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  • Profane Elizabeth

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  • Fonction

    Profane

    Race

    Humain

    Sexe

    Indéterminé

  • Ampoule alluméeAmpoule allumée
  • Réput. HRP

    Présence

    53 heures

    Réput. RP

  • Histoire du personnage

    [HRP] Ce BackGround a de très grandes chances de changer à l'avenir, il n'est là que pour donner une simple idée d'Elizabeth. [HRP] J'eus l'enfance la plus heureuse qui soit. Personne dans le cube-monde ne peut prétendre à une enfance plus belle que la mienne. Bien que mon père n'était pas là durant mes premières années, je grandis dans une famille de quatre. Ma mère, Airalyn, l'ainé, Ragnar, et mon jumeau, Flokky. On vivait pas très loin de Kyrtamex, une ville magnifique si l'on oublie les quartiers reclus, sombres et dégoûtant. Mais heureusement, ma famille, les Arkhen, était très riche, très puissante, et très influente auprès du Roi. Et grâce à ça, nous vivions dans un domaine, pas loin du palais royale. Nous avions des servantes, des gardes, d'immenses jardins où l'ont jouait à cache-cache avec mes frères, et ma mère et moi avions une garde-robe si grande que chaque matin, j'avais toujours ce dilemme sur quelle vêtement porter. Et un beau jour, vers mes quatre ans, mon père revint d'un long voyage. Il était partit avant même que je naisse ! Quel bonheur de le voir pour la première fois. Quel bonheur d'avoir une famille réunie. Je me souviens de ce jour-là, où il est revenu. Ma mère nous en a fait la surprise. Nous étions en train de jouer dans les champ de carottes de notre demeure. Là-bas il y avait cette servante assez vieille que nous traitions tout le temps de sorcière de part ses rides ancrés dans sa peau et ses ongles longs. On s'amusait, tout les trois, de temps en temps, à lui jeter de la nourriture, ou à lui faire des coups en douces pour rigoler. Sauf que ce jour-là, Flokky s'apprêtait à lui jeter un œuf, mais une main ferme et robuste attrapa son bras d'un coup sec et vif. Je regardais cet homme qui était mon père avec un air admiratif. Il était beau mon père. Il avait une mèche qui lui tombait devant, pour cacher un œil rouge qu'on voyait à peine. Et étrangement il portait une tenue bleu, très sombre... " - Ce n'est pas une manière de traiter des êtes humains, mon enfant. " Flokky le regardait en souriant, alors que Ragnar, lui qui avait déjà vu notre père dans son enfance, couru comme un dingue vers la demeure principale, là où on vivait. " Dites moi... Comment votre mère a décidé de vous appeler ? " Il nous regardait chacun notre tour, d'un regard bienveillant. C'est étrange, car sur le moment je ne savais même pas que c'était mon père, et pourtant je me sentais en sécurité avec lui. J'avais l'impression que personne ne pourrait me faire du mal. Il lâcha le bras de Flokky, et le força à casser l'œuf, sous les yeux soulagés de la servante, qui allait s'en tirer pour aujourd'hui. En voyant que mon jumeau n'osait pas parler à l'inconnu en face de nous, je répondais tranquillement, apaisé par ce regard bienveillant qu'il portait à mon égard. " Je m'a... m'appelle Elizaaaa..zaaabeth, et lui c'est... C'est Flokky... " Je me suis rendue compte que moi aussi j'avais du mal à parler à ce moment, mais il avait l'air heureux, il détourna ses yeux en direction de Flokky avec un large sourire qui exprimait sa satisfaction. " Flokky ? Mon Flokky ? Alors ta mère m'a écouté ? Tu sais, c'est moi qui lui ai dit de t'appeler Flokky si tu étais un garçon. Mais je vois que nous avons eux des jumeaux ! " Nous le regardions sans trop comprendre ce qu'il raconte, alors que Ragnar était revenu. Ma mère restait immobile en le fixant, son sourire mélangé à quelques larmes. " Pourquoi maman pleure ? " lança Flokky pour rompre ce silence. Et l'homme en tenue bleu et à l'œil rouge s'avança vers sa femme pour la prendre dans ses bras. Sur le moment, je crois avoir entendu ma mère dire : " Tu m'as tellement manqué mon amour... Je t'ai attendu.. Regarde les deux merveilles qui sont venus en monde pendant que tu étudiais. " Elle nous désigna du menton, avant que mon père rétorque : " Je les ai vu. Elizabeth et Flokky Arkhen, ils sont beaux comme tout avec leur cheveux blancs. Ils tiennent ça de toi. Quant à ce Ragnar ! Quel grand gaillard maintenant. Quel âge il a déjà... ? -Dix ans, ce sera bientôt un homme figure-toi. " Après un long silence, j'étais assez proche pour entendre ma mère lui demander : " J'espère que tu n'es allée avec aucune autre. - Bien sûr que non, mon amour... " Nous étions ensuite tous rentrer dans la demeure principale. Une grande demeure avec une douzaine de chambre. Tout les gardes de la maison saluaient mon père comme si c'était un général. Je me sentais puissante en sa présence, j'avais envie de lui prouver ce que je pouvais faire. Mais malheureusement je ne pouvais tout de suite à cet âge là. Ma mère m'envoya avec Flokky prendre un bain, puis elle nous habilla tout les deux d'une manière très chic avant le diner, et quand Flokky lui demanda qui était le monsieur qui venait d'arriver, elle répondit avec un large sourire : " Mais mon petit chéri, c'est ton père voyons. " A l'heure du diner, nous étions assis à la grande table rectangulaire en bois d'ébène. Et pendant que nous, les enfants, restions silencieux, nos parents discutaient entre eux, assit l'un à côté de l'autre, les yeux de ma mère plonger dans ceux de mon père, tout en se tenant la main. " Regarde moi cette pierre précieuse ! " annonçait mon père en me pointant du doigt, avant de continuer : " Elle a tes cheveux blancs, et tes yeux verts ! Et même Flokky. C'est à se demander si je suis leur père ! Alors que toi mon grand Ragnar. Des cheveux noirs, comme ton père ! " Il finissait sa phrase en envoyant une tape amicale sur l'épaule de Ragnar. C'est vrai que Ragnar ne nous ressemblait pas beaucoup, à Flokky et moi. Il avait les cheveux noirs, les yeux noirs, Il était robuste. Mais je l'aimais énormément. Il était tellement gentil avec moi, il m'offrait souvent des cadeaux, et j'adore ça les cadeaux ! Et il acceptait toujours de jouer avec moi. Je ne dis pas que Flokky et moi n'étions pas proche, au contraire. Nous dormions dans la même chambre, et quand l'un faisait des cauchemars, il fonçait dans le lit dans l'autre. Mais Flokky... a quelques petits problèmes dans sa tête, nous disait maman. Je ne savais pas vraiment quoi à l'époque, et je m'en fichais. C'est mon frère jumeau, et nous sommes liés. Les années passent et au fil du temps, nous grandissons. Ragnar était un homme de vingt-trois ans maintenant, et ma mère n'arrêtait pas de lui mettre beaucoup de pression en lui disant qu'il était tant pour lui de se marier à une femme bien placé dans la hiérarchie ! Mais son âge et cette pression mise par ma mère ne l'empêchait pas de passer beaucoup de temps avec Flokky et moi, et d'être toujours aussi affectif. Sauf que nous... Ben... On avait atteint nos dix-sept ans, et on commençait vraiment à s'ennuyer au domaine. La sorcière était morte de vieillesse, ou d'excès de travail, je ne sais pas. Enfin, on l'a rapidement jeté dans le lac près du domaine. Mais je veux dire, la sorcière était morte, et à dix-sept ans on ne jouait plus à cache-cache et ces autres jeux quand on était gosse. On s'ennuyait vraiment, et un soir, Flokky et moi discutions. " J'ai envie d'allé découvrir le monde, pas toi ? -Bien sûr que oui sœurette. Mais on irait où ? -Qu'est ce que j'en sais moi ? On a qu'à aller se promener dans Kyrtamex, peut-être qu'on trouvera un truc intéressant à faire ! -Mais les parents nous laisseront jamais aller dans la ville tout seul ! Il faudrait peut-être s'en débarrasser ? " C'était ça les " problèmes que Flokky avaient dans sa tête. " Mon pauvre petit trésor était quelqu'un qu'on pourrait qualifier de psychopathe. Pas un psychopathe qui tue et torture les gens, non. C'est un psychopathe au sens propre du terme. Il n'éprouvait aucun sentiment pour personne, à part moi je crois, sa jumelle. Pour lui, tuer ses parents seraient complètement envisageable. Mais j'ai toujours était là pour le ramener à la raison. A la fin de cette discussion, nous étions d'accord pour aller en ville demain, sans tuer nos parents bien sûr. Il fallait juste les convaincre. Ce qui n'a pas du tout été difficile, à ma grande surprise. On leur a simplement dit qu'on allait acheter des bijoux. Kyrtamex était une ville immensément grande ! On s'y promenait et on s'amusait beaucoup, les gens étaient beaux, propre, bien habillés. Une très belle ville ! Mais ça, c'était avant que, pendant notre balade, nous tombions dans un des quartiers malfamés de la ville. C'était répugnant... Il y avait des mendiants sales aux habits déchirés, voire nu, la peau sur les os, à chaque coin de rue ! Ils n'avaient pas le droit d'aller dans des quartiers chics sous peine de se faire lapider en public pour le bon plaisir des concitoyens. Les allées sombres puaient la mort et l'alcool, des rats se promenaient de temps en temps, et s'arrêtaient sur des cadavres à moitié en décomposition pour grignoter quelques intestins ou je ne sais quel autre chose qu'on peut manger dans un corps humain. Mais en voyant tout ça, Flokky et moi, nous nous sommes regardés, et avons hoché la tête. On s'était comprit. En discutant hier, on s'était dit que ça serait vraiment bien de créer notre propre affaire. Faire notre propre argent, papa serait tellement fier de nous. Et ces quartiers dégueulasses étaient juste parfait. On continua de se faufiler dans les étroites ruelles en essayant, du mieux qu'on pouvait, d'éviter les flaques d'urines de rat, ou d'Hommes. On repérait simplement les lieux avant de rentrer chez nous et prendre un bon bain chaud pour couvrir cette odeur nauséabonde qui parfumait nos vêtements, avant de les brûler. Depuis ce jour-là, chaque soir avant de dormir, nous discutions. Et cette nuit nous avons discuté de ce qu'on pourrait faire. Mais c'était facile à deviner, ce qu'on pourrait faire. Les pauvres en veulent énormément en riche, car ils sont pauvres, et n'ont aucuns privilèges. Et pour que les riches soient riches, ils ont prit l'argent aux pauvres. C'est simple non ? Il fallait simplement demander à quelques pauvres quels riches ils aimeraient voir mort, et trouver quelqu'un qui puisse faire le sale travail. Et tout ça gratuitement. Et c'est ce qu'on a fait le lendemain même. J'ai parlé à quelques gardes du domaine, et une douzaine ont accepté de rejoindre notre petit groupe, pendant que Flokky errait seul dans les quartiers malfamés de la ville, relevant une liste de nom. Puis le lendemain, hop ! Au travail. On payait les gardes qu'on avait engagé trois fois plus que la somme normale. Et on a fait ça pendant quatre ou cinq jours, avant que la ville entière soit paniquée. Et de jour en jour, on avait plus de partisans, plus de gens qui nous rejoignait. Et c'était le moment où on pouvait changer les choses. Mais ça devenait de plus en plus compliqué d'aller en ville, car à cause des rumeurs qui tournent sur des riches qui se font assassinés, notre mère nous interdisait de sortir du domaine. Alors on s'était mit à sortir de nuit. On avait une cinquantaine d'assassins, des orateurs partout dans la ville qui s'amusaient à effrayer la population, et les trois quart de la ville nous craignait, alors que nous n'avions même pas de nom pour notre organisation. Mais maintenant qu'on avait la ville dans le fond de notre poche, on décida d'arrêter les meurtres, et de passer à de la vraie contrebande. Ce fût une année pleine de manipulation, de traitrise, de guerre parfois, contre certains groupes qui voulaient nous voler nos marchandises. On était devenu tellement puissant qu'on gérait tout depuis notre domaine, sans même sortir. On passait les messages à nos bras droits grâce à des pigeons, et tout se passait parfaitement bien. Flokky et moi fêtions notre dix-huitième anniversaire, et pendant que nous festoyons avec notre famille, et un tas d'invité, que je dégustais allégrement une part de gâteau à la fraise et à la vanille, et que des invités déposés des cadeaux sous une statut en ivoire qui nous représentait Flokky et moi que le Roi nous avait offert. Et bien ,des enfants étaient en train de mourir de faim. D'autres étaient en train de faire une overdose à cause des produits illicites qu'on vendaient, d'autres se faisaient assassinés par nos hommes, ou encore, des clochards en train de se faire lapider par les riches, nu sur la place public. Je vous l'avais dit. Mon enfance était magnifique. Une fois la fête finie, on s'amusait à brûler les cadeaux. Après tout, je peux m'offrir ce que je veux, alors pourquoi prendre les cadeaux des autres. Et pendant environ onze mois, ce fût très paisible. Tout était très calme, pas de meurtre, pas de révolution, rien, tout était silencieux. Il n'y avait pour simple son, le bruit de l'argent qui coulait à flot. Sauf qu'un soir où tout semblait normal, Flokky et moi allions nous coucher. Et pendant la nuit, notre fenêtre se brisa. J'ouvris les yeux instantanément à entendre le son de la vitre se casser, pour voir une silhouette noire foncer vers moi. J'étais tétanisée, et je ne pouvais pas bouger d'un pouce. J'espérais juste que c'était un cauchemar mais non. La silhouette se jeta sur moi et plaça ses mains sur ma gorge, avant de presser dessus avec énormément de force. Il m'étranglait, et je commençais à suffoquer. Mais heureusement, Ragnar avait entendu lui-aussi le bruit de la fenêtre, et poussa la porte d'un coup, pendant que Flokky plissait les yeux pour essayer de comprendre ce qu'il se passe, lui qui venait de se réveiller. Mon agresseur entendit la porte s'ouvrir et courra vers la fenêtre qu'il avait brisé, puis réussit à s'enfuir. Je toussais, j'essayais de respirer maintenant que ma trachée n'était plus compressée. Et bien évidemment, je pleurais, j'étais effondrée en larme. Ragnar et Flokky continuait de me dire que c'est finit, qu'ils tueront ce salaud, que je n'ai plus rien à craindre... Mais au fond de moi, j'étais toujours aussi terrifiée. Qui était-ce ? Pourquoi il a tenté de me tuer ? Je n'en savais rien, et c'est pour ça que Flokky et moi avons décidés de tout raconter à Ragnar, à propos de nos activités illégales. Il était choqué, il n'y croyait pas un mot. Mais après avoir insisté, il finit par nous dire une seule chose : " Arrêtez ces conneries maintenant alors. " Mais bien sûr. Tout arrêter. Il rêve, on était trop bien partit pour tout arrêter maintenant. Au fond, ils avaient raisons mes frangins, c'était juste un petit incident, rien de grave. Les mois avant qu'on atteignent nos dix-neuf ans furent catastrophique. Apparemment une autre organisation avait vu le jour, dans le but de détruire la nôtre. Meurtre de nos bras droits, explosions de nos réserves de marchandises, braquage dans nos tavernes. Tout allait au plus mal. Nos hommes commençaient à avoir très peur et la plus part quittait la ville. C'était désastreux. Puis vient le fameux jour où nous atteignons nos dix-neuf ans. Une fête comme une autre, avec cette fois-si quelques idiots qui tentaient de me séduire. Notre organisation touchait presque à sa fin, nous n'avions pratiquement plus rien. Alors qu'on essayait de profiter de la fête, tout d'un coup, des hommes du Roi débarquèrent dans la salle pour tout mettre à sac. Ils renversaient les tables, hurlaient à tout le monde de se mettre au sol de ne plus bouger, puis ils crièrent à mon père qu'il était en état d'arrestation pour contrebande, crimes et vol. Mon père se débattait, réussit à s'extirper des bras robustes des gardes, avant de nous hurler de fuir. Ensuite, la foule entière se leva et commença à courir partout, que je perdis mon père de vu. Par contre, un des gardes dégaina son épée et s'avança vers Ragnar, pour envoyer un coup circulaire en visant sa gorge. Ma mère se hâta vers Ragnar pour le pousser de toute de ses forces, tout en s'abaissant pour esquiver le coup. Sauf qu'un autre garde vint par derrière avec un élan tellement fort que ma mère se retrouva au sol, à quatre pattes, en pleure, et nous disait aussi de courir. Sauf qu'une fois de plus, j'avais peur. Je regardais la scène, immobile. Et le garde qui renversa ma mère planta son épée en plein dans sa nuque. Et cette-dernière transperça tout le cou, et ressortit par l'autre côté, déchirant la trachée, peut-être même la pomme d'Adam, pour laisser tout son sang couler sur le magnifique tapis en velours rouge. Flokky me prit par le bras et me tira le plus vite possible. Je me suis laissé faire et je l'ai suivit, accompagné de Ragnar. On couru le plus vite possible dans tout le domaine, même si personne ne nous suivait. On courait vers le port, mais je me contentais de suivre Flokky et Ragnar. Un bon moment après, nous sommes arrivés au port de la ville. Flokky m'a raconté que notre père lui avait laissé une lettre, et qu'il devait la lire seulement après la fête, ce qu'il fit. Il me dit que dans la lettre, il y avait un endroit où aller, mais je n'ai pas pu la lire. Je me demandais simplement si mon père était vivant, s'il était mort, ou en prison, ou s'il avait réussit à s'enfuir. Flokky utilisa l'argent qui nous restait pour trois places à bord d'un bateau, et je ne savais toujours pas où on allait, mais on embarqua tout les trois. Deux jours après, avant de s'endormir, Flokky et moi discutions, comme à nos anciennes habitudes. " C'est Ragnar. -Pardon, Flokky ? -Ragnar, c'est lui qui nous a balancé ! Y a que lui qui savait ! -Mais... -Elizabeth. Ecoute moi. " Puis après la discussion, on s'endormit. Du moins, il s'endormit, mais pas moi, car ce qu'il m'a dit m'empêcha complètement de trouver le sommeil. Et le lendemain, le dernier jour avant d'arriver, on attendait calmement sur le pont que les matelots aillent déjeuner, avant d'appeler Ragnar. Il nous regarda en souriant, en disant que tout va s'arranger. Oh oui mon grand. Tout va très bientôt s'arranger. Flokky s'avança vers lui lentement avant de le prendre dans ses bras. Ils s'enlaçaient tout les deux et moi j'étais derrière, à regarder Ragnar qui me souriait. Puis Flokky dégaina discrètement un couteau caché dans sa manche, pour le planter en plein dans le bas du dos de Ragnar, vers les reins. Du sang commençait à dégouliner de sa bouche pour tomber sur l'épaule de Flokky, ses yeux noirs perdus dans mes yeux verts. Je lui souriais, pendant que Flokky le laissa tomber par terre. Il me tend un second couteau, que je pris, toujours le sourire au lèvre, avant de m'abaisser, pour planter notre ainé dans le ventre. Et ensuite on répétait le geste, chacun son tour, comme une mélodie... On l'a planté, planté, planté, planté, planté, planté, planté, planté. Vingt-sept coup de couteaux un peu partout sur son corps. Il saignait comme une truie gorgée. Puis on le jeta à l'eau, avant d'aller voir le capitaine du navire, de lui déposer notre dernière bourse, qu'il accepta gracieusement. On alla ensuite vers notre chambre, et je regardais le vide, l'air pensive. Flokky vint s'assoir près de moi, posa sa tête sur mon épaule, et me dit : " Tu sais, une famille, c'est dur d'être proche de tout le monde. On est beaucoup. Alors que là, y a plus que toi et moi. On est plus qu'une famille, on est lié, Eliz. Ensemble, plus rien ne pourra nous arrêter. " Je lui souriais, et le soir même, on débarqua. Et il me lança un large sourire en engageant la conversation : " Mademoiselle, bienvenue sur les terres de l'Ordre. "

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