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  • Apprenti Nymphea

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  • Fonction

    Apprenti

    Race

    Elferyde

    Sexe

    Indéterminé

  • Ampoule alluméeAmpoule alluméeAmpoule allumée
  • Réput. HRP

    Présence

    319 heures

    Réput. RP

  • Histoire du personnage

    [HRP] Quelques annotations sont posées en haut du parchemin, en elfique, semblant être une prière, ou une quelconque incantation.. [/HRP] *--*--* Je me réveilla en sursaut. Je ne voulais pas, pour des raisons que j'ignorais encore, fermer l’œil cette Ithil là. Devant moi la Grande Ignescence était presque éteinte, et quelques braises se passaient le mot comme fatiguées de rayonner. Je m’accroupie alors dans la faible lumière, avant de plonger mon regard dans l’obscurité des feuillages de la Forêt. Je n’entendais pas un bruit, ne sentais pas un craquement, aucune vibration étrangère. Qu’est-ce qui m’avait tiré de ma somnolence.. Était-ce encore là ? Était-ce encore dehors, en train de me regarder à travers la sombre végétation ? Soudainement un rayonnement se dessina au fond des bois, évoluant comme un essaim de lucioles virevoltantes au gré du vent, mais d’un éclat plus ardent et vif. La nuit durant je n’avais pu trouver la concentration nécessaire au sommeil, et ces petits êtres lumineux avaient pour habitude, au sein de l’îlot Intyalë, de couvrir les hautes branches, le crépuscule tombé. Je me levait alors, m’appuyant sur ma longue et fine jambe pâle couverte jusqu’au genou d’un tissu végétal bleuâtre, maintenu et tissé par endroits de minces lianes colorées d’une préparation carminée, d’un élan peu assuré, glissant agilement quelques maigres doigts vers ma taille jusqu’à ma ceinture en peau où se tenaient cinq flèches, taillée dans du bois de peuplier à peu près aussi finement que mon index et aussi allongée qu’un avant-bras d’Homme. À l’extrémité pointée vers le sol était accrochée une pointe émorfilée composée de deux morceaux de silex emboîtés, assurant la stabilité de la flèche lors de son envoi, ainsi que son maintien sur le bâton tant que dans la chair de son percepteur. La lumière se rapprochait de la tribu, tandis que je plongeais mon regard émeraude vif, dilatant mes pupilles pour mieux cerner la course inquiétante dans l’obscurité, accentuée par les feuillages qui couvrait l’Ithil aux toitures des demeures sylvestres des autres elfes, leur assurant un sommeil pondéré et adouci par l’atmosphère souveraine des lieux. Autour de moi de longs escaliers s'enroulaient autour des grands cyprès et des chênes, qui dominaient l’îlot en élançant leur larges bras feuillus vers la voûte céleste, rejoignant leur sommet en bifurquant vers les multiples abris lambrissés sur lesquels quelques lianes avaient retrouvé leur droits, en s’allongeant jusqu’aux massifs floraux qui se tenaient au sol. Ces cabanes boisées étaient fermement suspendues, par des cordages de lianes tressées habilement, aux branches les plus robustes, auxquelles l’âge n’avait pas fait défaut. Cette formation digne des ancêtres Intyalës se répétait sur la totalité de l’îlot, laissant uniquement place en une ronde végétale à la clairière où se tenait la Grande Ignescence, qui plongeait ses rayons salvateurs jusqu’en deçà des plus hautes habitations. La lumière s’approchait maintenant à une allure semblable à celle d’un cerf en fuite, et je pouvais désormais, écarquillant mes yeux amandes, voir danser devant moi de funestes nuées ardentes, de la couleur du sang s’éparpillant dans l’eau, arracher aux arbres dans leurs gestes arbitraires, leur peau et leurs bras, dans la direction de la tribu de Brise-Vent, au nord de la Grande Ignescence. -*- “Père… Mère..” -*- Notre peuple s’articulait selon différentes branches, suivant leur position sur l’îlot. Au nord la tribu de Brise-Vent, à l’est de celle-ci la tribu de Bois-Jade, derrière moi la tribu du Craban juste avant les Eaux Vives au sud, puis la tribu de Fendre-Hîth plus à l’ouest près du rivage. Celles-ci travaillaient ensemble pour le bien commun du peuple, chacune s’occupant de tâches précises, agencées comme des engrenages interdépendants faisant fonctionner en harmonie la vie de tous les elfes, des jeunes pousses aux vieux résinifères. *--*--* Fendre-Hîth comptait parmi elle les plus sages Intyalës s’occupant de l’administration globale de notre peuple, au sein du conseil de la confédération des tribus. Ces elfes généralement plus âgé que la moyenne savaient être pertinents et sages dans leur décisions, et étaient autant capable de faire régner un ordre démocratique sur l’îlot que d’appliquer leur plume à des textes savants. Bien que notre vision du gouvernement était très éloignée de ce qu’on pouvait trouver sur d’autres terres, sans réel dirigeant nous arrivions à perpétuer un équilibre sain et pacifique entre les tribus. *--*--* La tribu du Craban divisait ses tâches entre les hommes et les femmes elfes. Les hommes s’occupaient de la capture d’animaux dans les recoins inhabités du hameau, construisant de leur mains habiles des pièges faits de cordes végétales, de feuillages ainsi que de piliers taillés dans le bois, pour y pousser les proies après les avoir longuement traquées, suivant le respect de l’animal et les codes de la chasse. Ceux-ci apportaient alors une quantité raisonnable de viande et de poisson, suffisante pour nourrir les quatre tribus, bien que nous nous nourrissions principalement d’une triade de végétaux, que les anciens nommaient “les trois sœurs”, soit des pommes de terres, des carottes ainsi que des productions issues du blé, respectivement récoltés par les femmes elfes du Craban. *--*--* Bois-Jade s’occupe quant à elle de la construction d’infrastructures pour que tous mènent une vie correcte, selon les lois naturelles, ainsi ses menuisiers aident et bâtissent les nids des futures familles Intyalës. Les grandes formation boisés permettent à ces elfes de construire de grandes habitations en accord avec l’environnement qui les abritent et les protègent. Ils manient ainsi le bois tout en respectant la forêt comme personne n’en est capable, ce qui leur attribue un grand respect de la part de tous les Intyalës de l’îlot. *--*--* [HRP] L’écriture devient hésitante, les finitions des lettres semblent décrire un léger tremblement dans le maniement de la plume. [/HRP] *--*--* Enfin, là où je réside. Ou plutôt là où je résidais, lorsque je n'étais encore qu’une enfant, avec mes aïeuls, Ymdrieth Okam’ïl, mon père, et Nelmen’ra Okam’ïl, ma douce mère. Brise-vent est ainsi la tribu liée aux différents rites spirituels et religieux de notre peuple. Je ne vous détaillerais pas nos croyances avec la même patience que mon défunt père, mais sachez que nous plaçons notre foi en un ‘Créateur’ de toute chose, qui nous invite à vivre en harmonie avec la faune et la flore qui nous entoure et nous enivrent de vie et de joie chaque jour passé à leur côtés. Nous avons un profond respect envers la nature et tout ce qu’elle nous apporte, l’eau de ses rivières, la nourriture de ses terriers, l’air de ses fils aux ramures protectrices, et nous célébrons ainsi maintes fêtes et danses autour de la vie sylvestre; selon les différentes tribus, toutes organisées par les elfes de Brise-vent, qui se voyait réduite en cendre dévorée par les flammes devant mes yeux de gwenn, me laissant sans voix un instant. *--*--* La suite est plus floue, couverte en ma mémoire par un épais voile de fumée funèbre. Je me souviens de l’écho des cris des muindor et muinthel résonnant dans chaque coin de l’îlot, n’ayant pas même le temps de descendre pied au sol, les flammes embrasant leur lits dans leur sommeil. Mes cris, si j’en ai poussé assez fort pour atteindre les cimes, n’ont sauvé que quelques elfes qui vivaient près de la Grande Ignescence, les tirant de leur sommeil profond que rien ne venait perturber en temps normal. Mais ce soir là, la normalité n’avait plus lieu d’être dans ce cauchemar vivant, brasier démesuré dont je vous épargnerais les détails, de crainte que vous n’ayez des hauts le cœur en lisant les horreurs qui se sont déroulées. *--*--* “Les enfants, les anciens, les animaux…” *--*--* Ce soir là, j’ai aperçu dans ma fuite de l’îlot une silhouette étrange, qui se tenait là, debout au milieu de toute cette agitation, impassible pourtant à ce qui se déroulait autour d’elle. Alors que mes pupilles se dilataient, adaptant ma perception au chaos régnant, avec peine cependant dû à l’intensité lumineuse qu’émettait l’incendie, je vis devant moi un homme, assez petit, plus petit qu’un elfe, mais à la carrure plus charnue, et avec de courtes oreilles, à sa main droite une torche brandie vers le ciel. Un Humain. *--*--* Je détala à travers des charmilles et des bosquet d’aulnes, m'enfonçant vers Craban. Des bouleaux murmuraient sur mon passage, d’un souffle de terreur, comme se prévenant les uns les autres de la perdition qui les guettait, en une dernière prière. Moi-même terrifiée et encore très jeune, je me pris dans des ronces qui se tenaient enlacées autour d’un taillis, m’arrachant au bras droit un taillon d’épiderme dans ma course, laissant quelques perles vermeilles s’échapper au vent derrière moi tandis que je m’élancait à travers la dense végétation. Petit à petit ma blessure me brûlait, à chaque pas, à chaque respiration mes côtes me faisaient souffrir, mais la peur motivait mon action. La Forêt m’observait, elle cherchait la cause de sa dévastation. J’imagina alors retomber sur l’Humain devant moi. J’accélérai le pas. J’effreyai une jeune laie qui grignotait quelques insectes au milieu de feuilles mortes, à laquelle je présentai une vague excuse pour éviter son attaque. A l’est, le ciel se teintait de gris mêlé de pourpre, comme une fourrure de renard mouillé, le feu laissant place à la tempête.Quand je fus à bout de souffle, je m’écroula contre un chêne. Alors que je levai la tête vers la dense canopée verdoyante, qui murmurait son dernier récital, le vent s’engouffrant violemment entre les rameaux condamnés, je me senti seule. Pour la première fois en sept ans. Éperdument seule. Je n’avais plus l’impression de faire parti de la Forêt, de mon peuple. Ma douleur au bras me tira de mes pensées, tandis qu’un louveteau qui quittait lui aussi l’îlot arrêta sa course devant moi. Il m’observa longuement, grognant, de ses yeux de lune azurés emplis de haine et de désarroi à la fois. Il mis une patte en avant, puis une autre, jusqu’à ce que le jeune canidé se tienne à quelques cubes de moi, colérique, terrifié. Je vis alors que sa démarche était peu commune, mais cela ne tenait pas à son assurance habituelle. *--*--* “Qu’est ce que tu as sous la patte petit être ?” *--*--* [HRP] A partir de ces lignes, l’écriture change nettement, moins habile, plus désordonnée, des lettres sont bâclées, et le parchemin souillé de taches brunâtres et de quelques gouttes qui s'apparentent à du sang. [/HRP] *--*--* Cela faisait maintenant d’incalculables Dúath et Calad que j'avais rejoint la meute. Au départ je dormais tout le temps, prise de profonds remords. Puis je me mis peu à peu à me comporter comme eux. Lorsque j’étais rongée par la tristesse, j'étais aussi silencieuse qu’une happelourde. Lorsque j’étais en colère, je laissais échapper un sourd grognement d’entre mes fines lèvres. Je prenais goût à jouer à Attrape-Queue avec eux, bien qu’ils n’aimaient pas trop que je prenne part à leur jeu au départ, à tel point que je m'imaginais me renommer ‘Orchal Ar-Queue’, ou ‘Grande-Sans-Queue’ en commun. Lorsqu’ils me touchaient, je m’étonnais à me rouler au sol, accompagnant mon action de quelques jappements, à partir desquels les louveteaux comprirent rapidement que c’était ma façon de rire. Je crois qu’ils me trouvaient peu expressive, peu mélodieuse malgré ma voix de jeune elfe, mais ils réagissaient à mes expressions. Au départ mon langage était primaire, vaguement compréhensible, mais je m’améliorais et apprenais les rouages de leur communication au fil des ithils. Il me manquait certe une queue, mais mes oreilles étaient assez développées et fines. Je ne pouvais pas hérisser ma fourrure dont je n’étais pas dotée, ni pousser de véritables hurlements aigus comme eux. Mais j’arrivais à me faire comprendre, tant bien que mal. Lors des chasses, les autres ricanaient de mon odorat assez calamiteux. *--*--* Le jour de ma première Grande Chasse, organisée chaque année par la meute pour se préparer à de longs voyages, tandis que je dormais profondément depuis le crépuscule de la veille, un des louveteau s’approcha et frotta son museau contre ma joue, avant de m’observer de ses deux yeux innocents, comme si il me demandais pourquoi je dormais tant. Après m’être durement levée, je rejoignais Naneth Draug, comme j’aimais la nommer. Elle était la louve la plus ancienne de la meute, s'étendait sur deux cubes de long, armée d’une épaisse fourrure grisonnante que même une flèche élancée aurait du mal à pénétrer, et une crinière encore plus touffue partant de son cou. Au bout de ses quatre longues et imposantes pattes se tenaient cinq griffes acérées à l’avant, et quatre à l’arrière. Ses deux grands châsses à l’iris argenté semblaient raconter l’histoire de la louve, d’autant qu’une large entaille lui déformait le museau, du coin de l’oeil gauche jusqu’au dessus de sa gueule. Elle me portait, pour des raisons que seul le ‘Créateur’ peut comprendre, en son coeur, et m’apportait son soutien au sein de la meute. Elle m’apprenait avec une grande patience les secrets de la chasse, comment se préparer, les positions d’attaque, tant que de défense en cas de surnombre, comment retenir sa proie entre ses griffes et lui couper le souffle dans le respect de la ‘Création’. Naneth Draug ne portait cependant pas non plus les humains dans son coeur, la plupart ayant été avili par l’appât du gain et des territoires, rasant les forêts comme on défriche les champs de blé, avec la même vigueur et le même acharnement. Ils lui avaient tout pris, comme moi, elle savait que la destruction de l’îlot était de leur faute, que l’incendiaire avait ses raisons, si sombres qu’elles étaient. *--*--* “Mrrrrrh j’les hais, j‘les hais comme la feuille hait la flamme, comme l’feu hait la rivière, comme un loup peut haïr celui qui ravage sa tanière.. mrrr’mh..” *--*--* J’ai maintenant dix-neuf années derrière moi. Dix-neuf années de course, de chasse, de jeu, de hurlements, de regrets, de haine. Je me suis faite à la vie animale. Je me suis faite une raison. Je n’ai plus besoin que de ma meute. Ma meute. Je fais parti intégrante de leur famille à présent. Déjà très agile et habile de mes mains, dans mes déplacements tant que dans la manipulation des végétaux, je suis devenue indissociable du Loup. Le “Draug” comme on l’appelait. Mais on ne l’appelle plus. On ne l’appellera plus jamais. Je ne regrette plus. J’ai appris à ne plus regretter cette nuit. Nous partirons à l’est pour la Grande Chasse de cette année, au delà de la Vallée du Saule. Je suis prête. J’ai prié le ‘Créateur’ toute la nuit durant. J’ai tacheté mon visage de deux traits verticaux d’un onguent pourpre à base de craie et de pétales de roses broyées, du dessous de mes paupières jusqu’au dessus de ma bouche. Je hurle une dernière fois dans l’aube, déchirant le ciel d’un écho singulier, accompagnée de mes frères. *--*--* Je suis Nymphea Okam’ïl, elfe Intyalë de la tribu de Brise-Vent. Je suis Orchal Ar-Queue, Grande-Sans-Queue, Fille de Naneth Draug, sœur des loups.

    Présentation du joueur

    *---*---* Un oiseau immaculé, Une enfant troublée. *---*---* Précisions sur Nymphea : Physique actuel > Nymphea est vêtue d'un buste constitué d'une fine couche de laine immaculée, auquel est joint sous sa poitrine une robe végétale, de feuilles et de lianes tressées entre elles, tombant jusqu'à ses chevilles, ouverte au niveau de ses frêles jambes. La robe et le buste semblent raccommodés ensembles par une ceinture de vigne brune maintenant l'ensemble. Celle-ci remonte en lui couvrant le dos sous sa chevelure noisette, attachée à son cou. Deux gantelets de cuir teinté lui couvrent les mains, sur lesquels sont disposés divers éléments naturels, des plumes, de fines brindilles ainsi que quelques feuilles. Une pétale assez ample est attachée par une fine liane à son oreille gauche, tandis qu'une marque sombre fendue d'une cicatrice se tient sur son omoplate droite. Elle présente actuellement deux pupilles noires, entièrement dilatées, adaptées à l'obscurité angoissante qui règne sur les lieux, contrastant avec son teint pâle. Sous ses prunelles sombres, des cernes semblent avoir été volontairement cachées par un mélange d'argile et d'une concoction végétale semblable à son teint. Au niveau du visage, Nymphea possède deux traits parallèles tracés de son front jusqu'en dessous de ses paumettes, d'une préparation qui semble à base d'argile et d'un colorant végétal carmin. > Personnalité & Expressions > Nymphea a un tempérament assez calme, mais elle se laisse rapidement submerger par ses émotions, quelles qu'elles soient, bien que principalement la colère. Elle n'est pas sociable, elle a énormément de mal en société, n'ira que difficilement vers les autres. De même, elle n'aime pas le contact, et évitera au plus la moindre accolade ou poignée de main. Si l'elfe semble distante et craintive, ce n'est point forcément de la méchanceté, mais plutôt sa réaction naturelle à l'inconnu et envers autrui. Sa voix est une étrange symbiose entre la mélodie d'une voix d'elfe et des sonorités plus rauques, plus bestiales, les 'r' sont roulés et certaines syllabes mâchées. Enfin il n'est pas rare de la voir se déplacer à grande enjambées, parfois même avec l'aide de ses bras, aussi élancés que son corps (elle est de nature plus grande qu'un humain de taille normale), étant assez agile, bien que frêle. *---*---* Au sujet du Background : Je tiens à préciser, pour les plus curieux, que les apparences sont parfois trompeuses, n'oubliez pas qu'un background, qui est souvent une partie de l'histoire du personnage rédigée au sein d'un journal, ou sur une page volante, est aussi souvent rédigée par le PERSONNAGE lui-même. Il ne tient qu'à lui de raconter son vécu, de l'embellir, d'omettre des détails, ou même tisser une histoire venant de son imagination. Ne restez pas sur une lecture simple, en vous disant que c'est la seule vérité, mais je suppose que vous avez l'habitude. Posez-vous des questions, à quel âge a-t'il été écrit, dans quelles conditions, des clichés manifestes qui traduisent une angoisse, nés d'un imaginaire peut-être enfantin ? Des faits capillotractés symptômes d'une ambition démesurée ? Bonne lecture, et bon jeu !
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