[HRP]Le livre est doté d’une flamme en bronze d’un côté et de l’autre un Crystal de glace [HRP] [HRP] L’écriture est faite à l’arrache et n’est pas très soignée [HRP] Carnet de Fangh Algadell I Naissance et commencement : Je suis né dans une maison peu soignée mais avec beaucoup d’entourage : Ma mère, mon père et quelques autres personnes. Moi et ma famille habitions un village de voleurs étant près d’un grand donjon exploré des milliers de fois pour un résultat peu crédible, trois pièces d’or. Après 11 ans d’attente, je les rejoignis enfin, les « pillards du Donjon secret ».Ce groupe était plus ou moins expérimenté ; il y avait des voleurs de 47 ans comme de 12 ans. Moi, Fangh, était le plus petit du groupe. La tradition de l’expédition du Donjon totale se résumait à partir le jour du solstice d’hiver. Corrects à la règle, nous partîmes pour une longue et périlleuse inspection de ce maudit Donjon où mon père et moi allions subir une expérience terrible que j’appelle depuis avoir écrit ce récit « La déception de ma vie ». II « La Déception de ma vie » et le grand Voyage : Après avoir franchi la porte du Donjon, nous allumions nos torches. Nous étions 24 hommes. L’intérieur du manoir était habité par d’étranges bestioles, mais depuis que j’eu rejoins le club, on m’avait appris à n’avoir peur de rien, donc cela ne me surprenais pas. Nous avancions en file indienne pour ne pas se perdre. Mon père et moi étions à la fin de la queue car nous étions les plus jeunes ; dans cette exploration, il n’y avait que des amateurs de plus de 30 ans alors que mon père, lui avait fêté ses 28 ans il y a deux semaines de cela. Enfin entamions-nous une salle non explorée, mais déjà un piège attaqua un membre de la Confrérie. Une projection de gaz toxiques ! L’homme était à terre, ne respirant plus. Plusieurs personnes pleuraient de cette scène, moi, elle m’avait glacé le sang. Plusieurs salles plus tard, nous n’étions plus 24 mais plutôt 11. Certaines personnes étaient véritablement mortes, mais d’autres n’étaient que blessées. Nous étions devant une grande porte qui, d’après nous, était la dernière salle de ce Donjon Maudit. La minorité des personnes encore sauves ne voulait continuer, mais moi et mon père étions des guerriers courageux et nous irions de grâce à cette salle mystérieuse. Une fois la porte passée, tout le monde ne voyait rien mais, une fois les torches allumées, surprise, un monstre enchaîné était juste devant nous…Des cris de frissons retentissaient. Moi et mon père allions nous cacher quand soudain, la bête féroce prit mon père d’une main ferme puis l’étrangla. Tous les voleurs furent assassinés puis la bête, qui n’était plus accrochée au mur s’en alla en courant. Après plusieurs minutes d’attente, je pu enfin sortir de ma cachette. J’avais entendu les cris de mon père qui s’entremêlaient avec les bruits du Donjon qui s’effondrait. Je pleurais tout ce que je pouvais ; j’avais perdu mon père. Après m’être vidé, je repartis en prenant toutes les affaires possibles, les yeux rués sur ma carte. En sortant des débris du manoir, je retrouvai ma mère et m’en alla de cet endroit maudit en pleurant. Plus tard, ma mère est moi étions en train de marcher dans la neige. Cette dernière était très froide mais nous résistions grâce à des chevaux presque glacés. Nous arrivions presque quand je tombai d’un coup à cause du vent, sur le côté gauche. Je fus frigorifié comme l’eau de l’océan glacial pendant quelques secondes. Ma mère me rattrapa et fut horrifiée : j’étais bleu marine. Après être arrivé à un village en plein milieu d’une toundra, je me fis examiner mais il n’y avait pas de solutions possible : j’étais condamné à vivre avec ce bras glacé. Ils avaient quand même pu enlever la couleur mais pas l’intérieur. Quelques années plus tard, Moi et ma maman étions habitués au froid mais un jour nous décidions de partir pour un grand voyage. Après être parti, Nous marchâmes pendant seize heures sans arrêt. Enfin arrivions-nous en pleine forêt. Ma mère vit une grotte et me dit de nous y réfugier pour la nuit. Seulement, une coulée de lave me parvient et me brûla mon bras droit. Je criai de toutes mes forces. Ma mère se réveilla et poussa à son tour un cri d’horreur. Elle me mit le plus de bandages possible et m’emmena dehors. Une fois que le soleil emmétra ses premiers rayons, nous partîmes à la recherche de civilisation… A suivre…

Moi? J'ai 12 ans et demi, né à Nîmes et à présent je suis près de Bordeaux. Je n'ai essayé qu'une fois le RolePlay et je suis très satisfait de cette rencontre avec ce site (d'ailleurs très spécial) auquel je pourrais me renseigner au RP... Sur ce, A plus !;p