir trouvé mon nom "RP". Passons maintenant à ma vie réelle : Haut de mes 14 ans, ma maturité qui m'a permis de me guider tout au long de mon aventure qu'on prénomme la vie. Mes principaux loisirs est de lire, écrire mais aussi de jouer aux jeux vidéo. Malgré que je sois mature, je suis un enfant. Ensuite je n'ai eu aucune expérience "RP" mais comment suis-je arriver à écrire un background assez complet, j'accentue sur le mot "assez" de mon personnage ? Je vous réponds que la lecture est le meilleur moyen d'écrire un bon texte. Aucun film, aucune série, aucun dessin-animé vous aidera pour écrire un bon texte. ====== Vankalt Wickel : Quelques mots sur lui ====== En quelques mots, Vankalt Wickel est un personnage froid mais amical. Vankalt Wickel est un personnage qui rêve d'apprendre, d'oublier, de terminer son passé, tout en envoyant des lettres, quelques lettres à sa famille ... des jolis mots ... Si je devrais résumer vraiment ces caractéristiques : - Eduqué - Respecte ses supérieurs - Sa conscience (femme) le tourmente depuis la mort de sa femme et son premier meurtre - Froid, il n'aura aucun remords de tuer un quelconque voleur ou encore moins un meurtrier - Protégera ses proches au point d'enfreindre la loi - A la phobie de l'eau faute de sa première mort et de ses nombreuses morts dû à la première mais il reniera toujours cette phobie. - Scyzophrène et tue de manière d'une extrême violence. == Personnage == Prénom : Vankalt Nom : Wickel Âge : 32 ans Taille : 1 cube (mètre) 78 Poids : 88 cubiques (Kilogrammes) == Caractères == Qualités : Courtois envers ses supérieurs de même avec ses égaux, protecteur Défauts : Extrêmement borné, Vankalt cherchera par tous les moyens d'avoir le fin mot de l'histoire. Vankalt est froid. Vankalt est protecteur voire trop parfois. == Famille == Père : Harold Wickel Mère : Hildegarde Wickel Soeur : Ingrid Wickel Meilleur ami (Ancienne vie) : Léonhard Grosswald ====== Comportement actuel ====== Rentre d'un long voyage. ====== Pour terminer ma présentation, je vous souhaite donc de bien lire mais par dessus-tout d'écrire.