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  • Apprentie Luce

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  • Fonction

    Apprentie

    Race

    Humaine

    Sexe

    Féminin

  • Ampoule alluméeAmpoule alluméeAmpoule alluméeAmpoule alluméeAmpoule alluméeAmpoule allumée
  • Réput. HRP

    Présence

    696 heures

    Réput. RP

  • Histoire du personnage

    Prologue: Le Royaume de Fùsl. Système politique irréprochable, voué à une prospérité future sans pareil. Y aurait il ...? Une faille. Il y a des choses, en ce monde, qui ne mériteraient pas d'être sues. Une ignominie si forte, invisible, et grande, faite endurée à tout un peuple. Des êtres splendides peuvent naître, dans la noirceur de la nuit. Mais est il seulement possible, de rester saint et bon, baigné dans la plus belle des lumières? Surtout quand elle est fictive. Chapitre premier: Une enfance comme les autres. Le froid. Il dégrade ma peau, mes orteils, il m'en reste dix? Il fait encore jour... je veux dormir encore un peu. Il fera bientôt nuit. Le froid n'est pas si terrible en fait. J'attends les derniers cris, et lueurs du Soleil pour me lever. C'est bon, la lune se lève. Je me lève à mon tour, fidèle consoeur. J'enfile mes habits miteux, ils se feront bientôt trop petits d'ailleurs; ils deviennent de plus en plus dur à vêtir, et m'empêchent une bonne motricité. Pourtant, je reste joyeuse, les cours sont toujours intéressant. Je saisis mon cahier de 2565 pages, que le régime m'a offert quand j'avais trois ans. Je ferais le reste de mes études avec. Je descend les marches, qui craquent sèchement, une symphonie chantante se répétant dans ma tête. Je fredonne. J'apprécie un maigre déjeuner au coin des braises encore chaudes; un bout de pain au seigle durci par les nuits passés. Je passe devant le billot, mon cahier et mon crayon en mains, un désordiste semble s'être fait découvert le jour dernier. Une sanglante tête, déformée par la douleur se repose, dans le panier. Que la vie est bien faite. Je me rends à l'école, sous le beau ciel étoilé. Il n'y a personne à cette heure, le crépuscule vient juste de s'estomper. Ce soir je suis dans la classe A98. Le cours s'intitule le "système parfait de 500". Les professeurs nous expliquent comment, Fùsl doit sa suprématie aux absents. J'avais déjà entendu parler de ces lâches, cachés dans leurs champs. Pause de minuit, les chanceux mangent si ils ont un goûter, bien gentiment préparé par leur mère. Après nous avoir fait comprendre le fonctionnement du troisième bloc, je rentre chez moi. Il commence à faire jour, des illégaux prennent place devant le billot, en attendant le condamné. Bonne journée à eux. Chapitre second: La dèdrique. Je dormais, il a fallu qu'une explosion vienne troubler mon sommeil. J'ai peur. Jamais je n'avais entendu d'explosion avant. C'est donc comme ça. Une deuxième, plus proche. Je dois sortir... Mais je ne peux pas. Si je... Une troisième explosion, déclenchant des cris. Lorsque je sors dans mes habits neufs , du soir dernier, je manque de les brûler en ne faisant guère attention au petit sachet enflammé qui tombe sur moi, propulsé par dessus les grands toits rouges des maisons. Je l'esquive de justesse, et observe le ciel nuancé de l'éblouissante et affreuse lumière du Soleil. Plus je le regarde, plus mes yeux s'habituent. Des traînées grises s'élèvent vers le ciel telles des tours, il y a le feu. Je cours vers l'hôpital, et trébuche, sur une difforme pâte humaine. Je crie. Un cadavre, écœurant. Des corps... Hah... Non... Il y en a partout finalement, ils tapissent le sol. L'attaque a eu lieu pendant la journée, et ma maison fut épargnée. Quelle veine. Je me relève, toujours décidée à vivre mais un peu plus amochée mentalement. Je rechute, ne prenant pas garde. Je crie, je crie, mon immense frayeur dans toute la cité, en priant pour que quelqu'un m'entende. Une main se place sur ma bouche, m'empêchant de parler, et deux violentes tapes sont appliquées sur mes tempes. Je perd connaissance. Chapitre troisième: La déserteuse. Je suis Lucile Evergrën, membre du troisième régiment défensif de la résistance. Quelques heures après mon réveil, on m'a calmé, et expliqué la situation: Une vague révolutionnaire d'origine inconnue a effrayé puis rasé tout le pays, en quelques cycles. Nous faisons partie des derniers survivants. Et nous devons arrêter cette chose, qui grandissait, encore et encore. Après de longs septiels, je savais fabriquer des bombes, des minuteries, je savais même me battre. Une nuit, une attaque éclair fut lancée sur un groupe de terroristes qui plaçait des bombes sur les habitations restantes. Nous étions sept, je m'en rappellerai toujours. Un de nous s'élança, passa en territoire ennemi. Je suivais, et le vis tomber. Je tuais son agresseur. La bombe qu'il avait posé semblait prête à détonner. Je n'ai pas réfléchi, et ai pris d'une main mon Nunîrk, (petit couteau désamorçeur) pour couper sec un fil, qui m'eut semblé le bon. Mon visage se désintégra. Et je me réveillais en sueur, allongée dans l'herbe. Je me relevai, pour voir les colonnes infâmes qui montaient de la ville. Je ne pouvais comprendre ou supporter l'ampleur de la folie qui dominait les environs. Je regardais une dernière fois en arrière, et me mit à courir. Le soleil se levait.

    Présentation du joueur

    Supposons que vous êtes capable, chaque nuit, de faire le rêve que vous souhaitez. Et naturellement, à mesure que vous entamerez cette aventure dans le songe, vous assouvirez tous vos désirs. Vous auriez accès à n'importe quel type de plaisir. Et après plusieurs nuits vous diriez; "Bien, c'était vraiment agréable." À présent, faisons nous une surprise. Vous allez faire un rêve qui n'est plus sous contrôle. Quelque chose va vous arriver, mais vous ne saurez pas quoi. Et à mesure que les nuits passeraient vous auriez de plus en plus d'aventures fabuleuses. Et finalement, vous seriez capable de rêver. Ou l'êtes vous vraiment? ~ Acte I - "Une âme égarée s'approche, protégée d'une ombrelle." Acte II - "Luce trouve un balais, et s'envole vers un ciel sombre." Acte III - "Tout est terminé, allumons la lumière." Acte IV - "L'appel de la lame fait s'équiper du couteau." Acte V - "Il ne reste qu'une grenouille qui tremble après la fin de l'ouragan." Acte VI - "Le cerveau de Luce est secoué de couleurs néon!" Acte VII - "La tête coupée de Luce roule sur le sol." ~ "Celle qui occupait l'extrémité orientale, par exemple, était tendue de bleu, et les fenêtres étaient d'un bleu profond. La seconde pièce était ornée et tendue de pourpre, et les carreaux étaient pourpres. La troisième, entièrement verte, et vertes les fenêtres. La quatrième, décorée d'orange, était éclairée par une fenêtre orangée, la cinquième, blanche, la sixième, violette. La septième salle était rigoureusement ensevelie de tentures de velours noir qui revêtaient tout le plafond et les murs, et retombaient en lourdes nappes sur un tapis de même étoffe et de même couleur. Mais, dans cette chambre seulement, la couleur des fenêtres ne correspondait pas à la décoration. Les carreaux étaient écarlates, d'une couleur intense de sang." ~ Acte ? : https://www.youtube.com/watch?v=xGiMhM1TMyU
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