Je me nomme... En fait, on me surnomme Soulight ou Soul, plus... Rapide, et je ne mérite pas mon nom. Bref, je me nomme Soulight et je vais vous conter mon histoire. Vous vous attendez peut-être à ce que je vous raconte une enfance tant bien difficile, et bien non. Mon enfance était excellente, chouchouter par mes parents riches, je ne pouvais rêver mieux, et pourtant, je m'ennuyais. Quand j'étais à l'école, je restais plongé dans mes livres d'astronomie, et chez moi je regardais à travers le regarde-ciel de mes parents astronomes. Une vie paisible et aisée en outre, mais il y a toujours un obstacle quand on vit de cette manière. Mon père avait juré allégeance au roi, en contrepartie, il aurait les fonds nécessaire, pour l'étude des astres. Mais un contrat est un contrat. Des soldats sont venus chez nous, et ont emporté mon père vers la guerre, celle qui nous permettrais d'avoir le désert pour notre peuple seul. Je vis alors mon père disparaître peu a peu, marchant sur le sable chaud et poussiéreux, ma mère en pleure, moi empli d'admiration. Bien que ma mère pleurait, elle me répétait que notre famille était béni du don de la renaissance. Elle me disait que nous étions éternelle, que mon père était déjà mort dans le passé, revivant après une certaine période. Que seul moi était jeune, tandis qu’eux avait vécu plus d'une guerre, même s’il revivait elle pleurait, aucune logique, s'il revit pourquoi pleurer ? Il ne risque rien. Et pourtant il arriva quelque chose. On frappa à la porte de manière irrégulière et forte. C'était mon père, il se tenait debout, il était rentré, une armure sur les épaules, remplit de sang, sans blessure, ce n'est pas le sien. Il s’asseye sur son fauteuil en laine devant le bois qui brûlait, il ne bougeait plus, ne répondais plus, parfois on croirait qu'il ne respirait plus. Il avait parfois un sourire dérangeant, un regard haineux envers le feu. Il était rentré, mais il n'était pas là. On frappa à la porte de manière autoritaire et forte. Deux soldats nous sommants de quitter la maison, sur le champ, puis ils virent mon père et lui ordonnèrent de rejoindre le front, sous peine de récupérer le manoir. Mon père donna l'ordre a notre famille de quitter la maison. Avant de rendre la maison, je m'énervais sur mon père, qui avait osé quitter son poste, qu'il avait amené déshonneur a notre famille malgré son don.il s'approcha et me dit cette phrase «  j'ai peur comme tu auras peur », Je décidais de l'ignorer, et j'ai demandé au soldat de m'emmener à leur campement, j'ai pris tout l'argent possible, j'avais 16 ans. Arrivé au camp à la capitale, je partis m'acheter le meilleur maître d'armes de la cité, et j'en utilisais tout mon argent. Il s'appelait Rassiboko, Originaire du désert de Shiruma, le même que le mien. Il m'apprit d'abords a contrôlé mon corps, puis ma peur, puis l'envie. Il m'apprit à rester calme et à dompter l’instinct bestial Humain. Puis il m'apprit à manier la dague, l'épée et le bouclier, la grande épée, la hache, et il m'apprit l'arme qu devenu mon arme de prédilections, la lance. Il m'apprit à frapper, à donner des coups d'estoc, à esquiver, à parer, à tuer sans remords et sans regret. Au bout de trois ans, j'étais prêt, je maniais correctement chaque arme, même si je maniais parfaitement la lance, elle me permettait de se déplacer silencieusement, de la jeter ou d'attaquer au corps à corps, elle était rapide. Comme j'étais doué à la discrétion, à la fin de mon entraînement on me mit dans le service d'espionnage et des renseignements. On me confia ma première mission. Nous devions infiltrer une mine naine «  accusé » de fournir du fer et de l'acier de bonne qualité à nos ennemies. Malgré mes coéquipiers, par ma faute on se fit repérer, et des six que nous étions, seuls moi et deux autres ont survécu, j'ai cru que j’allais découvrir si les propos de ma mère était vrai. De retour à la base, non seulement on avait perdu des hommes, mais en plus nous avons tiré aucune information concernant la mine, comme punition, on me fit fouetter, et on m'ordonna de rejoindre le front. *un bout de papier vieux chiffonné et parfois déchiré est attachés sur cette partie du livre* « J'ai 21 ans, mais j'en parais 18, les hommes avec moi ont la trentaine et me regarde comme si j'avais 10 ans, je me demande pourquoi il me regarde ainsi. Je n'ai pas encore combattu, mais il me tarde d'essayer ma lance, le combat commencera le jour prochain. » J'étais crédule a l'époque, je pensais que l'honneur de ma famille reviendrai, ainsi qu'une certaine gloire, a nouveau de la fortune, et pourquoi pas une femme. Mais le combat fit rage. Je ne suis pas mort, mais j'ai tué plus de personnes que je n'avais d'années. à mon habitude je ne me faisais aucuns amis, je n'en voulais pas, mais des camarades qui tombait en cours de guerre, cela était courant, mais je tenais. Les combats continuaient, et je voulais montrer a tous que ma famille avait un nom a redorée, que l'honneur était présent, que je pouvais le faire. Je me fis un nom dans notre division, je n'étais pas le plus fort, mais on me fit convoquer moi et 4 autres hommes de ma division. On nous parla d'une promotions, d'une escouades discrète et meurtrières. Nous acceptons tous, nous n'aurions pas dû. Je me réveillais sans trop de souvenirs, dans ce qui semblait être une infirmerie, mais souterraine, un laboratoire. Je me réveillais avec un mal de crâne, le tortionnaire à ma gauche, mon chef de division à droite. Il me donna un miroir sans rien dire, je compris ce que le tortionnaire me fit, je compris pourquoi j'avais mal au crâne, je ne compris pas pourquoi cela m'arrivait. Un homme entra dans la salle, et me dit que j'étais fin prêt. Je faisais partis de la nouvelle escouade, mon nom disparus alors, je n'étais plus personne, on me donna une plaque avec marqué «Jakriar le Jaune ». J'étais devenu Jakriar le Jaune, Jakriar le tueur, Jakriar le Chimère-Lancier, Jakriar L'ocelot. Mon nouveau chef était l'unique Homme-Gorille de l'escouade, nous étions pas mal d'Homme-Ocelot, il y avait des Hommes-Loup, des Hommes-Tigre, des Hommes-Ours. Et pour la première fois, je me fis un ami, un Homme ours du nom de Berit'Imber. Il m'expliqua qu'il faisait partis d'une tribu qui protégeais la nature, et qu'il refusais de faire souffrir, qu'il était en mission contre cette guerre. Mais on devait quand même faire nos missions. Nous étions les meilleurs, nous attaquions sur les flancs pendant les rixes, nous faisions des raids sur les forts ennemis, nous sabotions des endroits stratégique, nous étions ceux qui étaient les plus en danger, mais nous étions les plus dangereux. Même si je faisais toutes ces missions, cette moité de crâne qui n'était pas à moi, et ces griffes me rendait fous. Je mis ma haine dans chaque coup que je faisais, dans chaque corps que je transperçais, dans chaque âme que je tuais. Nous perdions quand même la guerre, car non seulement presque aucune stratégie n'était élaboré par notre roi et sa cour, mais en plus nous étions les ennemis de trois royaumes différents. Le roi était dit-on arrogant, et du fait que les batailles se perdaient, toutes l'escouade était dissoute, nous formions désormais, la défense de notre roi, sa garde personnelle. J'étais donc garde, auprès de notre roi, de ce roi, plutôt de ce fou. Il est jeune, vaniteux, gros, avec ses bouclettes blondes il décide de qui vivra ou mourra, c'est un être qui pense avoir les pleins pouvoirs, il les a, mais il pense avoir les pouvoirs humains, celui de décider la vie ou la mort. Il est narcissique, et sadique, chaque exécutions « royale » se faisait devant lui, et par conséquent devant nous... A l'époque j'aimais se roi, il me ressemblais quand je m'étais perdus, par la douleur de ma tête. Heureusement que cette fois ci, j'avais un ami. Il me parla de sa tribu et de ses coutumes. Il me dit que personne n'avait de nom par chez lui, et que tout était résumé dans le surnom. Lors d'une bataille, j'étais pour une fois lucide, et j'ai protéger un ennemie qui s'était rendu, il me dit alors que j'avais l'âme pure malgré ma façade amoché, et je le regardait avec mon sourire dément. En étant garde, nous étions l'un a côté de l'autre, et il me parla de mon surnom qui devait être « Soulight » il me dit que je devais être le sauveur de cette guerre, que je devais amener lumière et pureté, mais je le regardais de mon air fou. Il me le répéta jour après jour, seulement, un jour, la ville, la capitale, fut la cible d'un siège ennemie. Le roi pensait que les murailles tiendraient bon, s'était sans compter sur le travail des sapeurs ennemis. Le roi riait, se disant Immortel, voir Remortel. Personnes ne comprirent ses paroles, mais moi, elles m’interpellaient. Comme les paroles de ma mère, mais un être comme lui aurait pu être béni par un don si précieux ? Jamais je ne suis mort et je ne sais pas si cela existe mais donner ce pouvoir a un fou ? J'étais moi même devenu fou quand on regarde de plus près. Au fur et à mesure des jours, le siège se faisait sentir, le manque d'eau et de nourriture était affreux, enfin, sauf pour le roi qui grossissait, on aurait pu nourrir toute la population avec une de ses cuisses. Mais Berit'Imber me dit qu'il était temps, que le moment était venu pour moi de guider les autres. Je ne le regardais qu'à travers mes yeux assoiffé de sang, puis il prit mon épée, et se mit devant le roi. Étant de la garde, tout le monde pensait qu'il s'agissait d'un rapport, puis il se mit a crier une phrase accusant le roi d'être un parasite, un genre d'ordure qui ne s’intéressait pas à son peuple, un roi fou qui entraîna la perte du royaume. Il enfonça avec ces dernières paroles, mon épée dans son gosier, sans laisser le temps au roi de répondre, tout les gardes se jetèrent dessus... y compris moi. Berit'Imber avait laissé un mot dans lequel il explique que je devrais trouver ma voie, et que sa mort ne devais changer en rien mon avis. Je le trouvait dans ma chambre de fonction pendant que j'y rangeais mes affaire, afin de retrouver mon chez moi, puis je me vis dans le miroir, avec mon visage, et se sourire sadique et violent, avec une envie de sang. Peut être était-ce cela la peur de mon père, la peur de devenir un monstre, pas physiquement, mais d'avoir ce regards la. Je me suis dis qu'il ne fallait pas que je revois ma famille, que je ne méritais pas le nom que mon père avait porté, il avait peur de ce que je suis devenu désormais. Je garderais Soulight en hommage a mon ami. Jakriar était mort, Soulight était né. Je fuis la ville pour éviter de me faire juger coupable par les ennemies, et puis je disparus après ces trente longues années de guerre. J'avais51 ans, avec une apparence d'un homme de la trentaine. Et puis je me suis mis a errer de ville en ville, avec l'arme qui a tué le roi. J’errais me questionnant qui du roi qui ordonne, ou du soldat qui aime tuer est le fou ? Je n'avais aucun but, j’errais dans les villes du désert, avec pour seule tenue un pantalon de soie noir, et un turban noir de deuil. Puis un jour, je trouva un vieux livre, il parlait d'un ordre, un ordre qui étudiait une entité, un mythe, une créature coupable de se monde, dans ce livre il parlait de la remortalité, et pour vérifier les dires de ma mère, je pris l'épée, et de mon rire sardonique je me la planta dans le ventre. Qui étais-je ? Où étais-je ? Pourquoi étais-je ici ? Pourquoi je me sentais flotter ? Je me réveilla dans un endroit verdoyant, loin du désert, toujours habillé, mais sans livre, ni épée, ni ma lance. Je me suis mis a la recherche d'une ville. 40 années d’errance, de vol, de recherche, je retrouva la trace de ce fameux ordre. Il était situé sur une île nommé Sangha, après trois ans de recherche, je trouva cette île, elle était peuplé de beaucoup de personnes, toutes différentes, des semblables a ma blessure de guerre, des personnes au visage noir, ou des personnes sans visage. Peut être qu'ici je pourrais étudier le don que j'ai, celui de la remortalité, peut être que j'y trouverais une faille, et peut être que je trouverais enfin ma mort qui permettras ma rédemptions. Je suis Soulight, Profane de l'ordre, et je revis pour mieux mourir.

Salut ! Je me nomme... en fait je le dirais pas... coment ça je copie Soul ?... Bref, j'ai 17 ans et je vis en normandie..oui dans la campagne! Je joue a minecraft depuis la ...1.5.2_01bêta et je continue d'y jouer..même si je joue(ais) plus a Lol.. mais grace a Hérobrine.fr je lâche un peu Lol HRPment je suis con chiant énervant et tout adjectif se ralliant a être casse-C... Je suis aussi curieux et..c'est tout Pour me contactez y'as quatre moyens me MP sur HB;fr directement Skype:Soulight123 Gmail: mickamoi63@gmail.com Tel: Me MP dabord S'il vous plais ^_^' ----------------------------------- Mon perso on va commencer par les traits physique. -Il à les cheveux gris -Une carrure plutôt imposante en vu de son passé -a une moitié de crâne Ocelot -a les dents qui dépasse de ses babines -il parait avoir 40 voir 45 ans Et enfin les trais psychique -Parait mélancolique les jours de neige, -essaye d'aider les autres quand il est de bonne humeur -ne cherche plus a avoir d'amis n'en n'ayant plus ----------------------------------- Je crois que c'est tout, Bref, on se voit IG et en attendant, Bonne chance ! ----------------------------------- Voila plus d'un an que je suis ici, j'ai fêté mes deux annivs avec HB.fr, J'avais 16 ans quand j'ai fais cette première description, et là j'en ai 18 ! Du coup quelques changements s'imposent ! Physiquement Soul n'est plus une chimère, il garde cependant une carrure imposante malgré son visage de quinquagénaire. Psychologiquement, Soul est de plus agressifs, plusieurs causent RP et à savoir RP. Bien, qu'on se revoit IG alors ! tchousse ! ----------------------------------- Comme le temps passe vite ! Il est vrai que je fut absent pendant un LOOONG moment et je me dois de me justifier un peu, en fait, je devais pour des raisons HRP me retirer de HB pour un moment d'au moins un compte qui prenait de la place, et comme avec Soul j'étais plus qu'au point mort, je l'ai décapité. Mais me revoilà ! Aujourd'hui j'ai 19 balais, ça va bientôt faire 3 ans que je suis présent sur ce serveur, et je penses pas m'arrêter un jour ! sauf si on m'y contraint encore une fois ! On se revoit IG bande de fous ! ----------------------------------- Voilà des années que je n'avais pas touché à tout ceci ! Mes rerolls et moi, une histoire d'amour pour ce serveur ! Les gens ont souvent un avis tranchés me concernant mais c'est amusant de voir la réaction des gens. J'ai aujourd'hui 23 ans, ça fait 6 ans que je suis sur ce serveur, j'ai vue beaucoup de choses, ce serveur m'a vue grandir, et je l'ai vue grandir aussi, c'est une grande part de moi au final. Sans ce serveur j'aurais probablement pas autant aimé le RP, même si à part ici je n'en fais jamais héhéhé. Dans l'ère du discord, à l'aube de l'humanité, si vous voulez me parlez, je suis Personne ! Personne#9200