Les ténèbres de la nuit m'enveloppaient dans un manteau de noirceur, je restais, le regard vide, perdu dans mes pensées. Mon corps ensanglanté ne cessait d'éclabousser le sol de mon fluide vital. A quel moment de mon histoire la suite logique des événements avait-elle échappée à mon contrôle pour en arriver là. ? Deux ans plus tôt. Ma sœur jumelle, qui alla rapidement dans un couvent ne connu pas les même chose, et moi même, vivions avec notre mère dans une grande ville industrielle nommée Vorpal¹. Citée perchée sur un îlot flottant au dessus de l'inconnu, un point de convergence des limbes au centre de la ville. Ma famille et moi-même, excessivement riches et situés dans les plus hautes sphères de la société, toisions, d'un mélange d'amusement et de condescendance, nos contemporains qui fourmillaient sous nos pieds, du haut du piédestal qu'était notre renommée. Nous vivions dans l'allégresse et l'opulence, nous ne manquions de rien, le moindre de nos désirs était assouvi dans les plus petits détails de notre volonté. Notre père, étant parti avant notre naissance, il laissa un grand vide au manoir familial. Usurpateur d'identité et fin stratège, il tomba amoureux de ma mère. Il su la séduire et la mettre enceinte. Sa quête de l'Ordre et de ses secrets, son passé plus que douteux, le poussa à quitter sa dame avant l'accouchement. En vue de l'urgence de sa situation, il abandonna quelque uns de ses biens que nous remit notre mère à nos dix-huit ans. Des armes, des émeraudes, des alcools rares et surtout un livre signé "Daniel" intitulé "l'art du vol". Ma mère, Elisabeth Von Veila Bathory², travaillait nuits et jours sur de nombreux projets, alchimiques et médicaux, notamment sur des expériences repoussant à l'extrême l'entendement, frôlant l'immoralité de l'être humain. Ce sacrifice des valeurs, transmise à ses filles, lui procura une notoriété et une renommé digne des grands de ce monde. Ma vie n'est qu'une suite de sanguinolentes découvertes dans un laboratoire embaumant la chaire froide et les explosions des expériences alchimiques de ma mère. Elle m'apprit tout ce qu'elle savait sur les sujets de son travail acharné. Je participais, en temps qu’assistante ou en temps que cobaye de temps a autre, à quelques-unes de ses ... expériences, pour le moins immondes, pour peu que l'on soit doté d'une morale. A mes dix-neuf ans, je partis de la maison, ma mère devenue quelque peu folle par ses expériences et les miennes qui prenaient rapidement une tournure encore plus sombre. Je fis partie du groupe de volontaires lors du vol expérimental d'un dirigeable, mes expériences en rapport avec l'énergie à base de vapeur compressée. Mélanger cette technologie au corps humain me semble être une idée à fort potentiel. Malheureusement l'expérience ne fut soldée que par un échec cuisant. Une monstruosité sans nom, à l’allure d'un onyx blanc, venait de tomber en plein dans le ballon, et le perça. Tous furent pris de panique sans savoir comment réagir face à cet événement. Le dirigeable sombra corps et âme. Les seuls survivant de cette tragédie furent cet onyx blanc et moi même. Il ne savait ni parler, ni marcher, ni s’occuper de lui: je dû faire son éducation. Il appris très vite le nécessaire à sa survie. En un an seulement il était passé d'un mental équivalent à celui d'un enfant de deux ans à l'esprit d'un adulte de vingt ans. Je le nomma Sanji. Sanji Von Veila, Car adopté par ma personne il venait d'être. Seule suite logique à cela, la recherche de cet Ordre mystique pour lequel notre père nous abandonna avant ma naissance. Incapable de retourner sur Vorpal, nous entamâmes sa recherche auprès de nombreuses bibliothèques, quand enfin nous finîmes par trouver une piste: une suite de structures étranges en forme de huit menant tout droit aux terres de l'Ordre. A la nuit tombée, nous fûmes attaqués par un groupe de bandits. Je me défendis comme nul autre pareil, les coups de couteaux allaient et venaient: mon corps ne fût pas épargné. L'onyx me sauva, au prix de sa vie, emportant dans son sacrifice les derniers brigands. Me voilà à présent, debout, ensanglanté de la tête aux pieds, des cadavres tout autour de moi, contemplant le ciel noir, vide de vie, infini. Quelque temps passèrent tandis que je restai dans cette position, l'univers figé dans le temps, je ne le vis pas apparaitre, l'onyx vêtu de sa tenue rouge, lui qui méditait un peu plus loin sur les conditions de l'existence de l'être. Il se présenta a moi sous le nom de Neylann, il était alors régent du culte noir. Il me nettoya, pansât mes plaies, me réconforta et me parla de sa guilde, ses valeurs, ses croyances, et son domaine d'expertise. Je compris rapidement que ma place étais parmi eux, je pourrai aisément y continuer mes recherches entreprises auprès de ma mère. Neylann me guida jusqu'au terre de l'Ordre où je retrouvai, aussi perturbante qu'aurait pu être la situation, mon frère adoptif , l'onyx blanc Sanji. Le Culte Noir, mes recherches... Les ténèbres s'abattront bientôt sur votre cube-monde. Je suis Tahiri Von Veila Bathory craignez mon nom. Vorpal¹: http://www.minecraftdl.com/wp-content/uploads/2014/07/Money-Shot_3841739.jpg Elisabeth Bathory²: https://fr.wikipedia.org/wiki/%C3%89lisabeth_B%C3%A1thory

Tahiri: Elle ce délectera de votre souffrance tendis que vous la supplierez de vous tuée. Force = 2 (je suis pas un sur homme! mais je peut soulevé 40Kg tranquillement.) Agilité = 3 (A fini la partie 1 du parcoure de Metenhime.) Combat = 2 (Je sais tenir une épée et plus ou moins.. m'en servir.) Volonté/maîtrise de soi = 1 (S’énerva en moins de temps qu'il ne faut pour le dire.) Subterfuges, tromperies, mensonges = 3 (Je sais mentir mais sans te fair prendre des vessies pour des lentairnes.) Intimidation = 3 (Je fait plier les esprits faible mais sans plus.) Discrétion = 3 (je sais passer inaperçu mais pas me rendre invisible.) Endurance = 3 (Vive la jeunesse!) Barbarie = 5 (Je prend mon bain dans les entrailles de mes ennemis et bois dans leur crane encore chaud et dégoulinant de sang..) 1 Néophyte 2 Basique 3 Apprenti 4 expert 5 Légendaire Trait de caractère L'indifférence froide: La personne n'ait pas sensible, on ne peut pas la "prendre par les sentiments". (par contre si j'ai des sentiment ils sont vrais malheur sur la personne qui me brisera le cœur.) L'irresponsabilité: Cette irresponsabilité est souvent revendiquée, constante, avec un mépris des règles et des contraintes sociales. Intolérance à la frustration La personnalité du personnage ne supporte pas de ne pas obtenir ce qu'elle veut, et son seuil d'agressivité est très bas en la matière : elle va juste très vite s'énerver. Absence de culpabilité il n'y a aucune remise en question après un passage à l'acte. Même les sanctions ne remettent pas le personnage en question.