Je me nomme Tereila. Je n’ai pas grand-chose à vous raconter durant ses quelques lignes, je suis venue à l’ordre d’hérobrine juste par aventure. Il y a quelques temps, j’avais alors quinze ans, je vivais encore dans mon petit village nommé « Vendeaume ». J’avais des parents qui m’aimaient, mon père Rhalf travaillait dans les champs et ma mère Hélène, était servante au château d’à côté. J’avais une un frère et une petite sœur qui n’avait encore que trois mois. Mon frère était passionné par la guerre et les armes, il m’a appris tant de choses ! Il m’a appris tout ce que je devais savoir sur la guerre, comment survivre à l’extérieur du village et comment me défendre. Ma mère m’apprenait musique, littérature et mathématiques pour que, en grandissant, je sois cultivée et sois mariée à un homme riche. Mais le village s’appauvrissait, les villageois commençaient à partir pour aller dans une ville voisine pétillante et divertissante. La nourriture devenait fade et les personnes tristes. Je commençais à m’ennuyer toute seule…Mon frère était partit à la guerre et ne reviendrait peu être jamais. Ma mère ne travaillai plus et n’avait plus le temps de s’occuper de moi, ma petite sœur lui prenait tout son temps tandis que mon père travaillait nuit et jour pour subvenir à nos besoins. Je ne me sentais plus à ma pace ici, je devais partir…Mais où ? (…) Ce n’était pas le moment pour me poser des questions. Je partit donc, le lendemain, avant l’aube. Je suivait le nord et me reppérais grâce aux méthodes que mon frère m’avaient appris. J’étais en train de tuer un poulet pour mon repas quand tout à coup, trou noir… Je me réveilla dans une grotte. D’abord troublée, je me demanda : « Que ?...Comment est-ce possible ? Je suis vivante ?! » Et oui, j’étais vivante ! Ce fut un grand moment de joie pour moi. Etais-je, remortelle ? Mais…Où étais-je ? En sortant de la grotte, je vis des torches. Je décida de les suivres. Quelques temps après, j’arriva à un beau village plein de vie.

En attente.