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  • Apprenti Meharles

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    Apprenti

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    Humain

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  • Réput. HRP

    Présence

    Aucune heure

    Réput. RP

  • Histoire du personnage

    [Vous trouvez un petit papier entre deux livres, il est orné d'un petit ruban doré, vous le prenez dans vos mains avant de l'ouvrir, un sceau noir surplombe le texte, vous décidez d'abaisser vos yeux pour enfin lire.] -Le Grand Tableau- Acte n°1 / Scène n°1 On venait à peine de terminer l'audience que cette crapule de Bulker allumait son cigare comme pour manifester qu'il avait correctement joué son rôle alors qu'il était l'un des acteurs les plus médiocres que je n'avais jamais vus. J'apporte une palette de couleurs à notre Équipe et lui n'apporte qu'un fade trait de caractère c'est à en vomir tellement cela est décevant. Me revoilà encore à attendre à la sortie que le chapiteau se vide de toute la populace qu'il contenait. Comme à mon habitude je me tenais sur un poteau à quelques pas de la sortie, deux doigts sur la tempe, pourquoi cela ? J'avais soudainement un mal de crâne profond après la fin du passage de mes compagnons, sûrement Bulkër et son horrible tendance à courir dans tous les sens quand il doit jouer l'énervement de son fichu personnage. Même en étant fictif il pourrait causer des envies de meurtre à des gens celui-là. Un pauvre péon qui a perdu ses parents quand il était tout petit et insignifiant, ah n'ah il est toujours. Mais cessons de maudire cette pauvre âme perdue. Tout en pensant cela je relevai ma tête pour apercevoir que les derniers spectateurs sortaient et que j'allais enfin pouvoir poser ma question à mon Chef. Un énorme tas de graisse sans but, mais depuis un temps ma paie a bien baissé, ils nous disaient avec un air des moins rassurants, que sans nous donner de toute notre force sur scène nous n'aurions pas plus de chances de gagner notre salaire mérité. Cette fois, c'était complet, que va-t-il inventer encore ? Acte n°1 / Scène n°2 Alors que je pénètre dans la grande tente, il est là au milieu avec des sacs, en tissu à première vue, comptant son infâme trésor tel un pirate qui viendrait de piller un navire en le laissant couler. Et ce navire, c'est nous, moi et l'ensemble des acteurs. Mais soudainement une personne de petite taille vient me pousser accompagné de ses furieux camarades comme un meneur d’un possible mouvement de révolte dans cette petite boutique qu'est la nôtre. Victor en était le meneur de ce rassemblement qui se dirigeait vers notre Chef qui était bien trop occupé à compter son argent pour entendre la moindre chose. Je pris place sur les gradins tout en réfléchissant à la suite de ce magnifique numéro que j'avais sous les yeux, qu'allait-il se passer ? Comment cela se terminerait ? Finalement, le groupe entoura notre pauvre Patron, le fait que des ombres apparaissent la réveiller, bizarrement Victor attendit quelques secondes avant de prononcer des mots. Comme si ce pauvre il était coincé, par ailleurs, juste avant son passage il avait fait un coup de panique incontrôlable, criant qu'il avait oublié son texte et que cela ralentirait toute la pièce. Mais revenons à notre beau numéro, Victor ouvrit enfin ses lèvres : [V] : Espèce de sac à merde ! Tu gardais tout l'argent pour toi depuis le début, voilà pourquoi la paie avait diminué. Notre Patron se leva un poil ennuyé par la situation, on pouvait largement voir qu'il s'efforçait de sourire pour rassurer mes compagnons, mais même en étant inférieur à moins intellectuellement ils voyaient très bien le piège. [?] : Mes enfants, voyons, comment oserais-je vous faire un coup aussi bas ? Ce n'est pas dans mes habitudes. [V] : Ordure ! J'vais te faire payer ça ! J'applaudis à ces paroles, un tel humour dans cette situation c'est incroyablement drôle. Mais les hommes se tenant à l'arrière du groupe se retournèrent avant de me regarder un instant, sûrement à m'insulter dans leur petite tête étriquée. Il s'agissait là de Vaop & Klen, deux nouveaux qui supportaient toujours Bulkër dans ses actes comme si c'était un Dieu parmi nous, simples hommes du bas-Monde. Je me contentai d'afficher un grand sourire, avant de revenir sur la scène qui devenait spectaculaire sous mes perles d'un noir profond. Claudia & Maude tentaient tant bien que mal d'arrêter la charge de Victor qui est un colosse physiquement ce qui m'a toujours impressionné car c'est un bon acteur, intelligent, avec un excellent physique et les hystériques l'admirant sur scène hurlaient en le voyant dès qu'il grimpait une marche, mais je divague. [C] : Arrête Victor, ne fais pas ça ! [M] : Elle a raison, calme toi. [?] : Écoute Claudia & Maude, elles au moins prennent le temps de réfléchir et de ne pas foncer. J’éclatai de rire notre Chef n'était pas aussi bête que je me l'imaginais. Et cet éclat de rire fut de trop vu que Bulkër et ses chiens se dirigèrent instantanément vers moi pour me donner une correction sans doute. Il se racla la gorge face à moins laissant entendre qu'il allait me faire un coup dur, mais par quoi allait-il commencer c'était la question qui me trottait dans la tête. Bien sûr il est plus imposant que moi et je n'avais aucune chance de battre un mastodonte, retenez que dans un combat la Force ne vaut rien c'est plutôt avoir un coup d'avance sur votre adversaire, l'identifier, le connaître, jouer avec l'environnement, le sentir... Dans le cas de Bulkër c'est une mauvaise idée vu qu'il rejette un fumet ignoble de poisson. Cette pourriture m'empoigna par le col me soulevant des gradins poussiéreux où j'avais prit place précédemment. [V] : Défonce le Bulkër, il ne vaut rien face à toi. [K] : Écrase-lui le crâne contre les bancs ! Tandis que ces chiens beuglaient des remarques déplacées à mon égard je remarquai que le groupe qui s'occupait du patron semblait totalement désintéressé de la tragédie qui allait se produire sous leurs yeux. Bulkër prenait souvent son "pied" comme il le dit si bien à malmener les membres de notre petite Équipe et à jouer le tyran, je comprenais tout à fait leurs réactions. J'étais un personnage triste pour eux n'ayant que deux couleurs à sa palette : Le Blanc & le Noir. [B] *Me chuchote* : Je commence par quoi ? [M] : Te laver pardi, ton odeur infecte m'empêche de respirer convenablement, c'est d'une immondice insoutenable. Et ce visage que tu devrais astiquer plus souvent il n'est plus vierge de tous contacts comme la fille de notre vénérable Chef, on dirait un champ de bataille et je n'exagère rien avec ton nez crochu petit imprudent tu serais capable de prendre parti pour le Patron. À mes mots, notre brute perdit alors tout sens de la parole j'en profitai pour rassembler un peu de salive dans ma bouche, crachant par la suite au visage de cette bonne vieille crapule de Bulker pour lui rappeler qu'il ne me faisait nullement peur, il me lâcha d'un coup mais ayant anticipé sa réaction, qui est que ma salive le répugnerait, ce qui est d'ailleurs étrange pour un homme qui prend si peu soin de son corps. Je me rattrapai sur mes jambes, bien droit sans soucis. [B] : Ordure ! Viens là que je te-... [C] : MON DIEU ! NON ! Dommage, mon pauvre Bulkër la vraie action est ailleurs, que je me disais dans ma tête toujours avec mon habituel sourire arrogant. C'est Dame Claudia qui en venait à hurler, un geste sympathique me sortant de cette affolante bagarre mais pourquoi criait-elle, la pièce aurait avancé sans moi ? Je trépidais d'impatience sur les gradins ou j'avais reprit place à savoir la suite de notre histoire. Bulkër et ses gentils toutous jouèrent le rôle du rideau en s'en allant d'un mouvement drastique de ma vision, me laissant sur une scène de meurtre, je dévisageais les acteurs pour en connaître le coupable. Et entre une petite ouverture que me laissait voir Claudia & Maude qui monopolisait la scène, Victor était en train de pleurnicher une lame à sa gauche, un couteau qui avait servi à la précédente prestation, laissant une odeur que je n'avais pas encore sentie sur le sable de la scène. [B] : Bordel ! Qu'avez-vous fait ? [M] : C'est Victor, il ne sait toujours pas se contrôler. Cet idiot on voit bien que toi tu as toujours le meurtre dans l'âme, monstre que tu es ! [V] : Ferme-là ! Ou je te crève, pauvre catin ! Je reconnais que Victor avait perdu son calme. Mais la remarque de Maude étant bien déplacée je ne pouvais qu'être d'accord avec ce dernier. Le pauvre avait tué sa femme Clothilde lors d'une violente dispute qui a dégénéré, quant à Maude elle était la dirigeante d'un réseau de prostitution. Claudia était une voleuse expérimentée, Bulkër un voyou qui pillait des villages de paysans avec un petit groupe de mercenaires, Klen & Vaop des chiens errants qui marchaient sur le même chemin, des tueurs expérimentés en la matière et moi je débarquais fraîchement d'une formation de Théâtre dans mon École pour me retrouver avec la crasse de notre Bas-Monde. Le voilà notre tableau riche en couleurs, même si elle vire souvent au rouge et plutôt au noir pour ce qui est de Bulkër. [C] : Cessez vos disputes ! Nous devons trouver une solution. Claudia avait un grand respect, le calme se fit ressentir après ses doux mots. Personne ne semblait comprendre l'enjeu pourtant je me devais d'entrer en scène pour réveiller tout ce petit monde. [M] : Mes amis, allons, vous êtes tous recherchés et visiblement cela n'a pas empêché Victor de tuer l'escroc qui se servait de nous, je propose donc de fuir le danger qui vous guette. [B] : Les gars, occupez-vous de lui faire fermer sa gueule définitivement. [K] : J'y vais Bulk'. [V] : On va lui faire regretter de t'avoir souillé. À cet instant, j'allais enfin y goûter. Je n'avais eu que le temps dans ma vie de le jouer, non de le ressentir, des réflexions traversaient ma tête de toutes parts, pendant qu'ils s'approchaient de moi. [C] : Arrêtez ! Non, Claudia, continuons. Stoppée par le bras de notre Bulkër Claudia était la seule femme de notre groupe en qui j'avais un certain espoir depuis le temps où elle arriva dans notre Équipage. C'était un beau soir d'hiver, nous étions tous à geler dans la grande tente près du feu qu'avait mis en place notre Patron. Elle est arrivée comme une fleur dans une tenue de nuit qui réveilla les hormones de Bulkër, il voulait la serrer avec Klen, Vaop avait quant à lui un respect pour les femmes. Notre Escroc préféré leur a dit de dégager, et de la laisser nous compter pourquoi elle était ici ? Elle tenait entre ses mains un petit coffret en bois et quand elle ouvrit, un diamant était posé sur de la mousse rouge tapissée dans la boîte. Notre Chef, accepta bien sûr de l'héberger, c'est en voyant l'argent qu'il a dû accepter, croyez moi qu'il n'aurait jamais fait cela sinon. Que de bon souvenir alors que les féroces molosses s'avançaient en grognant vers moi, une rage combattive m'enveloppa comme un délicieux drap dont je ne pouvais me défaire. J'allais enfin trouver cette pièce qu'il me manquait. Vaop avait dégainé un petit poignard en fer, et vu la façon dont il le tenait je devais m'attendre à une attaque avec une courte portée. Tandis que Klen faisait d'étranges gestes pour tenter de m'impressionner, le ridicule l'aurait neutralisé en un claquement de doigt s’il avait une forme physique. [M] : C'est une bien grande erreur que vous faîtes là. [K] : La ferme ! Sale chien ! [M] : L'homme qui reste toujours près de son maître en haletant vient de prononcer des mots, pourtant les animaux ne parlent pas ? Klen ne produit qu'une courte onomatopée comme réponse tout en me chargeant le poing bouillonnant d'une colère noire. C'était là sa première et fatale erreur, j'eus le temps de récolter du sable dans ma main gauche, que j'écrasais sur le coup de l'énervement avant de le lancer aux yeux de la bête qui se plia en deux, me laissant la chance d'exécuter un mouvement bien placé dans le centre de sa poitrine à l'aide mon genou pour lui couper toutes envies de recommencer une charge barbare de la sorte. Mais Vaop, je l'avais bien oublié celui-là et alors que Klen se roulait sur le sol, il introduit la lame dans mon mollet droit, m'empêche de me mouvoir correctement. Il était à présent désarmé, il me suffisait d'un coup bien placé pour l'abattre, à cause de ma jambe je devais rester statique voilà le seul défaut que j'avais relevé. Vaop possédait un style de combat et de mouvements bien intéressant, il esquivait l'intégralité de mes coups, une idée finit par fleurir dans ma tête, une idée qui semblait bien stupide à première vue. J'ai alors fermé mes yeux et fait le vide dans ma tête, Vaop ricana un instant comme s’il avait une chance de gagner. Son corps était fragile car il était plutôt habitué à manier un arc, j'ai simplement encaissé son coup dirigé vers mon épaule, avant de lui rendre par un coup de tête en premier lieu lui faisant perdre l'équilibre à cet imbécile qui chuta sur le sol. Mon crâne avait bien souffert pendant ce court combat. Bulkër me tendit sa main comme une invitation que j’acceptai après un tel combat, il me sourit en me mettant une lourde tape dans le dos. [B] : T'es pas aussi faible que ça, Meharles, Ar'ar' ! Qu'il disait de sa voix grasse tout en sortant un autre cigare qu'il me tendit comme la trêve d'un combat, mais celle-ci semblait bien plus forte qu'un simple arrêt. Une amitié ? Peut être. Et en tournant mon regard je pouvais apercevoir que Victor avait repris ses esprits et m'observait avec un air doux. Tandis que Maude restait les mains devant ses yeux pour se cacher du spectacle que j'avais eu la gentillesse de lui offrir, Claudia abaissa ses mains tout en se dirigeant vers moi. J’avais alors le cigare de Bulkër en main. [C] : Idiot... Idiot... Tu n'es qu'un idiot. [M] : Tu me parlais avec un certain respect avant. [C] : Désolé, mais tous ces événements me brûlent de l'intérieur. [M] : Je te comprends bien. [C] : Ne joue pas à ça avec moi, et laisse-moi voir ta blessure. Et après une douleur vive et forte, des instants de petits cris, me voilà de nouveau à moitié sur pied. Klen & Vaop boitaient comme des idiots en revenant au chevet de leur maître, qui leur fit la morale. Victor nous expliqua à tous que nous allions nous enfuir de là en prenant la calèche du Patron. Acte n°2 / Scène n°1 C'est en pleine nuit alors que je ronflais dans la calèche en compagnie de Claudia qui était couché sur moi, je ne sais pour quelle raison d'ailleurs, qu'une odeur vient me perturber et je la reconnue. Dès que j'entrouvris les yeux, des flammes dansaient sur la bâche qui nous couvrait du noir qui avait envahi le ciel. Tout d'abord surpris par les flammes, je relevai la tête pour apercevoir que Claudia dormait sur moi sans m'en avoir demandé la permission. Je tapotai sur sa tête avec mon index et elle se réveilla par en premier un long bâillement, l'ouverture de ses yeux tombant sur moi qui la regardais un air agacé et elle comprit tout de suite. [C] : H'mf, je-... [M] : Le FEU ! Claudia pourrais-tu te réveiller ? Le camp brûle tout autour de nous et tu ne réagis pas ! [C] : Un feu, comment ça ? À droite puis à gauche, ses yeux dirigèrent leur éclat vers l'extérieur de la calèche se prolongeant dans les longues flammes qui entouraient tout le bazar. [V] : En avant ! [C] : Victor ? Mais que fait-il ? [M] : Claudia... Et c'était effectivement Victor qui se dirigeait vers nous accompagner des autres, un vrai meneur celui-là, mais j'avais la tête ailleurs, hors de l'action des flammes j'entends, je tentais d'ailleurs de le communiquer à Claudia mais elle ne remarquait rien. [V] : Je prends la place à l'avant tout le reste à l'arrière. [C] : Mais que se passe-t-il enfin ? [M] : Claudia... [B] : Tout le monde à l'intérieur, vite ! [M] : Claudia, tu pourrais t'écarter de moi s'il te plaît ? Les autres avaient prit place dans la calèche alors que j'énonçais mes mots, Vaop & Klen rigolèrent en essayant d'être discret mais je les avais vus ces deux corniauds. [C] : Oh et toi, je venais juste regarder si tu allais bien et j'ai dû m'endormir, rien de plus. [M] : Je n'y crois pas. [Ma] : Bon, taisez-vous Victor doit prendre la parole vous reprendrez vos querelles après. Impossible, Victor avait donc besoin de quelqu'un pour apposer sa douce et délicieuse voix ? [V] : J'ai mis le feu au camp, et le corps du Chef est resté là-bas pour faire croire à un accident, pendant que nous prenons la fuite. Je connais un bon endroit où nous serons acceptés. Acte n°2 / Scène n°2 Quel plan farfelu et fait à la dernière minute il est vrai, on dirait presque qu'il voulait brûler la toile que nous avions érigés. Le reste de notre chemin fut comblé par des rencontres exotiques, des rires, des la joie, de la colère, des pleurs enfin tout ce qui forme de nous des humains. Arrivé sur une route où je pouvais apercevoir un rocher géant voler dans le coin du Ciel, qui suscita l'excitation de mes camarades. [V] : Ce n'est pas ici, mes amis mais non loin de là. [M] : Un instant, j'aimerais explorer cette île. [C] : Quoi ?! [B] : Bonne chance gamin, A'r, A'r. [V] : Bien, si cela est ta volonté. Tu peux y aller camarade Meharles. [V] : Et reviens nous voir que je me venge. [K] : On t'oubliera pas. [Ma] : Tu ne vas pas laisser Claudia toute seule. Je descendais tranquillement de la calèche jusque-là, cette phrase me froissa au plus profond de mon être et j'ai aligné les premiers mots qui entrèrent dans ma tête. [M] : Elle ne m'a jamais intéressé. Claudia s'écrase instantanément ce qui me provoqua un certain plaisir mais elle n'en resta pas là puisque... [C] : Chien ! J'espère que tu te feras bouffer par le premier loup qui passe ! Fumier ! [M] C'est ça, c'est ça. Je les saluais de ma main droite tout en gardant ma gauche dans une des poches de ma tenue, le regard rivé sur le chemin de terre et de sable. [C] : Il se moque de moi en plus ! Laissez-moi descendre que j'aille le corriger ! [Ma] : Reste calme Clau-... Acte n°2 / Scène n° Final Un sourire voilà ce que je lui adressai et elle se calma en un instant. J'entendais Bulkër, Vaop & Klen rigolé tandis qu'elle m'injuriait encore mais plus discrètement cette fois. J'entendais les chevaux galoper dans les bois, s'éloignant de moi, alors qu'un petit ballon se présentait à moi pour m'aider à gravir jusqu'à l'Île, l'Île de Sangha. -The End- ~A.M~

    Présentation du joueur

    Petite présentation de Meharles, pour vous faire une idée quand vous me croiserez en Rp. ~Description~ -Physique : Meharles n'est pas un apollon et cache bien sa force qu'il aura tendance à utiliser rarement. -Il mesure 1m88 -Il pèse 91kg. -Il possède des yeux noirs ainsi qu'un oeil avec une sorte de marque qui semble le traverser, c'est d'ailleurs sur cet oeil qu'il a un petit tic problématique. -Mentalement : Grâce à sa carrière d'acteur, Meharles sait très bien jouer des rôles divers et variés et il possède un certains nombres de personnages qu'il use. -Oral : Meharles possède une voix grave qui peut provoquer un choque chez certains vu qu'il a plus l'air de tourner autour des 20-21 physiquement. -Il est âgé de 36 ans. (J'vais tenter de faire un truc plus développé quand j'aurais l'envie.) Ah, oui et peut importe le personnage que je jouerais, je serais toujours arrogant :) ~Historique~ >Le 23/04/17 à 14:38 : Ronin Stephane vous a promu au rang de Apprenti. >Temps : 290 heures de jeux. ~L'Humour~ [L'Encadration] -Par Onyx http://prntscr.com/hci382 [Des paroles blessantes] -Je vais taire le nom. http://prntscr.com/hci40r [L'Ordre] -Par l'Ordre http://prntscr.com/hci53g Dieu Camelus, la d4rkitude incarné en tailleur.
    Chatbox - Dialogue en direct

    Discussion en direct