Si Noir était mon monde, Vide fût mon esprit, doucement vint ma vie, S'anime à ma sortie.. Et ainsi j'ai existé, venant à la vie, paisible et sans soucis. J'ai beau raconter un passage de ma vie dont je n'ai plus aucuns souvenirs, il reste très important à mes yeux car il est le début de ma vie mortelle. Bien tranquille est l'enfance, Jeunesse insouciante, mener vie sans offense, futiles sont souffrances.. Et ainsi j'ai grandie, insouciante et boudeuse, paisible et sans soucis. Peu de souvenirs là encore, mais de bons moments, fondement de la personne que je suis aujourd'hui, il est un moment que ne passe qu'une seule fois une mortelle. Former la descendance, Préserver connaissances, Semble destin bien rance, Quand peu souvent l'on pense. Et ainsi J'ai appris, impatiente et râleuse, peu calme et m'inventant soucis. Bien des souvenirs qui datent de bien longtemps, j'eût hérité des sciences de mes parents, pour m'assurer avenir dans ce monde cubique, je me pensais faite pour quelque chose de plus grand. Doucement viendra l'âge, Inévitable cycle, Sûrement viendra l'âge, Inévitable cycle.. Rage, puise nos sages, Car une simple vie Mène toujours mirage, Regrets, incomplète vie, Qui toujours et sans détours fini. Et ainsi s'écoule une existence, lapile et silencieuse, emplie d'actes peu mérites. Lourds sont les regrets quand l'on est peu en paix, avec nous même ou le reste de son monde, et qu'approche la mort, la fin d'un cycle. Personne à qui apprendre, et peu de choses apprises, simple vie qui voici pour mortelle peu accomplie. Ainsi les griffes s'animent, prennent vie, Et, doucement, s'approprient sans gênes mienne, Triste dessein qu'inévitable destin, Ou l'attente me tue et visage blême. Et ainsi je meurs, tombe, virevolte et m'écrase, solide sont les désillusions et cette effroyable mort, moi qui n'ai que regrets et peurs, torts. Mais j'atterri dans un lieu familier.. Ersatz de ma naissance, j'ai froid et peine à respirer. vite, je me débat, cherche sortie, remonte à la surface et me tire de l'eau! je reprends un souffle d'air, un souffle de vie, et ainsi eût lieu ma seconde vie. Je suis remortelle et, perdue dans ce nouveau monde, me mît à suivre les yeux.

Mon personnage: Petite humaine trapu de presque deux cubes, au teint noir et aux yeux bleu pastel. L'on peux remarquer la robustesse de la damoiselle si l'on s'attarde sur ses jambes, deux rectangles parfaitement bien fermes aux angles parfaitement droits, servant de support pour son tronc plus généreux en formes mais, tout aussi rectangulaire dans la forme. Ses doigts inexistants auraient pût se révéler fins et plus soignée que le reste de son corps, mais à la place la Damoiselle a des arêtes parfaitement constitués qui ferais pâlir plus d'une forme géométrique ! une adhésion parrrrfaite avec les objets condensés ou non. Quand à sa tête.. elle par contre n'a pas eût l'occasion de voir passer autre chose qu'une cisaille, car son crâne est parfaitement imberbe ! un parfait carré qui ne sera dérangé que par ses oreilles et son nez, l'on peux remarquer une agitation certaine au niveau de ses lèvres car la Dame est bien bavarde, mais cela reste une qualité quand sa locution reste correcte ! Si avec cela vous ne pouvez vous faire une idée de Musetine... et bien vous devriez tout relire depuis le début !