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Histoire du personnage
[Vous trouvez une courte histoire, d'un garde d'une cité portuaire, racontant sa chasse d'un étrange criminel. Le récit décris de terrifiante nuit sans lune, deux carnivals perturbants, et des choses qui passerai pour des histoires d'ivrognes.]
Au centre d'une immense lagune ce trouve la cité-état et marchande de Morencia. Je vous présenterais bien la richesse marchande de cette dernière, mais je n'ai rien d'un banquier.
Sachez simplement que la cité prospère d'un commerce naval, protégé des pirates par des récifs traitres et un brouillard fréquent. Seul un marin Morencien peux vous guider chez nous sans couler. Et si vous coulez... attendez-vous à ce que les prochaines personnes que vous croisez, si vous êtes encore en vie, sont là pour récupérer les cargaisons et non votre vie.
Nous en venons à moi, Reynault Sans-Lune (un surnom chuchoté à voix basse), qui éclaire d'une torche les rues avec ma patrouille, durant ces foutus nuit sans lune. C'est un mauvais signe chez nous, la Terreur des Nuits Sans Lunes, un criminel pour moi et mes compères qui laisses des corps froids dans les canaux durant l'obscurité totale, mais une légende locale auprès de la plupart des habitants. Il faut dire que ça fait des décenies que l'affaire est ouverte, et seule des patrouilles comme la mienne peuvent rassurer.
Cette fois, nous sommes tous disposé, car la nuit est triplement spéciale :
- Pas de Lune, non pas comme le ciel est couvert ou brumeux, mais bien naturel
- On déploie une forte patrouille à chaque nuit prédite ainsi
- Nous sommes en plein milieu du Carnaval Noir.
Si vous voulez le meilleur moment pour visiter, c'est bien le carnaval. Festins, estravagance vestimentaire, alcool à flot, et tout autre activités licensieuse se déroule pendant un mois. Ca as escaladé avec le temps par contre, évitez tout individu en habits sombres. Ceux-là... j'ose même pas décrire ce qu'il vous ferons pour satisfaire leurs diableries. L'affaire que je poursuis réellement les concernes.
On as enfin trouvé où une cellule se terre, alors que mon chef me lance des signes bref pour commencer la mission.
[appréhension des criminels éclipsés]
Et voilà le dernier qui as essayé de s'enfuir réglé, il ira pas loin avec deux coups de masse dans les jambes à en juger le satisfaisant bruit des os. Il le mérite ce monstre.
Je retourne dans la pièce précédente passer des cordes autour de ceux qui peuvent encore marcher, mais je me demande pourquoi, au bout d'un moment, je ne l'entend plus hurler de douleur.
Je viens m'assurer qu'il n'est pas mort, et je le vois, parlant en boucle d'une voix haletante des mots... que je ne comprend pas. Et un autre... bruit.
Pris de curiosité, je m'accroupie à côté de lui, cherchant à écouter, avant de recevoir son épaule en plein dans ma visière ! Le temps que je vois de nouveau clair, il s'est jeté dans le canal depuis la fenêtre ! Ce qui devrait être impossible il ne pouvait même pas tenir debout à l'instant !?
Mon supérieur n'entend rien à rien, m'ordonnant de fouiller seul le canal jusqu'à trouver le corps. ça ne pouvait être que ces dernières forces, un sursaut de survie... il n'aurais pas pu nagé, si ?
[6 mois plus tard]
Le Carnaval Blanc ! Enfin ! ENFIN ! Le second carnaval durant lequel on jette toute la souillure qui infeste notre cité ! Prenez vos masques blanc, marchons ensemble, forcer la porte des repères des impurs, en envoyez-les sur la mer ! C'est une purge de toute les étrangées, et parfois plus.
Ce qui est justement parfait pour en finir ! Chaque sommeil je revis cette nuit sans lune, cette humiliation, et les mots... je ne parviens pas à les noter, les identifier... et je le revois, sauter, sur deux jambes, les jambes rouge sang et tordus, mais la chaire cicatrisé, chaque rêve les détails devenant plus clair.
Personne n'as trouvé le corps, mais durant les nuits sans lunes, je traque un boiteux, parfois par erreur, persuadé que c'est celui qui m'as échappé. Mais la brume, le noir, ils me joues des tours... mes camarades ont d'abord ris de me voir chasser les ombres, puis ont commencé à s'inquiété, me traitant de fou avec une obsession sur son échec.
Mais aujourd'hui, c'est fini ! J'ai pris 6 mois à préparer ce piège, j'ai graissé des pattes pour avoir les plus zélé des habitants, les convainquants que c'est un démon à purger de notre ville, et ses cachettes sont désormais réduite à un dernier paté de bâtiment. Un plan digne du Brillant Cerveau qui dirige notre ville ! Aujourd'hui, j'en termine.
[...]
Je regarde l'embarcation partir, me tenant sur la côte, un visage blanc sans traits parmis les autres. Nous l'avons volontairement envoyé dans la zone avec les courants qui vous projettent sur les récifs. Je regarde l'embarcation se cogner, se fracasser, et disparaitre sous une vague, pensif.
Cette nuit, je rêve d'aujourd'hui. Pas de doute, c'était bien le boiteux. Ces jambes était tordu, comme si l'on avait grossièrement recollé la fracture, et la cicatrice n'était plus fraiche, comme s'il avait était comme ça durant des ans.
Autre chose perturbant, il n'était pas... sain. J'entend, vous allez me dire que je l'ai déjà démonisé bien assez par ses actions. Mais ça... c'était... ça n'était juste pas normal. Je repasse en vue ses actions, mais je n'en comprend pas le forme, les intentions, c'est tout simplement... de la folie.
Et les mots... j'entend toujours les mots, par moment. Me glissant entre les doigts, me moquant de mon ignorance. Je dois... trouver d'où viennent ces mots.
... il me faut un navire. Je retire mon masque, prend un casque, et je marche droit vers les quais. Je suis bouscullé par la joie contagieuse des habitants, qui traine derrière eux des familles entières, ou soulève des ivrognes en groupe avant de les jeter comme des sacs sur les navires.
Puis ils me remarquent, ils reconnaissent l'armure et la tenue associé à la garde durant le carnaval blanc, leur donnant pose. Puis ils regardent mon casque. Ils hésitent. Mais ils savent ce qui doit être fait. Ils me saisissent et me jette à mon tour dans la cale d'un navire. Leur claimence, c'est l'un des navires officiels, qui fera route vers le continent.
N'oubliez jamais votre masque durant le Carnaval Blanc. Sinon, priez que l'on vous jette sur le bon navire pour échapper à l'océan.
Reynault Sans-Lune.
Présentation du joueur
J'me suis demandé pourquoi un creepy pasta as un serveur à son nom durant quelques divagations occulte.
Je crois percevoir une pointe de Cthulhu sur l'ambiance ? ça peux être drôle.
Enfin faut que mon personnage y survive mais ça sera pas le premier qui crève pour laisser place au suivant avec ce genre de jeu.