Zaer n'est autre qu'un chasseur de 24 ans. Chasseur de père en fils, il n'a pas peur de se salir les mains pour ramener de la nourriture à la maison. Le jeune homme est châtain clair est a un physique de nordique assez banal. Un mètre et on ne sait combien de centimètres (disons soixante-dix-neuf) pour environ 80 kilos (bien sûr, nous comptons les muscles dans ce poids). Né dans des terres reculées, le 10 avril, il vit aux côtés de son père et de sa mère. Sa famille et lui ne vivant pas réellement en bordure d'une grande ville, ils durent se résoudre à revenir aux bases : la chasse. Enfant de chasseur, Zaer ne pouvait que reprendre le métier de son père. Et c'est donc avec joie que son père lui enseigna au fil du temps, peu à peu qu'il grandissait, l'art de la chasse. Il lui enseigna tout d'abord à résister au froid. Le jeune homme âgé de seulement 12 ans devait faire de son mieux pour résister au froid. Dès qu'il ne pouvait plus tenir, il rentrait à l'intérieur de la maison en bois chauffée par le bois que son père allait couper. Ils vivaient tout trois dans une maisonnette en bois qui donnait un sentiment de fragilité de l'extérieur. Pour en revenir à la chasse, le père de Zaer expliquait à son fils comment comprendre l'environnement. Il lui indiqua minutieusement comment suivre à la trace les animaux, ainsi qu'a différencier les traces de pattes qu'ils laissaient derrière eux. Enfin, à la fin de ce long apprentissage, pour ses 15 ans, il lui fabriqua un arc. Le premier arc que reçu Zaer. Son père ne tarda pas, d'ailleurs, à lui apprendre comment le manier. L'entraînement commença sur des cibles fixes : des arbres. Son père accrochait des feuilles à ces derniers et le jeune homme devait tirer dedans. Puis arriva les cibles mouvantes : lapins et autres animaux qui pullulaient dans la forêt adjacente. Au fil du temps, le jeune homme apprenait et s'en tirait de mieux en mieux. Sa mère qui avait quelques connaissances en lettres, lui appris quelques bases de l'écriture. Le jeune homme n'était cependant pas une lumière pour ce qui est de l'écriture, mais arrivait assez bien à lire. La dernière chose que lui a transmise sa mère fût son goût pour la musique. Joueuse de flûte, elle n'hésitait pas à lui souffler quelques notes pour le border avant que le sommeil n'atteigne ses paupières. Cette femme semblait souvent fatiguée, prenant soin malgré tout de son fils, le chérissant et veillant à ce qu'il aille bien au quotidien. Zaer a reçu une éducation plutôt moyenne. Ni trop insuffisante pour survivre, ni trop suffisante pour se contenter de se laisser porter par ses connaissances. Il décida un jour, après avoir parlé à ses parents, de partir de la maison. Le jeune homme souhaitait découvrir d'autres terres que la sienne. Il souhaitait voir le monde par ses propres yeux.. Et il désirait plus que tout être libre. C'est avec beaucoup d'émotions qu'un beau jour, il quitta sa famille pour vivre ce qu'il appelait son "rêve". Chassant les loups des landes, le jeune homme a développé une capacité à survivre en milieu hostile assez intéressante. Il se nourrissait et vivait avec ce que la nature lui donnait. En développant cette capacité à survivre, il avait tout naturellement développé une capacité à prédire la météo, ce qui lui était d'une grande utilité pour la chasse et pour se protéger de certains climats peu appréciés. Mais le froid ne lui faisait pas peur car il était souvent témoin du vent. Et le vent rappelait souvent à Zaer les douces notes de la flûte de sa mère. Il lui permettait de s'endormir en étant apaisé. Oui, Zaer n'avait pas peur de vivre cette aventure. Il ne connait cependant rien de l'amour et se gratte l'arrière du crâne quand il est gêné. Mais il n'était pas forcément le mieux placé pour la faire car, Zaer n'a jamais vu que ses parents durant ses 19 premières années. Et il ne savait pas à quoi s'attendre dans le monde qui l'entourait. En réalité, Zaer est un garçon qui a du mal à parler aux gens. Il est très renfermé et est assez froid, comme le climat de son pays. C'est une carapace pour mieux le protéger de l'extérieur qui lui est totalement inconnu.

En attente.