Le culte d’Herobrine. Ma naissance se fût dans une chambre d’hôte très peu éclairée, presque trop peu pour que les médecins puissent faire accoucher ma mère, Lilith, dans le plus grand épanouissement. (Enfin, cela semble être l’histoire racontée par ma mère). Toutefois, tout semble s’être bien réalisé. J’ai hérité de bras, de jambes, ainsi que de tout les autres membres possibles pour les êtres normalement constitués. A priori, j’étais tout à fait normal, mais ce n’était que physiquement. J’ai tout de même grandi « normalement », dans une maison assez grande, avec un père et une mère, mais sans aucun autres enfants. Mais là n’est pas le détail le plus important : Ma vie fût, en réalité, « écrite » dans un village où les enfants sont élevés durement et strictement dans un cadre en béton-armé. Les enfants les plus jeunes sont triés très strictement par rapport à la famille pour rentrer dans une école où ils pratiquent l’apprentissage de l’écriture, de la lecture, de l’art, de la connaissance, et même de certains rites comme la prière envers une « entité supérieure », ou bien le fait de célébrer un mariage. En effet, je fût admis dans cet établissement à partir de mes quatre ans, et j’y ai vécu jusque mes 21 ans. Étant bon élève, j’ai réussi assez facilement à apprendre les mathématiques, l’écriture et la lecture du commun, également à représenter des lieux par des croquis, et même leurs étranges rites voués à une entité supérieure du nom d’Herobrine. C’est d’ailleurs la raison pour laquelle je me trouve sur les terres de l’Ordre d’herobrine ; tout simplement car je suis remortel, et que j’ai été élevé dans cet univers certes sordides pour certains, mais tout à fait réaliste et riche en connaissance. Cependant, pour moi, comme pour beaucoup d’autres élèves ayant eu l’eau à la bouche à leur dernière année d’étude ( celle où les professeurs racontent la vérité et les explications nécessaires à quoi servaient toutes ces « manies » ), cela n’était pas assez pour combler notre irrépressible envie de connaissances supplémentaires. C’est par cette simple réflexion et de questionnements que je suis parti vers le culte d’Herobrine, également appelé "L’Ordre d’Herobrine". Ainsi me voilà donc parmi vous, frères et sœurs. Et ce pour sûrement une longue péripétie. Profane Shaytan Hyxdrïl.

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