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  • Profane Faryss

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  • Fonction

    Profane

    Race

    Humain

    Sexe

    Indéterminé

  • Ampoule alluméeAmpoule allumée
  • Réput. HRP

    Présence

    2 heures

    Réput. RP

  • Histoire du personnage

    "Faryss Qaveus, né le troisième jour de Solame, 27 ans, c'est bien vous?" La général possédait une armure en cuir. Faryss avait beau relativement grand, il était dépassé par la stature titanesque de l'homme balafré. "Oui, m'sieur, c'est bien moi." Le général pointa le fond de la salle où les autres miliciens se trouvaient. Faryss s'y rendit et tenta de se calmer. Comment avait-il pu arriver dans une telle situation? Comment son pays avait-il pu devenir si horriblement déchiré par une guerre qui ne semblait jamais finir? Dans les terres de Vadoris, il existait trois pays. Unarin, Vaziciel et Naramet. Unarin et Naramet se trouvaient de chaque coté de Vaziciel. Vaziciel était un royaume prospère et riche, centre névralgique des échanges internationaux et maison des plus grands aristocrates. Unarin et Naramet, quand à eux, basaient leurs économies sur les échanges avec Vaziciel. Ils étaient des mineurs, des artisans, des forgerons et des fermiers. Lorsque Unarin découvrit un grand gisement d'or, leurs prix montèrent en flèche, et Vaziciel décida de conquérir le pays au lieu de payer les prix en hausse exponentielle. Par peur d'être à son tour assimilé, Naramet augmenta ses forces armées et décida de créer une milice. Tout les sujets majeurs et plus jeunes que 45 ans devront se battre dans l'éventualité d'une guerre contre l'empire de Vaziciel. Finalement, lors d'une erreur politique, la population de Vaziciel se révolta contre la méfiance des Narametiens et le chef des forces armées de Naramet fût assassiné. Cela créa des révoltes sans précédent de chaque coté de la frontière et dégénéra en guerre. L'empereur de Vaziciel fut peu après assassiné à son tour, probablement par Naramet qui profita ensuite du chaos en résultant pour prendre une partie du territoire Vazicielois. Maintenant, la milice allait se faire déployer pour augmenter les forces armées, et Faryss, qui vivait loin de sa famille et n'avait pas de femme, était certain de se faire recruter. Le général fit faire toutes sortes d'exercices à Faryss et les autres gens dans le camp militaire. Faryss, très peu habile à l'épée, devint donc archer. Il était loin d'être le meilleur, mais il n'était pas le pire non plus. Il n'eut néanmoins pas le temps d'apprendre à monter à cheval convenablement, puisque les Vazicielois ripostaient déjà après quelques septiels. Faryss fût installé derrière les barrières de bois faites à la va-vite pour le champ de bataille. Il se mit en position, tendant la corde de son arc renforcé de métal. Et attendit. Ils patientèrent tous pendant des heures, lances parées, boucliers en avant, certains tremblant de peur, certains pleurant et certains, comme Faryss, observant cette fumée s'approchant, avec elle un chant guerrier, annonçant l'arrivée de la bataille redoutée contre Vaziciel. Les arcs grinçaient, le bois se pliant sous la force des archers. les cliquetis de métal des armures devenaient moins omniprésents, alors que tout le monde cessait de bouger. Un moment interminable, qui fût soudainement rompu par le son du général qui soufflait dans la corne d'attaque. Le général beugla "Archers, relâchez!" Une volée de flèches vola vers les ennemis, qui se protégeaient comme ils pouvaient avec leurs boucliers de fer, engravés du cheval blanc représentant Vaziciel. Les combatants à l'épée se rencontrèrent alors. Peu de sang giclait, restant prisonnier de l'armure. Les miliciens frappaient avec le pommeau de leur épée, tel un marteau de guerre improvisé, plus efficace contre les lourdes armures de fer de l'ennemi. Faryss tirait flèche après flèche, dégouté par la vue de ces dernières aboutir dans le ventre des ennemis plus légers. Les ennemis gagnaient du terrain, c'était indéniable. Le général sonna la retraite. Tous prirent la fuite, se repliant du combat. Alors que Faryss sortit de derrière les barrières, il sentit une violente douleur à la cheville. Il s'étala au sol et regarda ses pieds pour apercevoir une flèche, enfoncée en plein dans son tendon d'Achille. Il rampa, cherchant à tâtons de quoi se relever, pris de panique. Il entendait les ennemis se rapprocher et ses alliés s'éloigner. Le hennissement des chevaux de Vaziciel se rapprochaient dangereusement. Faryss pleurait toutes les larmes de son corps, suppliant, priant à n'importe quelle entité pouvant régir ce monde. Il se retourna sur la dos, et vit un cheval, un immense cheval fonçant sur lui à pleine allure. Ses sabots écrasèrent son thorax le laissant sans souffle, crachant du sang. Ses côtes étaient écrasées, cassées de partout. Il ne pouvait plus respirer. Tout doucement, il ferma les yeux, pour ce qu'il croyait être la dernière fois. Un chemin, une noirceur, une chute, puis... "Le chemin de tes frères se trouve au bout du chemin. Suis les torches et reviens nous."

    Présentation du joueur

    Peut-être qu'un jour je vais révéler mon identité. (Ou pas)
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