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  • Profane Rainer

  • Aucune citation.

  • Fonction

    Profane

    Race

    Humain

    Sexe

    Indéterminé

  • Ampoule alluméeAmpoule allumée
  • Réput. HRP

    Présence

    33 heures

    Réput. RP

  • Histoire du personnage

    Je me nomme Rainer, je suis Humain, né de parents humain et voici mon histoire: Je me nomme plus exactement Rainer Dal-Tradi, tel est le nom de mes parents, je ne sais malheureusement plus le nom de mon village natal, je me souviens seulement que c'était un tout petit village où il faisait bon vivre, la vie y était agréable, douce, calme,... Tout le monde ce connaissait bien, que ce soit notre boucher, ou notre boulanger. En définitif, un village tranquille. J'y suis né pendant la période des moissons, ma mère avait faillie mourir lors de l’accouchement, ce qui, heureusement, n'était pas arrivé. Néanmoins, elle en ressortie plus fragile qu'avant, ce qui expliqua sa stérilité qui allait venir, et que je me sentais coupable de ce qui lui était arrivée à ma naissance, elle me rassurait avec ces paroles "Ne t'en fait pas, mon fils, tu es la meilleur chose qui me soit arrivée, alors, ce qui m'arrive n'est qu'un faible dû pour t'avoir mis au monde." Ma mère... Elle était douce, calme, et compréhensible, bien qu'un peu maladroite quand elle n'était pas sérieuse, elle avait les mots pour charmer les gens, et elle était aimante, envers mon père comme envers moi et même tout le village! Car elle aimait tout, et tout le monde, bien qu'elle avait eu quelque différent avec notre voisine. Mon père, lui était un homme sérieux, intelligent et discret, il nous aimait, ma mère et moi, étant que cela lui était possible, c'est a dire énormément, et personne n'aurait pus mettre un chiffre sur le nombre de fois ou il avait dit à ma mère et à moi qu'il nous aimait. Ils étaient tout deux des membres à part entière du village, ils étaient autant respectés qu'ils respectaient les autres. J'ai passé mon enfance dans mon village. Mes parents, qui étaient tout deux très instruits, m'avaient appris à lire et écrire, compter, la géographie et plusieurs autres matière, notamment, ma préféré, une matière physique autant qu’intellectuel, la survie. Il arrivait que mon père, et non ma mère a cause de sa fragilité, m'emmène en foret pour m’apprendre plusieurs choses: - comment trouver a manger - comment me repérer - comment me cacher et surtout: - comment éviter les monstres Car oui, notre monde est bien dangereux pour qui n'est pas averti. La plupart du temps, ces monstres ne s'attaquaient pas a nous, mais il arrivait tout de même que soit retrouvés quelque cadavres d’animaux, des cochons dévorés, des vache éventrées,... Le cas où des humains étaient tués était rare, mais cela arrivait tout de même, l'on retrouvait souvent près des corps, des morceau de chairs putréfié et des traces de pas se dirigeant vers les montagnes qui bordaient notre village. Bref, malgré ces quelques dangers, notre village était en paix, peu des cas cités précédemment ne sont arrivés, malheureusement le mari de notre couturière n'avait pas eu la chance d'en réchapper, j’avais seulement quatorze ans à l'époque, il rentrait chez lui tard dans la nuit, après être allé dans une grande ville située près de notre village pour y vendre les travaux de sa femme à sa demande, nous l'avions retrouvé au matin à seulement une vingtaine de pas de sa porte, se fut une grande tragédie. A part cela, rien de grave n'était arrivé. Le jour de mes seize ans, mon père et ma mère décidèrent de m'initier à l’escrime et à l'archerie, presque tout le monde au village maniait au moins l'arc ou l’épée, alors il fut décidé que moi aussi. Ce furent mes parents que m’apprirent le maniement des armes, enfin surtout mon père pour la pratique, et ma mère pour la théorie. Mon père était fort, il avait appris ce qu'il savait de ma mère, en effet, aussi amusant que cela puisse paraitre, mon père était à l'origine un érudit, et ma mère, en fait je ne sais pas vraiment, elle m'avait dit qu'elle avait appris à manier les armes chez un maitre d'arme, et que, pour son ancien métier, elle œuvrait souvent dans l'ombre, elle avait rencontré mon père au détour d'une ruelle, mon père était dans ses livres et ne regardait pas la route, et ma mère regardait en permanence derrière elle, et ils se sont rentrés dedans... c'était elle, qui lui avait appris le maniement des armes, et lui qui lui avait appris se qu'elle ne savait pas en matière d'histoire, de géographie,... Bref, ils m'apprirent tout se qu'ils savaient au niveau des armes, armures, et autres. Et je participa, quelques jours plus tard, à l'entretien du village: aider à l'agriculture, à l'élevage, réparer des choses, construire,... En somme j'aidai au bien commun plus qu'avant, car c'était à cet âge que les jeunes du village étaient considérés comme apte à aider au travaux les plus épuisants. certains des nouveaux adultes décidèrent de quitter le village et de partir pour diverses raisons, la soif d’aventure, la connaissance,... J'ai maintes fois pensé à ce que je ferai de mon futur: Aventurier? Non, je ne suis pas assez sur de moi érudit? Non, je suis trop rêveur voleur? Non, trop peureux guerrier? Pas assez fort fermier? Oh non, je ne compte pas faire cela toute ma vie! Je ne savais pas ce que je pouvais faire. Une année passa et je me réinterrogea sur la question, j'en avais même parler à mes parents, après m'être penché sur mon cas, je me suis rendu compte que j'avais quelques passions, finalement, pour l'aventure et la découverte. Alors j'ai su ce que je ferais. ce fut cette année là que mon père fut tué par les monstres, on retrouva son corps et celui de notre forgeron, tout deux étant parti pour la ville, près d'une caravane, l'épée à la main, des morceaux de chairs putréfiés aux alentours, seul un enfant d'une quinzaine d’années avait survécut et nous a décrit ce qu'il s'était passé, comment la caravane a été attaqué par les monstres, comment mon père et le forgeron se sont portés à son secour et comment ils lui ont laissé assez de temps pour se cacher. Après cette histoire, nous l'avions fait rapatrier à sa famille en ville. Bien que triste, ma mère ne pleurait pas, elle racontait que c'était la vie, et qu'elle était heureuse d'avoir épousé un homme tel que lui. Même si elle disait qu'elle allait bien, je savais qu'elle avait le cœur brisé. Elle tint le coups pendant deux ans mais tomba gravement malade, après que le médecin du village l'ai ausculté et l'ai observé longtemps et de nombreuse fois, il arriva à la conclusion que cette maladie, sans doute inconnue ou méconnue, était due au décès de son mari, et que rien ne pourrai la soigner. Néanmoins, il me révéla qu'il avait entendu des rumeurs sur un ordre religieux qui possédait de grande connaissance, et qu'il était possible qu'ils puissent sauver ma mère. N'ayant rien à perdre hormis ma mère, je suis partis avec une charrette et ma mère, de mon village sous les encouragement et les vœux de bonne fortune des habitants de mon village, j'ai suivis les indications du médecin, j'ai avancé vers le sud, tout droit. Toujours tout droit. j'évitais tout de même les villes et village, sauf pour me ravitailler, au quel cas je ne faisais que de brèves haltes, afin de ne pas transmettre la maladie de ma mère car, même si j'en doutais, je ne pouvais pas risquer de contaminer des gens innocents. Étonnement nous n’avons jamais été attaqué pour des monstres ou des briguants, même si j'étais près à utiliser ma lame si besoin était. Ce fut après douze jours de trajet que ma mère mourut, même si je refusais de le croire, c'était bien le cas, comme le voulait la coutume du village, je l'avais incinéré, je suis même resté plusieurs jours à cet endroit, en pensant à ma mère et mon père, je ne savais plus quoi faire. Et puis le troisième matin qui suivi le jours de l'incinération de ma mère, j'avais décidé de faire se qu'ils m'avaient toujours conseillé de faire: "Fait ce qu'il te plait, mais fait le bien" Alors, j'ai continué en direction du sud, vers un port me permettant d'aller sur l'ile où se trouvait le siège de l'"ordre". Après deux semaines de traversé, j'y étais enfin rendu. Sangha, l'ile de l'ordre. Il faisait nuit, alors je me suis rendu à une taverne en marge du port, j'ai demandé une chambre, un repas et suis allé ranger toutes mes affaires, puis une fois fait, je suis retourné dans la salle principale afin de souper. Pendant le repas j'avais entendu quelque bride de conversation, "volé", "papier", "serrurier" de la part d'une table, "ruine", "mort", "tombé", "héro" de la part d'une autre, rien de tout cela n'était en somme très intéressant. Après cela je suis retourné dans ma chambre afin de me coucher. Le lendemain matin, je suis allé déjeuner et glaner quelques informations, j'ai notamment appris où se situai le siège de l’ordre. Même si il était évident que l'ordre se soit fait construire un grand bâtiment, je ne pensais pas qu'il le serai autant, repensant à mes parents, je me résolu à entrer. Je suis donc entré dans l'espoir d'être accepté pour aider les gens, et même aider à faire avancer le monde. C'est donc pour cela que je suis là.

    Présentation du joueur

    Bonjours/bonsoir Une présentation pour bien faire: Je suis un petit fana de jeu vidéo, que se soit de COD à minecraft, en se qui concerne minecraft je suis un débutant RP, j'ai, néanmoins, joué du RP sur différent jeux, World of warcraft, dofus (nia!nia!nia! pas de remarque), et tout récemment ArmaIII. Je vous serai donc reconnaissant de ne pas me juger trop vite, car j'ai une assez bonne faculté a m'adapter et aussi une ÉNORME faculté a me complimenter. Je hais la lâcheté mais je ne suis pas fou. J'aime les loups, le courage et la coopération (tien tien, c'est comme les loups sa, non?). Et si vous me rencontrez en jeu, n'hésitez pas a me lancer un défis, je pense vous dire oui à chacun d'entre eux.
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