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  • Apprenti Calib

  • "Je refuse de me faire aider. Si il disparaît, je suis perdu. Il est mon guide, ma raison d'être. Il fait parti de moi."

  • Fonction

    Apprenti

    Race

    Humain

    Sexe

    Masculin

  • Ampoule alluméeAmpoule alluméeAmpoule allumée
  • Réput. HRP

    Présence

    50 heures

    Réput. RP

  • Histoire du personnage

    "Il fait parti de moi. Encré en moi comme les racines d'un arbre gigantesque duquel ses feuillages empêcheraient les rayons du soleil de les traverser. Je suis à lui pour toujours, esclave par ma faute. Il est mon guide, mon esprit et mon âme. Je l'entend, il me protège et définit qui je suis. Sans lui je ne puis vivre. Sans lui je ne suis rien." "Je vois son corps se faire arracher, alors que de ses yeux encore plein de vie, il me sourit, les bras en avant après m'avoir poussé. Il est heureux. Heureux de mourir pour moi. Je sens encore le sol dur heurter mon dos et les larmes se mélangeant au sang de mon front, les oreilles sifflantes. Bientôt, son sang rouge recouvre le Sang Bleu brillant qui décorait la caverne dans laquelle nous nous croyons en sécurité. Alors que la menace fini de lui arracher ses membres pour partir avec la moitié de son corps, je l'entend murmurer:" "Cours. Je serais toujours à tes cotés." ============================= =Carnet d'Espal= =Écrit 1= Calib Kar est un humain issu des régions des Gorges d'Espal. C'est un très jeune homme de dix huit ans, quittant fraîchement son habitation. Comme il vient des Gorges d'Espal, il était évident que dès sa naissance Calib allait être un chasseur ou un récolteur au service de sa famille, nombreuse. En effet Calib est le petit dernier d'une troupe de 3 frères et 4 soeurs. En premier nous avons Itam, le plus grand et fort, Maxem, le deuxième très bagarreur, Laurille, la 3ème, très investie dans la chasse, Malüm, la 4ème, la plus timide, considérée comme la plus faible d'après son père mais protégée par sa mère, Bröm le 5ème, un chasseur comme ses frères, qui aime créer des pièges, et la 6ème, Anaïs, une cueilleuse de talent agile et belle qui est la convoitise de beaucoup de garçons, mais protégée par ses frères. Son père et sa mère sont deux forces de la nature. L'un est puissant, agile et débrouillard, tandis que l'autre est une force plus calme, intelligente, malicieuse et un peu herboriste. Une bouche de plus à nourrir, Calib allait devoir faire ses preuves très vite. Dès l'âge de 7 ans, il apprenait les bases de la récoltes et devait s'entraîner dur à affronter les peurs du monde sous terrain. Cependant, c'est aussi à cet âge qu'il comprit que sa place n'était pas ici. Posté sur le centre du pont en bois, fragilisé par les précédents Longues-Glaces, le jeune Calib, bientôt agé de 10 ans observait le sommet de la crevasse. Ses frères, dans leur grotte, s'amusaient à se vanter du nombre de Scorpion Blanc qu'ils avaient tué, même si tout le monde savait d'aucun d'entre eux n'en ai affronté un ou vu à plus de deux mètres. Quand un Scorpion Blanc apparaissait, on le fuyait. On ne l'affrontait pas, on ne le regardait pas, on fuyait. Calib avait eu la chance de n'en avoir croisé que deux durant ses 3 années de chasses en compagnie de son père. Ce dernier l'emmenait peu profond dans la jungle mais dans des lieux suffisamment dangereux pour qu'il puisse s'entraîner, chasser et, peut être, y laisser la vie. Regardant le rayon de lumière pénétrer dans la crevasse, profitant alors du peu de chaleur que ce rayon lui procurait, son père ne mît pas longtemps avant de le rappeler à l'ordre. "CALIB ! Aujourd'hui vient l'heure de ton initiation. Tu dois aller voir la vielle Olgä pour te porter chance au cours de tes nombreuses chasses." "Père, je ne veux pas y'aller. Je veux sortir d'ici, grimper les crevasses et voyager. Je me demande à quoi ressemble le monde, là, dehors." Sur le pont, seul le vent se fit entendre, ainsi que le grincement du pont en bois suspendu au dessus du vide. Sa voix avait résonné à travers les parois, et les voisins des crevasses alentours regardaient maintenant en sa direction. Ses frères avaient arrêté de se battre, figés dans leur position de combat, tandis que sa mère affichait un visage inquiet, comme ses sœurs, tournant leur têtes en direction de leur père, abasourdi. "Oups.." Dans les Gorges d'Espal, sortir était un tabou. Quiconque voulait explorer le monde n'était qu'un égoïste qui ne pensait pas aux besoins de sa famille. Le père empoigna la main de Calib et le tira vers la grotte. "N'ose pas reprononcer ces mots un jour. Dans la famille, on ne quitte pas sa famille." "Mais je.." "N'OSE PAS." Calib fût ensuite envoyé voir la vielle Olgä, une chamane qui portait chance et richesse aux chasseurs et cueilleur. On allait la voir pour revenir en vie, et prospérer le plus longtemps possible. La vielle était aveugle mais savait lire les lignes de la main et on disait qu'elle pouvait aussi voir l'avenir. Sa grotte puait les plantes, mais on racontait que c'était grâce à elle qu'elle voyait des visions. Elle attrapa la main de Calib, elle semblait concentrée tandis que Calib était terrifié. Terrifié par cette dame imposante, aux rides creusées dans son visage et ses yeux vitreux, livides. "Calib. Je vois un avenir. Je vois un avenir froid et douloureux, dans la peur." Jusque là rien d'étonnant, c'est ce qu'elle voyait pour tout le monde. "Mais je vois aussi... une autre destinée qui t'attend. Quelque chose de plus grand. Des secrets ? Oui peut être." "Quoi ? Vous voulez dire que je vais sortir d'ici ?" "Oh. Oui. Peut être un jour, je peux te lire ton avenir mais toi seul peut l'écrire. Mais je vois qu'un jour, aussi, tu reviendras." "Je reviendrais ? Pourquoi ?" "Dans les profondeurs, tu viendras chercher Le Monastère du Silence" "Et est ce que je le trouverais ?" "Je ne sais pas." Elle souffla sur son visage une fumée verte. Calib toussa, aveuglé. =Écrit 2= Il était sonné. Chacun de ses coups résonnaient dans son crâne. Plus il le frappait, plus les phalanges de ses doigts s'écrasant sur sa joue craquaient. Une violence sans précédente. Tout se mettait à tourner, de plus en plus vite. La vision de sa mère retenue par ses frères devenaient flou. La couleur vive de la lanterne perdait petit à petit de sa beauté. Elle devenait grise. Il se sentait partir. Un autre coup. Le sang, normalement écarlate, qui sortait de sa bouche pour venir s'écraser contre le sol, prenait la couleur de la pierre. Il arrêta un instant de respirer, d'être conscient. Il allait mourir. Jusqu'à ce qu'une violente secousse le ramène à la dure réalité. Son père l'avait attrapé par le col, lui hurlant des choses devenue incompréhensible, voyant du coin de l'œil sa mère hurler de colère, les joues débordantes de larme. "Désolé.. Maman.." pensait-il. Dans un moment aussi grave et aussi violent, il arrivait à penser à sa mère. Son père le bouscula une dernière fois, son dos heurtant le mur rugueux de la grotte. Il n'arrivait pas à se relever, il n'avait plus de force. Par sa faute, l'enfant de la famille voisine été mort, et celle de Calib risquaient gros. Très gros. Pourtant il connaissait les risques, et il l'avait accepté de l'accompagner. Il l'avait protégé d'une mort certaine. Il s'était sacrifié. Mais bien sur, tout ça, Calib n'avait pas la force de l'avouer. Tout c'était passé tellement vite, et d'une manière horrible, inimaginable, même pour des Espaliens. Il se releva en s'accrochant à la roche, levant le regard vers son père, avant de vomir ses tripes. Où plutôt un bruit guttural, crachant un mélange de la salive et de sang. Il avait déjà tout régurgité deux heures plus tôt, après l'accident. "Comment tu as pu laisser passer ça ! Tu es une honte, une déception !" Une déception hein..? Calib savait qu'il le reverrait un jour.. qu'il n'avait plus rien à perdre.. il s'approcha lentement tandis que les insultes pleuvaient. Il ne savait pas d'où lui était venu cette force, probablement un mélange de colère, de frustration et de tristesse.. mais il la trouva. Il trouva la force de lever le bras puis la main droite, avant de venir écraser le plat de sa paume, brisant son poignet, contre le crâne de son père, dans un bruit sanglant résonnant dans la Grotte et la Faille. =Écrit 3= Il y'a des milliers d'années, un météore s'écrasa dans une région du Monde. Cette dernière créa un trou immense qui détruisit la végétation et provoqua l’éruption d'un volcan. Des fissures se formèrent dans le sol et des crevasses naquirent. Ce météore s'était écrasé au milieu des gorges d'Espal, créant une nouvelle fissure dans la région déjà dévastée. Sur son pont suspendu devant la cascade, Calib regardait le vide. Il pouvait voir le fond de la crevasse, l'eau qui l'attendait en bas et la jungle juste devant. Il était torse nu, n'avait pour arme seulement un javelot en bois qu'il avait fabriqué lui même. Aux extrémités du pont, des proches, des amis de sa famille et sa famille elle même. Son père, à coté de lui hurla des mots provenant d'un ancien rite Espalien. "SCOGO. IRKA. SKALGIR !" C'était maintenant, c'était son épreuve. Calib avait peur, il ne voulait pas y'aller. Il voulait découvrir le monde, pas devenir chasseur. Il décida d'affronter son destin, et d'enfin l'avouer à son père. Il se tourna vers lui pour prendre la parole, mais ce dernier le poussa hors du pont. Une chute normalement mortelle que l'eau amortie, avec plus de mal que de bien. Calib sombra au fond du lac, emporté par la houle de la cascade, percutant les rochers. Au sommet, le clan criait des mots d'encouragement qu'il ne pouvait entendre. Ses frères rigolaient en tendant les bras, ses sœurs préparaient déjà de quoi le soigner, sa mère se mordait les ongles, et son père restait impassible, observant l'eau. Après des secondes qui semblait interminable, Calib sortit la tête de l'eau. Un habitant souffla dans une corne pour annoncer que l'épreuve venait de commencer. Nageant jusqu'au bord, il prit appuie sur la terre humide, la jungle s'étendait devant lui, grande, imposante, terrifiante. Pour réussir l'épreuve, il devait ramener un bout de la Roche Émeraude, se trouvant au milieu du territoire des Serpents Géants. Il se tourna une dernière fois vers le pont, avant de partir. La Jungle était étouffante, malgré le manque de soleil, la chaleur était présente à cause des Volcans sous terrain, leur fumée toxique sortait parfois de geyser qui transperçait le sol. Cependant Calib courrait, il le devait. Les Jaguars n'allaient pas tarder à flairer sa trace et il devait à tout prix se rendre à la clairière. C'était un grand cratère ou aucune végétation ne poussait autour. Au milieu d'un cratère gisait un rocher immense duquel sortait des pierres verte, brillante. Pour prouver sa bravoure au sein du clan, il fallait rapporter un morceau de cette pierre. C'était une épreuve très dangereuse que l'on confiait à l'Espalien quand on estimait qu'il pouvait chasser seul à 16 ans. Arrivé à la Clairière, Calib chercha du regard les serpents. L'endroit avait beau sembler vide, il fallait se méfier des trous gigantesque autour du rocher: à l'intérieur se cachaient les Serpents géants. Ils pouvaient atteindre jusqu'à 1.50 mètres de hauteur et 15 mètres de longueurs. Mais tout semblait calme. Silencieux. Calib s'approcha du Rocher, toujours méfiant, sur ses gardes, avant de commencer à l'escalader. Au sommet se trouvait une pierre qu'il pouvait exploiter, elle était à moitié sortie, il suffisait de la dégager. Avec un bout de roche du météore il entama le contour. Après quelques minutes, il sentit une présence derrière lui. Il aurait préféré que ce soit un serpent, mais ce qu'il trouva en se retournant fût bien pire. Un Scorpion Blanc. La fuite était la seule option, on ne combat pas un Scorpion blanc seul. Il planta sa queue dans la roche là ou se situait Calib qui parvint à sauter sur le coté juste à temps, ne laissant plus qu'un trou. L'Espalien dévala le météore, poursuivit par le Scorpion. Qu'est ce qu'il faisait là ? Ce n'était pas son territoire. Ce n'était pas normal. Mais c'était la vie, ici. Rien n'est constant, pas même la vie. L'insecte géant dévala la pente, manqua de trébucher plusieurs fois, finissant par planter à nouveau sa queue dans le sol, provoquant un tremblement. Calib roula sur le sol pour l'éviter. "La Pince." Comme une voix résonnante dans son esprit pour le prévenir, Calib regarda la pince foncer droit sur lui, pas le temps de réfléchir il se baissa. Le sol tremblait sous chacun des pas du Scorpion, soulevant la terre et de la poussière. Il fallait vite fuir d'ici, mais pas sans la pierre. Le cri de la bête résonna comme un ultime avertissement. Ne pas rester immobile. Il couru jusqu'à son arme avant de la lancer vers le Scorpion. C'est à peine si le dernier ignora le bout de bois. "Monte." Calib sauta sur le rocher commençant à l'escalader, sautant de prise en prise. La queue fissurant la roche manqua de le faire tomber, mais ce fût aussi une aubaine: l'émeraude presque dégagée sauta sous le coup. Calib la récupéra au vol, avant de tomber, s'écraser au sol. La queue vint passer au dessus de sa tête, à l'horizontal, manquant de le décapiter. Impossible de combattre un Scorpion blanc seul, mais on peut le semer dans la Jungle. "Par là." Cette voix.. ce n'était pas celle des pensées de Calib, il évita de justesse un coup de pince avant de se diriger vers la Jungle, sans se retourner il couru ce qui semblait être des heures. Il eu le courage de jeter un œil en arrière quand il pensa être seul et ne vît rien. Reprenant son souffle il ouvrit la main: Il y'avait dans sa paume l'objet le plus important de sa vie. =Écrit 4= Calib grandi dans sa famille, il n'était pas le plus respecté et même une déception pour son père remplaçant ainsi Anaïs. Il était le protégé de ses soeurs mais ses frères se moquaient de lui. Et ses échecs se racontaient dans toute la vallée et même dans des crevasses voisines. Calib n'arrêtaient pas de parler de sortir d'ici, de vivre une meilleure vie. Mais Calib était faible. Agile mais pas puissant. Cependant, il était malin et savait se débrouiller pour survivre. C'était ça le problème, il savait survivre mais pas chasser. Calib n'était qu'une bouche encombrante à nourrir là ou ses frères et sœurs savaient subvenir à leur propre besoins. Mais un jour, tout bascula. C'était une chasse comme les autres, cependant la nourriture manquait dans la zone principale. Alors, Calib, son père et ses frères se sont enfoncés plus loin dans la Jungle. Plus loin qu'ils n'auraient du. Pour Calib qui rêvaient de voyage, ce n'était pas le genre qu'il attendait. Mais la chasse fût fructueuse. Sur le chemin du retour, Calib crû entendre des voix parvenir des profondeurs de la forêt, plongeant dans la noirceur. Alors qu'il s'approchait, son père le retint l'épaule. "Où vas tu ?" "J'ai.. j'ai cru entendre des gens appeler à l'aide, là bas." Il pointa du doigt la direction d'où les voix provenaient. "Il n'y'a rien là bas, Calib." "Mais si je te ju-" Un cri résonna. Mais pas d'une voix inconnu. C'était Bröm. "SCORPION ! SCORPION !" Très vite, ils prirent leur lance et rejoignirent la fratrie. Ce n'était pas un Scorpion qui leur faisait face, mais 5. Non... 6 Scorpions blanc. Eux aussi chassaient en famille. Très vite, ils furent entouré. "Prenez vos armes et défendez vous ! Il faut se battre ! Dès que vous voyez une ouverture, fuyez et regagnez la maison !" cria le père. Simplement, le combat semblait perdu d'avance, et Calib fût paralysé par la peur. Pas longtemps cependant car il se réveilla à temps pour sauter sur le coté et éviter une queue s'écrasant sur le sol. Si pour beaucoup la peur était un moteur, pour Calib, c'était sa raison d'être. La peur le rendait irréfléchi, et laissait place à son instinct. Mais il n'avait pas la force nécessaire pour une telle bête. Très vite il se fît transpercer la hanche par une patte et projeté hors du combat, tombant dans une crevasse creusée par un probable tremblement volcanique. Les derniers mots que son esprit lui permirent d'entendre avant de s'évanouir: "CALIB ! NON." Le noir. Le froid. Est ce que c'est la mort ? On se sent bien... On se sent plus vivant que jamais. On ressent quelque chose de plus fort encore, après cette vie misérable. Enfin, pouvoir se reposer. Malheureusement, un repos de courte durée. Calib se réveilla, au milieu d'une jungle plus dense et sombre que jamais. Pour seules lumières des lacs d'eau bouillant aux roches volcaniques rougeâtre et des champignons fluorescent provoquant une lumière verdâtre et pâle. Il n'était pas mort. Seulement blessé. Il se releva tant bien que mal en gémissant et observa le lieu ou il était, et la hauteur. Impossible de remonter il était coincé dans une crevasse aux roches lisses. Cependant, une lumière plus forte attira son attention. Il se releva, non sans peine, durant de longues minutes à chercher à quoi s'accrocher, prenant finalement un long bout de bois humide comme canne de fortune et, avançant à travers les feuillages découvrit une structure blanche, brillante de mille feu. Un bâtiment à l'architecture étrange, aux pierres blanche lisse, propre. Une voix résonnaient en Calib, la même qu'il entendit. Calib s'approcha, les yeux plissés sous la lumière. "Calib." Une ombre à contre jour lui tandis la main, s'approchant de lui. "Calib." Au moment de la saisir, tout disparu. Calib tomba au sol. La lumière s'estompa et les ténèbres l'envahirent de nouveau. Plus rien. La structure s'étaient envolée. Comme si elle n'avait jamais existé. Une illusion ? Calib s'évanoui. Le froid le réveilla, il était encore vivant. Surpris. Il décida de s'échapper d'ici et avec les vagues connaissances que sa mère lui avaient donné, il trouva les plantes appropriés pour les enfoncés dans sa chaires troués, non sans quelques cris de douleurs, et avança. De longues journées de marches dans les ténèbres. Après une éternité, il trouva une cascade, il se rafraîchit, pêcha et au sommet il pu voir de la lumière. Si il l’escaladait, il sortirait d'ici. Il l'escalada. Il l'escalada avec une volonté et une force qu'il se découvrit et parvint au sommet après des heures, peut être des jours. Et au sommet, le soleil l'ébloui. La verdure le perturba. Les cerfs, les renards, les lapins l'observaient avec curiosité. Ses yeux s'adapta à la lumière vive. Il était dehors. Il était libre. Et il était loin. Il ne savait pas où il était. Il ne savait pas où il devait aller. Il ne savait pas quoi faire. =Écrit 5= L’eau tombait sur le corps de Calib, coulant le long de ses cheveux, formant des goutes passant devant son visage, roulant le long de son corps, à travers ses muscles, longeant la cicatrice à sa hanche, ne formant maintenant plus qu’un trou d’une dizaine de centimètre, couvert par la peau. Il passa une de ses mains abimées dans ses cheveux. Détachés, ils étaient long, tombant plus bas que ses épaules, et lui cachait une partie de sa vue. Comme d’habitude il était plongé dans ses pensées jusqu’à ce qu’un flash survint. Puis un autre, et un autre, et encore. Des visions de son passé lui revenait petit à petit. Une forêt puis une caverne bleutée, suivit d'une structure blanche et une silhouette à contre jour. Calib posa ses mains contre le mur, continuant de laisser couler l’eau contre lui. Un visage. Familier. Il lui souriait. Pourquoi il lui souriait ? Calib ferma un instant les yeux. Le visage familier lui souriait, comme pour le rassurer. “Tout ira bien.” Il souriait à Calib, mais Calib ne souriait pas. Tout n’allait pas bien. Tout allait mal. Des larmes coulaient sur ses joues tandis qu’il se revoyait reculer, le visage devenant une silhouette, tendant la main, avant de disparaître, éjecté par quelque chose. Éjecté d’une violence inouïe. La silhouette semblait à contre jour, on pouvait la voir facilement se séparer en deux, tandis qu’un liquide noir aspergeait l’air avant de toucher le sol, contrastant avec le blanc de la scène. Impossible de voir ce qui avait fait ça. Calib éteignit l’eau, prenant une serviette, se séchant. Le moment n’était pas aux souvenirs, surtout ce soir. Ce soir était un soir important, et ce soir, Calib allait, pour une fois, penser à l’avenir. Il s’attacha les cheveux, enfila sa tenue verte, et inspira profondément avant de franchir la porte menant au froid de la Cité.

    Présentation du joueur

    Comme le système d'heure pue la merde: j'avais 300 heures sur le rp avant le changement de pseudo Calib est un jeune garçon de 19 ans. Il a une musculature assez développée pour son âge, assez sec. Mais ce n'est pas non plus une montagne. Cependant bien qu'il ai l'air de savoir se débrouiller et qu'il ne semble pas avoir des os fragiles, il sursaute souvent au moindre bruit inconnu. Il semble toujours sur ses gardes même quand il est entrain de discuter. Calib garde toujours sur lui son collier représentant une émeraude verte, grossierement taillée comme un cristal épais, brillant légèrement. Si vous lui demandez, il vous parlera des Gorges d'Espal avec appréhension et de la Jungle blanche, mais aussi des secrets de cette dernière avec grande attention. Il porte souvent des bottes de marche solides. Le dessous de ses yeux sont creusés par des cernes. Portrait de Calib: http://prntscr.com/vt3xy8 Thème: https://youtu.be/QzCyF0lrioc (c pour lé parol) Les Carnets d'Espal racontent l'Histoire de Calib dans un ordre non chronologique. Des parties de sa vie qui seront régulièrement mit à jour. =================================== Fun Fact #1: Il dort par terre, il trouve son lit inconfortable Fun Fact #2: Il déteste qu'on dise qu'il a des cernes Fun Fact #3: "Hein ? Qui a dit ça ?" =================================== Son auquel j’associe le personnage de Calib: https://youtu.be/44sfHTHzHfU =================================== [Le 26/11/20 à 14:32]:Inventeur Inposa Acceptation White-List [Le 06/12/20 à 17:38]: Compagnonne Lyrwen vous a promu au rang de Apprenti [Le 11/12/20]: Date d'entrée à la Garde des Brumes [Le 16/12/20]: Date d'entrée à la Patrouille =================================== [Carnet D'Espal]: Avoir un background inutilement compliqué pour un mec qui vient d'une région habitée par des hommes préhistorique. [Profane utile]: Devenir Profane blasé qui se fait chopper à droite à gauche pour aider les membres. [Harceleurs en puissance]: Harceler la Membre Lyrwen une semaine d'affilée pour des études. [Fout moi la paix putain]: Devenir Apprenti sous le mentorat de Lyrwen. [Pataroliste]: Rejoindre la Patrouille et se faire harceler. [Rouge (non pas celui là)]: Avoir une barre rouge de qualité HRP (Bizutage Patrouilleur) [Espal c'est dangereux, mais la cité encore plus]: Mourir trois fois comme une énorme merde.
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