Histoire du personnage
Kusuriuri est un Elferydes de 40 ans originaire de la contrée d’Uldreiyn Il a la peau grise caractéristique de son espèce quoique d’un ton plus claire que ses congénères. Il est de corpulence normale et est plutôt grand pour son espèce puisqu’il mesure 198 centimètres. Il a des oreilles pointues vierges de toute parure ainsi que des yeux en amandes d’une couleure bleue cyan rappelant la couleure singulière du ciel et des pupilles noires comme les nuits les plus sombres. Il a une longue chevelure blonde avec une teinte grise, ondulante et sèche. Ses cheveux ainsi que le haut de sa tête sont protégés par un bandana violet qui lui sert à se protéger de l’intensité du soleil dans son périple. Il arbore des ce qui ressemble à des tatouages qui délimitent ses yeux par des marques rouges et qui, en dessous de ses yeux forment des apparences de larmes. Il semble qu’il sourit toujours, mais c’est en fait à cause une marque pourpre sur sa lèvre supérieure.
Histoire :
Cet Elferyde est née dans la saison des Eaux-Dansantes au mois de Lunatia un Joviah, dans le royaume d’Uldreiyn. Il vu le jour dans le village de Mardil jumeau de la cité de Nambra. Ses parents étaient deux modestes agriculteurs qui vivaient au biais de leurs récoltes. Ils cultivaient des rendil, un légume bleue foncé avec un goût subtile, sucré et délicat mais dont la culture demande des précautions et un travail important. Le jeune Elferyde grandit donc au pied de la capitale sans ni la connaître, ni bien comprendre son fonctionnement malgré le défilement incessant de voitures et de carrioles devant sa maison en direction des portes de Nambra. Les journées de ses parents étaient monopolisés par le travail colossale des champs et ne portaient guère attention à leur enfant. Au fur et à mesure des septiel l’Elferyde se rendit compte de ce délaissement, et, dans l'insouciance de la jeunesse, du haut de ses 13 ans il décida de partir de sa maison pour visiter cette endroit ou tout le monde se rend sans qu’il ne sache pourquoi. Il parti donc, une après midi, en direction de Nambra. Ce ne fut pas pour lui un long périple puisque cela lui pris un quart d’horyel. A l’approche des grandes portes de l’entrée de la citée ainsi qu’à l’intensification des sentinelles de la citée, il se colla à la carriole d’un marchand et réussi à rentrer dans la citée. Il fut ébahis par l’immensité de cette ville. Malgré les quelques voyages qu’il a pu faire avec ses parents vers les autres villages pour vendre leurs récoltes, jamais il n’avait vu une si grande démesure. Les bâtiments de bois blanc comme les nuages, ces fontaines de pierre taillé aux motifs si détaillés, ces arches de pierres immense ainsi que la minutie apporté à chaque détail des ouvrages, le nombre incroyable d’Elferyde dans les rues, il fut époustouflé. Il visita un marché où des odeurs d’épices et de toute sortes de légumes qu’il n’avait jamais vu s'entremêler. Dans la découverte de ce paradis, il en oublia presque l’heure et se hâtait de rentrer chez lui. Durant plusieurs cyclames, septiels, mois il y retourna toujours avec la même excitation et fini par connaître presque par coeur la citée. Il jalousait un peu ses semblables nées dans la citée et ayant accès à une éducation. Au cours de ses balades il rencontra un autre Elferyde de son âge,Vanyar, née dans Nambra et suivant une éducation. Il lui apprit quelques connaissances élémentaire d’éducation et le fit entrer secrètement chez lui pour lui apprendre l’art du piano. Notre Elferyde était plutôt débrouillard et habile de ses doigts mais grondé de ne pas en avoir un chez lui. Il était hors de question que ses parents puisses acheter un objet aussi chère qu’un piano. Le jeune Elferyde avait maintenant 20 années, il était très attaché à son royaume, à ses cultures et sa vie ou il aidé ses parents, maintenant de plus en plus fatigués à travailler. Il pratiquait aussi la cuisine pour subvenir aux besoins de la famille. Mais alors que l’aube de sa 21ème année arrivait, des chuchotements dans la capitale se firent entendre. Dans les villages les plus éloignés d’Uldreiyn, les rivières s’asèchent, les champs pérrissent et la brume, habituelle dans la région, disparaît. Au fil des cyclames les bruits s'intensifier. La saison des Eaux-Dansantes est là, et la population qui passe devant devant sa maison s'amenuiser. Le marché de Nambra fini presque vide. Le mois de Lunatia n’est pas fini que déjà des Elferydes quittent le royaume. Le cours d’eau approvisionnant le champs de notre Elferyde se tarit, et ses 2 parents furent emmenés à la forêt de Kelgella par les Khidellis. Privé de nourriture et anéantis par la situation, il n’arrivait pas à croire qu’Uldreiyn puisse s’éteindre si brusquement après 6 génération de prospérité. Lentement la faim l'achevait, et il prit la décision de se rendre dans la Forêt des âmes pour accéder à sa dernière demeure.
Après un cylcame de marche à travers une contré dévasté, difficile à cause des courbatures et des fréquents arrêts que lui imposait sons estomac, il arrive enfin à la forêt de Kelgella et, exténué, s’écroule devant un arbre, sans qu’il puisse lutter, ses yeux se ferment.
Il rouvrit les yeux et reconnut immédiatement la forêt où il c’était écroulé, persuadé d’être mort. Il faisait nuit, et il n’avait aucune idée du temps qu’il a passé dans cet état.
Il ne sentait plus la faim qui lui tiraillait le ventre. Il se leva, et tourna autour de lui dans un incompréhension totale. Il ne comprit pas pourquoi la mort n’a pas voulu l’accepter ni pourquoi la faim ne le pourchasse plus. Il décida d’emprunter la continuité de la route principale de son royaume, et de sortir d’ Uldreiyn. Il marcha pendant des septiel malgré les douleurs de ses jambes et de son corps mais surtout de son esprit. Etrangement, il ne ressentait plus rien. Ces cheveux autrefois de jaune éclatant se sont blanchis, surement dû à la canitie. Au bout de longs septiels, au détours d’un chemin ombragé d’une forêt, il croisa une personne au physique d’Elferyde mais un détail clochait, il avait une peau blanche pâle, des oreilles pointues et des yeux bleus clairs. Il a les cheveux blonds qu’il garde à l’intérieur de son bandana violet, en gardant une bonne partie accrochée sur les côtés de son visage dans des glands. L’extérieur de ses yeux est délimité par des marques rouges avec celles en dessous formant des larmes. Il porte une marque pourpre sur la lèvre supérieure. Il semble aussi posséder une paire de canines et porte un grand sac en bois remplie de tiroire.
Ce mystérieux se présent à lui comme un simple apothicaire. Il possède, accroché à sa ceinture un katana étrange fermé dans son fourreau. Il dévisage alors notre Elferyde et le regarde regarde avec un regard qui donne l’impression qu’il observe au plus profond de lui. Il s’arrête sur le bord du chemin, s’assoit sur un petit rocher et invite notre exilé à s'asseoir à son tours. L'apothicaire demande alors à son interlocuteur de raconter son histoire ce qu’il fit avec indifférence. Une fois que l’Elferyde a terminé l'apothicaire ouvrit un tiroire de son grand sac et sortit un paquet contenant une mystérieuse poudre jaunâtre. Il insistait pour que le jeune Elferyde l’ingère, ce qu’il fit sans un once d’expression. En un instant, le regard de celui-ci s'illumina comme il ne l’avait pas fait depuis longtemps. Au même moment l’apothicaire se leva, dégaina son étrange katana et pourfendit une étrange forme noire que l’Elferyde aperçus un instant dans son dos. Sans rien y comprendre il était subjugué par la vie qu’il retrouvait, toutes ces émotions qu’il n’avait plus senti depuis si longtemps et qui jaillissent en un instant dans son corps. Après un moment d’incompréhension, l'apothicaire explique alors qu’il vient de pourfendre un démon, qu’avec ce qu’il lui avait raconté, il a pu trouvé la forme, la vérité et le regret ce qui lui a permis de tuer le démon dans l’âme. L’Elferyde ne comprit pas l’histoire de l'apothicaire mais, bien obligé de constater qu'il était totalement libéré, il décida de suivre l’apothicaire et lui demanda de lui apprendre à soigner les autres. Durant plusieurs années, l’Elferyde suivit l’apothicaire et appris les rudiments du soin d’une âme. Un jour l'apothicaire lui donna le nom de Kusuriuri, lui fit des marques similaires aux siennes, sortit une boîte noire contenant un katana et lui donna son bandana ainsi qu’un sac d’apothicaire puis le quitta, sans rien lui dire en lui donnant la direction d’un Marais où il devait se rendre. Kusuriuri ne comprenait pas la décision de l’apothicaire mais n’eu pas d’autre choix que de s'exécuter suite au départ de celui-ci. Il prit donc la route et se rendit au Marais de Lustor. Il passa quelques années dans un petit village perdues dans ces marécages. Il y apprit ces spécificités ainsi que ces dangers et apporta une aide à certaines âmes et corps tourmentés des habitants de ces marécages grâce aux enseignements de son ancien mentor. Après beaucoups de réflexions, Kusuriuri pense être assez prêt pour pouvoir continuer son long voyage dont le but et de soigner et d'apaiser les âmes et les esprits tourmentés de ce monde. Ayant l’habitude de laisser traîner ses oreilles dans les tavernes, il entendit parler d’une légende d’êtres incapables de mourir, ayant vécu une expérience similaire, il se rend à La cité, une ville dont il a entendu siffler le nom entre deux ragots dans la taverne du gosier fumant. Il prend son sac, ses remèdes, quitte le marécage de Lustor et prend route vers La cité, à la recherche de réponse à ses questions et de réussite à son objectif.
Présentation du joueur
En attente.