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  • Profane retare

  • Aucune citation.

  • Fonction

    Profane

    Race

    Inconnue

    Sexe

    Indéterminé

  • Ampoule alluméeAmpoule allumée
  • Réput. HRP

    Présence

    Aucune heure

    Réput. RP

  • Histoire du personnage

    Salut, je suis Retare, originaire d'un petit village perdu : Tempos, qu'on appelle aussi "le village du temps" à cause de la particularité des terres sur laquelle il a été construit. Un grand désert tellement chaud que l'air s'y déforme et donne l'impression que la journée passe plus lentement, les journées de Tempos sont donc décalées de celles du reste du monde... Bref, comme je le disait je suis Retare, mes parents ont voulus faire référence au fait que je suis né plus tard que prévu, et on pensés qu'il était judicieux de m’appeler comme tel. Etant dans un village très peu instruit ils n'ont même pas étés capables de l'orthographier correctement, et l'idée n'est plus apparue judicieuse a partir du jour ou je suis parti a l'école. J'ai subit toutes les moqueries au début... Puis voyant que je ne réagissait pas mes camarades ont commencés à me prendre en tant que souffre douleur. J'ai souffert le martyre durant 10 ans... 10 ans ou j'ai contenu ma haine, 10 ans durant lesquels je me suis défoulé sur tout mannequin qui passait à ma portée, 10 ans durant lesquels j'ai rêvé de pouvoir un jour les faire taire, les faire payer tous autant qu'il étaient, me venger... Mais je savait que l'école dans ce village était la plus belle chose qu'il pouvait m’offrir, et je ne pouvait pas me permettre d'en être renvoyé... J'ai donc retenu ma haine, mes envies, ma vengeance... Pour préserver mon avenir, il fallait que j'encaisse. Le temps passa, il prit au passage quelques habitants du village ainsi que certains de mes camarades. Dans un lieu ou la sécheresse est reine, seuls les plus résistants survivent, on peut dire que pour le temps nôtre village est un véritable buffet garnit, il se sert en âme tel un soiffard si bien qu'au cours des ages nôtre population baissait plus qu'elle n'augmentait. Certains mourraient, d'autres partaient vers des contrées plus clémentes. Moi et ma famille étions toujours là, ma mère, mon père, mes deux soeurs et mon frère... Nous étions une famille résistante, et gâtée par le temps, car malgré que d'autres perdent la vie l’environnement hostile nous renforçait, les légendes de mon village disent que le temps guérit ceux qui souffrent en prenant ce qui leur reste de vie et la donne aux survivants, ils sont donc protégés par ceux à qui elle appartenait...J'ai toujours trouvé ça ridicule, pourquoi un mort aurait-il intérêt à protéger celui pour qui il a perdu la vie? Bref, pour en revenir a la famille, nous n'étions certes pas les seuls a survivre, l'école ne désemplissait pas et la vie du village suivait son cours. Les cours à l'école étaient de plus en plus rébarbatifs mais les moqueries avaient cessées depuis que les autres ont remarqués qu'a force de taper dans tout ce qui passait à ma portée(dans mes instants de colère je préféré shooter dans un objet que de frapper un humain) je finissait par casser tout ce que je touchait... C'est intimidant quand on voit quelqu'un transformer une brique en poussière contre un mur, et ce d'un simple coup de pied. Le temps suivait son cours dans le calme village du désert, quelques briguants passaient de temps à autres, mais malgré la petite taille du village les hommes sont assez forts pour les faire battre en retraite. Une nuit, une de ces attaques fut contrée et nous avons même pus prendre possession de leur équipement (ils sont venus pour voler et sont repartis dépouillés), parmi l'équipement ils semblaient avoir un parchemin, une carte. Etant dans ceux qui défendaient le village j'avait le privilège de pouvoir me servir dans les premiers, donc je prit cette carte, espérant pouvoir la lire plus tard. Cette nuit je ne dormit pas, j'essayait de traduire cette carte... Elle était écrite avec les mêmes caractères que nôtre langue, mais avec un ordre qui semblait être totalement aléatoire. La carte semblait vielle donc j'ai d'abord cherché dans les livres sur les anciennes langues, puis ne voyant aucun dialecte ressemblant j'ai été jusqu’à fouiller dans le livre des "langues oubliées et contrées lointaines". Et la j'ai trouvé par chance (déjà que j'était bien chanceux d'avoir trouvé un tel livre dans l’immense bibliothèque du village) une langue bien ressemblante, oubliée depuis 3 millénaires, une époque régie par une religion en majorité "l'ordre d'hérobrine", la contrée était située dans le désert à l'époque où il n'était pas encore une terre aride et stérile, mais froide et humide. La langue fut utilisée encore 2 millénaire après l'extinction du peuple qui la parlait (le peuple en question vivait donc il y a entre 3 et 4 millénaires) par "l'ordre d'hérobrine" pour ce qui semblait être les textes sacrés ou les prières. J'ai donc réussit à décrypter la carte, les inscriptions parlaient de pouvoir...de quadrature (étrange qu'un mot aussi complexe soit traduit pour une langue aussi oubliée que celle-ci)...plusieurs fois de "l'ordre"... de religion, de berceau.. de cubes...encore une fois de ce mot "Herobrine" dont je ne trouve aucune traduction tout comme le mot "mantras"... et le mot "temps" répété à peu prés 11 fois dans le texte. J'ai eu beau comprendre certains mots je n'arrivait tout de même pas à en faire une phrase tangible... Mais bon, j'avait l'emplacement marqué sur la carte, j'aurait mille autres occasions de la décrypter, mais je voulait savoir ou elle menait. Le lendemain je prit quelques affaires, l'emplacement n'était pas bien loin mais une tempête peut frapper lorsqu'on s'y attend le moins, je dit a ma famille que je reviendrait avant la nuit et parti pour le lieu indiqué. Pendant le voyage j'avait gardé le livre, tout en marchant je lisait les pages dont les bords se décoloraient à cause de la lumière et put donc traduire encore quelques mots, sablier, sable, encore deux fois temps et enfin le mot danger. j'arrivait a l'endroit qu'indiquait la carte... mais il n'y avait rien d'autre que du sable... du sable a perte de vue... et une tempête au loin. J'installait mon abri a toute vitesse, j'ai beau être résistant et assez protégé, une tempête de sable reste dangereuse. Une fois a l'intérieur, impossible de regarder devant soi sans devenir aveugle, le sable fouette sur tout le corps et peut même arracher la peau. J'installait l'abri et me mit a couvert. Ayant été surpris par la tempête j'espérait que l'abri tienne, la tempête grondait, le sable cognait sur mon abris de fortune, le vent soufflait et le temps s'écoulait... et ma toile commençait à s’arracher, je ne devrait pas tarder a essayer de me frayer un chemin a l'aveugle. La toile s'envola et je fus écrasé par le sable, j'ai du me dépêcher de trouver un endroit ou m’abriter du sable, je pensait me perdre, ne plus me retrouver dans cette étendue infinie de sable. Mais une silhouette apparut a travers le sable, une forme de... sablier. j'ai trouvé une sorte d'entrée ouverte qui ne laissait pourtant pas passer le sable, l'air y était frais malgré la lumière qui y régnait, et les parois de verre me permettaient de voir la tempête à l'extérieur. Au centre un petit flot de sable coulait sans arrêt, la partie supérieure du sablier devait surement recueillir le sable de la tempête. Après avoir contemplé les lieux je m'endormit, me sentant protégé par l’immense cloche de verre parfaitement lisse malgré le sable qui d’ailleurs semblait la contourner et le son semblait ne pas pouvoir y pénétrer. La tempête semblait durer toute la nuit, m'étant réveillé et ne trouvant plus le sommeil je me mit a tourner dans l'enceinte de la cloche, qui soit dit en passant me semblait plus petite qu'a mon arrivée, surement a cause du sable qui s'était accumulé a cause du flot au centre... En fait la sortie avait disparue, ou du moins je ne voyait plus la différence entre la sortie et le verre transparent... Mais je me mit a paniquer, je commençait par faire le tour de la cloche, la main sur la paroi afin de sentir la sortie. Je ne l'ai pas trouvée. j'ai donc essayé de briser le verre...impossible. Pendant que je m’agitait je ne faisait pas attention au flot de sable qui, de plus en plus rapide, remplissait la salle et qui risquait de m’ensevelir, je n'avait plus de temps. Je continuait a frapper la carcasse de verre malgré que mes chevilles soient déjà ensevelies, une voix commença a me parler... "Bienvenue dans mon sanctuaire Retare... Je comprend quelle est la raison pour laquelle tu a voulu venir ici, car contrairement a ce que tu pourrait croire ce n'est pas le hasard qui a fait que tu soit la... En fait je t'observe depuis longtemps, tu est généreux, sympathique, sportif et juste... Mais tu n'est pas parfait, tu est susceptible, parfois violent et tu à tendance plus agir que réfléchir, mais surtout tu regrette tes actions les plus importantes, tu doute de toi et cherche à modifier ton histoire... Tu pense que ton histoire a besoin d'être modifiée?" dit la voix pendant que je commençait à m'étouffer dans le sable. "Eh bien je vais t'en donner une occasion!" Le sable qui m'étouffait se mit à luire, "Je te donne une seconde chance, une seconde vie, une occasion d'avoir tous les pouvoirs que tu pourrait désirer et ne plus jamais regretter sans pouvoir modifier. Je t'envoie à l'époque de l'ordre, tu a lu un livre dessus n'est-ce pas? Eh bien sache que les historiens sont loin du compte, je ne t'en dit pas plus, Profite bien de ta seconde vie, tu reviendra a ton époque... lorsque tu en sera capable." Sur ces mots je me sentit partir, juste avant de m'évanouir, la tête collée a la vitre, je vit une silhouette noire m'observer dans la tempête, puis plus rien. Quand je me suis réveillé, c'était dans un espace noir... Il faisait frais, j'avait l'impression que des bêtes me marchaient dessus. L'espace était très restreint et j'avait de la terre dans les mains. J'ai essayé de soulever le lourd couvercle en bois qui semblait fermer cet espace et après avoir fendu cette porte avec un coup de pied je fut ébloui par la lumière extérieure, après un temps d'adaptation je me rendit compte en sortant de cette boite que j'avait été enfermé vivant, au milieu d'un cimetière...

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