Ce n’est pas le premier §gSACRIFICE§r dont §gTAIGEN§r est témoin; il réalise tout juste qu’ils s’accumuleront sûrement. Le monologue de leur chef prend sens en ce fait. Tous confrontent les conséquences de leur choix. Une larme §gDISCRÈTE§r lacère son visage. Tout semble le frapper d’un §gCOUP§r. Les cadavres qui gisent devant lui sont ceux §gd’AMIS§r qu’il aurait aimé connaître au-delà de cette quête. Il se pensait capable de les mener sans §gTRAGÉDIE§r. Il s’était pensé capable de les sauver tous. Il le sait pourtant. Il a déclamé tellement de fois qu’il n’est pas un §gHÉROS§r. Car ce sont ses proches qu’il s’évertue à protéger. Pas un monde, pas un pays, pas une cause. Seulement ces deux corps, qu’il rejoint en quelques enjambés. Il s’accroupit devant eux et ferme leurs§g YEUX§r. Le rideau est abattu d’un geste tendre. ❝ .. A plus tard. ❞ §gTAIGEN§r est responsable de cette petite escouade. Alors, sa §gPEINE§r n’a aucune importance. Il n’y a que des coeurs meurtris, ici. Ses pleurs ont mieux à faire que d'arracher le silence - car son corps, résigné, portera leurs cadavres inanimés. Malgré tout, pourtant; §gTAIGEN§r se sent fou. De rage, de colère, de résignation, de tristesse, d’un mélimélo d’émotions qui caractérisent son §gDEUIL§r anticipé. Sa carcasse bouge toute seule. Il tourne le dos au reste du groupe; sa silhouette semble §gIMPERTURBABLE§r; Pourtant, ses jointures se contractent pour agripper leur peau froide. Le geste ne suffit pas empêcher les larmes de couler. §gTAIGEN§r ne les connaissait pas tellement. Peut-être que c’est ce qui rend sa peine si douloureuse à contrôler. Ses murmures embrasent sa gorge nouée. ❝ Putain... vous deviez pas mourir ici, vous deviez pas. On avait trop de trucs à vivre .. J’suis désolé. Quel con. ❞ ❝ J’suis désolé. ❞ Les mots adressés à l’oreille des §gMORTS§r sont puérils. Mais conviennent à§g L’ADOLESCENT§r qu’il est, en réalité.

ghostwriter de la mixtape de tolstoï letterboxd : platipouf