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  • Profane kvaisen

  • “Aucune origine n'est belle. La beauté véritable est au terme des choses."
    "En naissant, nous mourons, et la fin dépend de l'origine.”

  • Fonction

    Profane

    Race

    Onyx

    Sexe

    Masculin

  • Ampoule alluméeAmpoule allumée
  • Réput. HRP

    Présence

    37 heures

    Réput. RP

  • Histoire du personnage

    Il émergea d'un sommeil profond, fixant le plafond en bois de la bâtisse où il résidait avec quelques autres membres de son espèce. Puis il céda au pressions de ses congénères et sorti de du chalet pour tanner du cuir fraîchement extrait d'une carcasse de bovin exécuté le matin même par des fermiers du village au pied de la pente raide où était perché la chaumière de ces êtres mystérieux. Tous les mardis matins, les éleveurs du village effectuaient une ascension de plusieurs heures le long de la montagne, et cette montée était composée d'autant de marches qu'un sapin a d'épines. Presque au sommet de la montagne, les humains y rencontraient un groupe de créatures à la peau aussi noir que celle des vaches dont ils emmenaient la peau. C'est ainsi que chaque semaine une procession de fermiers venaient déposer de la peau ou de la laine et récupérer du cuir ou du tissu. Kvaisen observait les Humains arriver à bout de souffle au sommet de l’immense escalier et se demandait toujours comment fonctionnait de tels créatures. Pour nourrir sa soif de savoir, il avait à disposition des livres qui étaient parfois donnés comme une sorte de rémunération par les villageois. Et ainsi il avait appris que la chose difforme qu’ils avaient au milieu du visage s’appelait “nez” et leur servait à respirer. Il vivait une vie paisible et tranquille mais au fur et à mesure qu’il travaillait le cuir et lisait des livres, il se posait de plus en plus de question. Sur les êtres vivants ou non, dotés d’intelligence ou non, et il remit en question tout ce qu’il faisait jusqu’à maintenant et essayait d’y trouver un sens. C’était un soir de d’automne, la pluie et l’orage jouaient une mélodie contre le toît de son habitation, Kvaisen était de nouveau parti dans la lecture d’un livre expliquant les coutumes humaine, quand il resta bloqué sur plusieurs mot : “Naissance”, “Parents”, “Origines”, il les retenus dans le but d’en demander la signification à ses congénères. Le lendemain, il ne reçut pour réponse que des regards emplis d’amusement et une explication rudimentaire : “Les humains naissent grâce à deux parents de sexe opposés, leur origine est l’histoire de leurs ancêtres”. Kvaisen leur demanda alors, “Et nous, quels sont nos Origines ?”. Les regards emplis d’amusement changèrent en pitié, “Nous ne savons pas. Et nous cherchons pas à le savoir, nous sommes très bien ici.” Cette déclaration fit comme un choc pour Kvaisen, il avait l’impression d’être incomplet, il se comparait aux humains, il se remémorait tous les mots qu’il avait lù dans ses livres, “Enfant”, “Amour”, “Mère”, “Père”. Et il cherchait un sens à tous ces mots mais ne le trouvait pas. Quelques jours plus tard, il était constamment troublé, beaucoup moins efficace au tannage de cuir et au filage de laine, et il faisait de plus en plus d’erreur, il cherchait activement dans sa tête un sens à sa vie, à LA vie. Après de nouveau plusieurs jours de réflexions intenses, il décida de quitter sa vie dure mais paisible pour la troquée avec une vie remplie de doute et d’incertitudes. Mais il avait fait un choix, il partirait aussi loin que ses jambes le lui permettent pour aller découvrir ses origines. Il laissa un mot sur la table de la pièce commune et partit dans une nuit glacée où le vent faisait virevolter sa cape. C’est ainsi qu’il découvrit son premier point faible, le froid. Puis Kvaisen voyageait de ville en ville à la recherche d’indice sur son passé, et c’est généralement dans les tavernes qu’il apprenait le plus d’informations. Dans une taverne portuaire, il découvrit la première information sur son espèce, et une information d’une valeure inestimable à ses yeux : il viendrait d’une planète où le ciel serait serti de trois soleils. Cela peut paraître vague et peu, mais cela avait suffit à insuffler assez de courage à Kvaisen pour qu’il continue ses recherches, c’est ainsi qu’il embarqua pour la première fois sur un bateau. La traversée fut désastreuse pour lui, il savait au moins qu’il partageait un système digestif similaire aux humains car il faillit régurgiter son déjeuner à deux reprises, il découvrit sa deuxième faille : le mal de mer. Mais son voyage avec des marins lui apprit aussi qu’il était dénué de quelque chose que les autres espèces appelait Humour, ou même second degré, et les tentatives d’explication de ces concept de la part des marins furent infructueuses. Et c’est à la ville d’arrivé que Kvaisen eut la dernière information précieuse à ce jour. Comme à son habitude, il trouva la taverne la plus proche s’y installa pour glaner quelques informations, et c’est en discutant avec un vieil aventurier qu’il a entendu pour la première fois parler de l’Ordre, pendant que des habitués de la taverne se moquait du vieil homme le traitant de sénile, il racontait la légende de l’Ordre, des individus incapable de mourir et ayant un savoir insondable sur tout ce qui compose le monde, Kvaisen buvait ses paroles et pas une seule seconde il n’en douta, il remarquait dans la voix de l’aventurier, la vérité d’un homme convaincu de ce qu’il dit. Dès lors que l’aventurier eut finit son récit, Kvaisen lui paya le repas et se précipita à la recherche de ces mystérieux pylônes.

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