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Dans une canopée antique, un Sage s'élève, se faisant porteur de la flamme d'une Oracle disparue. Félicitations à Yazor qui passe Sage !

  • Membre Fynathielle

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    Indéterminé

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  • Réput. HRP

    Présence

    2382 heures

    Réput. RP

  • Histoire du personnage

    Je suis Fynathielle Hykul, Maîtresse de l’Ordre et « grande sœur » de bien des personnes ici... Je suis une femme, une chimère aux sabots et aux oreilles de biche. Mais avant, j’étais Fyndwael, un humain un petit peu bizarre, puis une chimère cerf. *---*---* « Yj eséa Fyndwael, entar nyrga tromiu erk lam Oerhda. Yj fraépryap lam Oerdha yl yk avra leongreh-tluyehm, manolrek yj vallap vrÿas entars omerthras threkes. Yj eséap entar aemeth erk Black Lemming, lam segghe. Yj ratra kryf lam Oerdha, manolrek yl sek-mortilem. Yj valla er-strayas entar pryamehr. » --- Ca, c’était pour mon retour dans l’Ordre, ça commence à dater un peu. Un peu. *---*---* Il est de ces histoires que l’on raconte parfois, aux quatre coins du feu, sans vraiment y faire attention. Ces histoires partent généralement d’une superstition puis qu’une exagération vient altérer au fur et à mesure que l’histoire se transmet, de têtes cubiques en têtes cubiques. D’autres, plus rares, sont contées sans ajouts de fioritures, car elles sont si magnifiques qu’il n’y a nul besoin d’exagération. Simplement de passion et d’une belle plume. Celle-ci, je ne saurais dans quelle catégorie la placer… *---*---* Je suis né en tombant du ciel, bizarrement. J'ai été recueilli par une famille vivant dans une caverne. Mon peuple n’avait pas la prétention d’avoir un nom. Mon peuple n’en était pas réellement un, mais plutôt une minuscule tribu, dont les membres vont et viennent au cours du temps… Nous pratiquions le culte de nos ancêtres, notamment grâce à de vieilles plaques de pierre, exposées au dessus de la cheminée creusée dans la robe, contant la naissance des premiers vivants, qui rendaient un culte à une sorte de « Déesse de la nature » et à son étrange acolyte. Elles enseignaient également le Lynkr, que nous parlions couramment. Il n’y avait pas plus de confort qu’il nous en fallait : dormir sur la paille souvent changée, dans une grotte aménagée, manger avec nos mains dans des bols, sur une table de bois. La vie y était si simple. Tous les cyclames, nous avions diverses tâches à réaliser : s’occuper de la forêt, à découper les troncs puis à en détruire le feuillage pour faire apparaitre les boutures et les si délicieuses pommes. Ou à récolter les champignons au fond de la grotte, ou même aller battre le blé, puis en ressemer les graines, s’occuper de nos vaches et de nos moutons… En cette époque, j’étais un humain, je n’arborais pas mes magnifiques bois. En cette époque, tout était si simple… Et un beau cyclame, j’ai décidé de sortir plus loin que ce que je connaissais, plus loin que la forêt… J’avais pris sur moi des réserves de pain, des bols de soupe champêtres, une petite cuirasse confectionnée par mes soins, et un marteau. Enfin, je suis parti. Je foulais l’herbe de mes pieds cubiques, respirant l’air frais qui balayait mes cheveux. J’étais libre, libre comme l’air ! Ce monde était à moi, et il m’appelait : « Fyndwael, Fyndwael, explore tous les recoins, bénis chaque brin d’herbe de tes pieds nus. Tu es l’air, la terre, l’eau, le feu, tu es tout. Tu es libre. » Chaque vision, chaque loup qui courait après un mouton, avant de le mordre et de le faire disparaitre, laissant de la poussière volante, un cube de laine au sol et l’estomac du loup rempli, m’émerveillait. Tout était si beau ! J’ai longtemps marché, dormant dans l’herbe, me douchant par la pluie, observé par la course effrénée du soleil et de la lune, du ciel passant du bleu au noir en si peu de temps. Le temps n’existait plus, il n’avait jamais existé. Liberté ! Hurlais-je, fou de joie, ivre de bonheur. Mais tout cela s’arrêta bien vite, alors que je fus atteint d’une douleur au côté, signe d’une trop grande activité, lorsque le corps disait « on arrête tout, il faut se reposer ! ». Je mordis dans un des bouts de pains que j’avais lâchement dérobé, et la forme me revint. Cependant, pour ne pas user mes réserves dès le premier cyclame, je choisis de marcher dans cette forêt. Alors que le doux parfum des fleurs m’enivrait et m’accompagnait dans mon périple, j’entendis alors un léger râle, comme lorsque l’on se blesse, et que gémir fait du bien. M’approchant du lieu d’où le râle émanait, je vis une bien curieuse créature allongée au pied d’un arbre : il avait les bras recourbés sur une plaie béante au flanc, une robe de bure imbibée de sang et un faciès absolument laid, avec son gros crâne cubique et son affreux nez. Néanmoins, je me sentis l’âme salvatrice, et me portais-je à son aide. Le pauvre ne pouvait plus parler, j’entrepris alors de lui donner l’eau de ma gourde, mais il s’étouffa avec ! Lorgnant discrètement sa blessure, je m’aperçus qu’elle allait être mortelle. J’enveloppai alors le condamné d’un drap, je m’allongeai à ses côtés, pour admirer le crépuscule tout en lui offrant de passer ses derniers instants aux côtés de quelqu’un. Le râle s’arrêta, et le pauvre se laissa sombrer dans la mort, tandis que l’astre journalier se couchait. Je me relevai, et mis le drap de manière à cacher la tête du défunt, la nature s’occuperait du reste des rîtes funèbres. Je commençais à partir, qu’alors j’entendis un râle bien plus rauque, accompagné de tissus se froissant, se déchirant, et d’un cliquetis causé par du sang qui goûtait sur le sol. Je me retournais, et je vis l’horreur qui se levait devant moi : l’être au gros nez, mais avec la peau d’un vert vomitif et les bras tendus devant lui, prêt à me dévorer de sa gueule béante. Alors que la panique et la terreur m’envahissaient, j’attrapai fermement mon gourdin, et lui écrasa sur le coin du cube ! Voilà qui apprendrait le respect à ce manant aux narines surdimensionnées ; mais mon triomphe me fit baisser ma garde, et le bougre m’agrippa le pied et me mordit l’orteil. Dans un hurlement, je lui remis quelques coups à l’arrière du crâne, jusqu’à ce que la créature s’affale sur le sol. Fixant la dépouille, je vis la peau verdâtre se noircir et tomber, puis un tas d’os se releva devant moi, cliquetant de manière féroce. Avec un bon coup de marteau dans les chicots, l’abomination recula, et après un second pour lui casser les genoux, il s’écroula et se vaporisa, et il ne resta plus que ma solitude dans la nuit, et quelques os et autres bouts de viande putréfié, à mes pieds. Choqué par ces événements, je me mis à courir, tel un dératé. Tout s’agitait autour de moi, il y avait des grognements, des crissements, des sifflements… Tout était bruyant et affreux, dans cette forêt. Et je tombai. J’avais raté la marche ? Mais quelle marche ? Je tombais, je tombais ! Que m’arrivait-il, ça tournait ?! Je n’eus que le temps de voir la pierre arriver que tout devint sourd, après le craquement de tous mes os à la fois. Froid, froid ! Ce que c’était froid… J’étais sur de la pierre... Taillée en briques ! Mais tout était froid, surtout la pierre. Un petit effort, et je me relevai. Devant moi, je vis une sorte de sculpture étrange, un « huit » stylisé… C’était, me dis-je, sûrement là l’œuvre d’un fou s’essayant aux arts. Juste à côté, un type à la peau noire, aux yeux blancs, et à la robe pourpre -mal taillée- plantait un panneau, et quand il eut fini de peaufiner son inscription, il me jeta un regard absolument amusé, avant de marcher, de passer derrière un arbre… Et de réapparaître derrière un autre, plus loin. - Hé ! hurlai-je Etait-ce une hallucination ? Pourquoi me mettais-je à voir des cultistes à la peau noire qui plantent des panneaux ; d’ailleurs, que disait ce fichu panneau ? « Suivez les yeux ! », avec une flèche indiquant l’étrange structure. Je regardai derrière ce « huit » et en vit un autre, dans l’eau. Je tournai autour de moi : il avait une jungle à ma droite, la mer à gauche et une forêt enneigée derrière moi. Visiblement, l’œil me disait de longer la mer… La prochaine structure était sur un petit talus. Et ainsi de suite… Arrivé dans un marais, je revis cet étrange type en violet… Je l’appelai de loin, et il disparut derrière un arbre… - C’est votre première fois. Je me retournai, vivement, et vis son visage souriant, ainsi que ses yeux immaculés. - Ma… Ma première quoi ? bredouillai-je, absolument affolé. - Votre première mort, pardi ! - Je suis mort ? Il ricana, et s’en alla encore derrière un arbre. Je me remis encore à suivre les yeux, quand j’entendis un bruit de pas derrière moi, ce fou me suivait ! - Mais qui êtes-vous, à la fin ?! lui hurlai-je, - Justement, à la fin. Vous pensez être fou, n’est-ce pas ? Désolé, je me maîtrise pas. - Maîtrise pas quoi ? - Cela dépasse l’entendement. Votre entendement, pas le mien. A tout à l’heure, pour la fin, et le début. Il disparu, une dernière fois. Plus ça allait, plus je me disais que le royaume des morts était peuplé de fous. Je continuai le chemin des yeux, qui me mena au pied d’une colline. Après avoir escaladé celle-ci, je vis qu’au creux du massif dont faisait partie cette colline, il y avait des grues de bois, des tas de pierre, des gens qui grouillaient pour s’affairer à construire les fondations d’un gros bâtiment. - Notre abbaye n’est pas encore finie, mais vous nous aiderez surement. Après tout, vous avez deux bras, deux jambes et une tête. A ces mots, je sursautai, au point que je faillis tomber de la colline ! L’Onyx venait –encore- de « venir » à mes côtés sans prévenir. Celui-ci rit encore, avant de se présenter : - Je suis Black Lemming, quelqu’un d’un peu fantasque, et bienvenue au sommet d’une colline, qui verra la naissance de tout un tas de choses. Vous êtes ? - Fynd… Fyndwael. J’étais à la fois terrifié et complètement sous le charme de ce type étrange, et sa surprenante faculté à me prendre par surprise. Néanmoins, il me montra une rudimentaire cabane de bois de sapin, où trônaient quelques lits, ainsi qu’un coffre. Il m’offrit du pain et de la soupe, puis demanda à Frère Sak’ –un grand type en bleu, à la peau mate- de m’expliquer qu’il était, qu’ils étaient, qui j’étais et que faisions nous… Tels étaient là mes premiers pas dans ce qui deviendrait plus tard l’Ordre d’Herobrine. Bien avant Sangha, bien avant les Guildes, bien avant les… Problèmes. Mais ne vous en faites pas, ça ne veut pas dire qu'on vit moins heureux maintenant ! *---*---* « Rien n’est impossible pour qui a du cœur. »

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    Flot d'imagination. Joueur passionné du serveur, MJ à temps partiel et rôliste fou. Je suis également le premier à "terminer la partie" d'Herobrine.fr, sous le compte Satinav. Eh oui, le premier joueur Ancien, ça en fait de la fierté, eheh !
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