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Une main gantelée écarte le rideau des ombres, mandatée par le Triumvirat, l'Ecarlate Sylkabe impose le respect du Dharma, de gré, ou de force.

  • Profane Clemink

  • Aucune citation.

  • Fonction

    Profane

    Race

    Humain

    Sexe

    Masculin

  • Ampoule alluméeAmpoule allumée
  • Réput. HRP

    Présence

    56 heures

    Réput. RP

  • Histoire du personnage

    [HRP] Demandez-moi avant toute utilisation en RP de ce qui suit.[HRP] *En fouillant la bibliothèque de l’Académie, vous tomber sur un livre neuf, celui-ci possède des coins renforcés par des bouts de fer. En l’ouvrant, vous vous rendez compte que la première page est un croquis d’un homme d’une trentaine d’années. Il a des cheveux longs et attachés négligemment à l’arrière du crâne, une barbe est légèrement visible et tout son visage évoque le calme et la tranquillité. En bas du dessin se trouve les initiales “C.R.”* Clémink Robethel, un nom qui ne vous dit probablement rien pour ceux qui ne sont pas natifs du village de Froidepique, c’était un honnête homme qui vivait avec sa femme, Ludia. Il était proche de ses parents, Larior et Sibrielle Robethel ainsi que de sa petite soeur, Lidella, tout les villageois vous diront que c’était l’homme le plus calme du monde, celui qui peut s’entendre avec n’importe qui, qui vivait sa vie avec entrain. Mais peu d’entre eux savaient que c’était un homme empli de questions sans réponses, de difficultés, de faiblesses, il avait peur de lui-même, haïssant ses craintes du futur et sa propre personne. Depuis son plus jeune âge, ce n’est qu’un enfant solitaire, observant les autres de loin, il a grandi avec les mêmes craintes toute sa vie. Lorsque je naquis, tombée des cieux, il fut le premier à me tendre la main alors que tout le monde me jetais des pierres en m’insultant de monstre, il m’a hébergé, nourris, éduquée, je suis devenue sa fille, Nakalia Robethel, Onyx et fière fille de mes deux parents. Je remarquai rapidement le mal être de mon père, j’essayais de tout faire pour combler ces vides, mais sans succès, ma tante Lidella me rapporta qu’elle était au courant pour l’état de mon père mais n’avait jamais rien pu faire pour lui. Puis vint le jour de sa mort, il tardait à rentrer de la chasse, en fouillant un peu, nous trouvâmes ses affaires, son arc, sa dague, sa cape et un archer non loin. Tout le monde avait deviné ce qui s’était passé. Ses funérailles furent douloureuses pour tout le monde, ma mère pleurait, effondrée sur le sol. Mes grand-parents priaient pour qu’il festoie avec ses ancêtre et moi, j’étais perdue, comment un enfant pouvait réagir à la mort de son père bien aimé, après tout ? Je rentrai à notre demeure, je ne pouvais en supporter davantage, je me suis laissée tomber sur mon lit et j’ai hurlé, hurlé ma haine envers ce monde qui m’avait pris cet être si cher. En reprenant mon calme, j’ai pu le voir, son visage qui s’éloignait du village, au loin, hallucination ou réalitée ? Je n’ai pas réfléchis et je suis partie en courant dans la même direction que lui, me perdant peu à peu dans les bois. Après beaucoup de temps passé à marcher, je l’ai rencontré, je l’ai enlacé pour qu’il ne parte plus, pour ne plus le perdre, et ce fus la première fois que je le voyais pleurer, la première fois que je le voyais perdre son masque impassible. Il avait fait le choix de courir après les réponses à ses questions, et j’ai fait le choix de le suivre, de ne plus le quitter. Nous étions devenus des chasseurs de prime afin de pouvoir survivre, tuant brigands, voleurs et assassins afin de nous remplir les poches, nous acceptions toute les missions, mais surtout celles qui payaient le mieux. Père a toujours bien accepté cette nouvelle vie, son calme et son impassibilité habituelle se ressentait jusque dans les combats, le voir enlever la vie d’autrui sans remords m’a un peu dérangé, j’avais peur qu’il apprécie le goût du sang. Avec le temps, nous nous étions entourés de quelques compagnons, Heliel et Arym, deux frères humains, Danor, un nain banni de sa montagne d’origine ainsi que Elion Robethel, mon grand-oncle. Ainsi, nous avons passé des années à vagabonder à travers le monde, mon père n’a jamais perdu espoir, mais je pouvais voir la lassitude sur son visage. Jusqu’au jour où nous avions eu vent d’une chose assez curieuse, un groupe de personnes vouant un culte à un être mystérieux, ce qui n’est pas si rare en soit, mais certains parlent de magie, de pouvoirs, de bénédictions. J’ai vu le visage de mon père s’illuminer en entendant parler de cet endroit, ce groupe prêchant la fraternité et l’étude du savoir a donné un sens à sa vie et rien ne me faisait plus plaisir. Après s'être rendu sur les Terres de ce groupe, il a dissous notre groupuscule et chacun a fait sa vie de son côté, Elion s’est marié et les trois autre ont retrouvés leur foyer d’origine. Je voulais rejoindre mon père dans ses études mais il m’a fait promettre de ne jamais m’y rendre sans m’expliquer pourquoi, alors j’ai ouvert une taverne, le Chasseur Ivre, et il me rend régulièrement visite. Depuis qu’il a rejoint l’Ordre, mon père a changé, je le ne reconnais plus, il ne me parle ni de l’Ordre ni de ce qu’il fait, je me doute qu’il a des objectifs, des projets sûrement innommables, mais il m’a dit ces mots sur un ton glacial : “Si je te dis mon plus grand rêve et que je ne le réalise pas, n’aurais-je pas l’air bête ?”, c’est bien la première fois qu’il me cache quelque chose et qu’il me parle ainsi. Vous qui lisez ce livre, je vous demande de ne pas le juger, je vous demande de penser à ce qu’il a fait de bon, je vous demande d’avoir pitié de lui. J’espère que vous respecterez la requête d’une fille aussi naïve que moi. *Les initiales N.R. sont apposées à la fin du texte.*

    Présentation du joueur

    Clemink est un homme de trente ans environs, il semble fatigué et est toujours impassible, les joues légérement creusés et une barbe légérement apparente. Son impassibilité lui donne un air blasé et complétement détaché de tout. Il parle d'une façon lente et monotone, souvent froid. Est malgré tout légérement railleur et est souvent en train de rire.
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