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  • Apprenti alckatrazz

  • Aucune citation.

  • Fonction

    Apprenti

    Race

    Kaer'nin

    Sexe

    Indéterminé

  • Ampoule alluméeAmpoule alluméeAmpoule allumée
  • Réput. HRP

    Présence

    64 heures

    Réput. RP

  • Histoire du personnage

    *Vous croisez un nain, étranger de votre entourage et vous lui demandez son nom et ce qu'il fait ici * Mon nom ? Peu de gens de gens le savent et encore moins s'y intéresse...Je me nomme Alckatrazz fils de Trazz du fière peuple des nains des "Montagnes de Salak-zar ", autrefois berceau de tous les nains de l'Est,autrefois un endroit ou il était bon de vivre et ou la bière coulait dans les verres comme le cours d'une rivière d'argent sous une nouvelle lune du solstice d'été. Autrefois car il s'est produit une chose, une chose qui a provoquée mon arriver ici. Cela avait commencé le cinquième matin de l'automne, au départ certains parlait de forme et d'autres d'ombres qui faisaient leurs apparitions la nuit de temps à autre devant les murailles de Kzardalk, la ville fortifiée qui servait de défense à Salak, la capitale, de l'Est. Les apparitions de ces ombres ont étés de plus en plus fréquentes si bien que certaine se risquait même rarement à se montrer le jour. Je me souviens particulièrement d'un jour, je ne serais dire le-quelle exactement mais je m'en souviens c'est l'essentiel. Un garde avait accouru jusqu'au palais du roi pendant un grand repas, où tous les habitants qu'il connaissait au moins de vue était invités, comme il avait l'habitude de le faire a l'approche de l'hiver. Le roi kolkaz II était un homme bon aimant son peuple plus que tout et n'hésitait pas à aider qui que ce soit s'y il le pouvait. Bref, ce garde était arrivé en courant trempé de sueur et son visage était pâle comme s’il venait de regarder la mort en face, il courra sur toute la longueur de la grande salle où était installé la longue table pour le banquet et tomba devant le roi avant de balbutier «  …Je l'ai vue....J'en ai vue un !....(il reprenait son souffle entre chaque phrase)il avait des yeux.....pâle comme un cadavre.....tout autour de lui était devenu....tristesse et désespoir...  » «  Mais de quelle diablerie parlez-vous donc ? » Cria soudain le roi. «  Les ombres mon roi ! ! Reprit-il après avoir totalement repris son souffle, une d'entre elles est apparue comme ça devant moi elle m’a regardé avec ses grands yeux et à murmurer des mots dans un dialecte incompréhensible avant de me soulever par la gorge, oh par les huit c'était horrible ! (en effet dans la culture de mon peuple, il y a huit dieux), «  mais qu'a-t-elle dit ?!  » Cria le roi impatient de savoir le dénouement de cette histoire comme s’il s'agissait d'un conte fait pour effrayer les enfants. «  Je ne m'en rappel bien, ça semblait confus mais comme une autre voie dans ma tête raisonnait en répétant sans cesse «  dites-nous où est l'ordre, dites le nous ! Il doit être exécuté, dites le nous, ou l'hiver sera rouge ! !  » je n'ai rien dis alors l'ombre est partie dans un sifflement de colère et je suis venue ici aussi vite que j'ai pus mon roi ». Le roi remarqua alors que tout le monde le regardait en attendant une réaction du roi, mais comme tout le monde ici, le roi ne savait rien de cet « ordre » alors il dit «  Du calme mes amis, ces créatures se rendront compte par elle-même de leur erreurs et partirons d'ici ! Allons, ne me regardaient pas comme cela, mangez, buvez, riez nous somme là pour ça non ?  ». Et le repas reprit peu à peu son coure normal et quand tout le monde fut ivre l'idée de monstre et de danger avait disparu dans toutes les têtes de tous les nains du royaume. Les jours passèrent et aucune nouvelle des «  ombres » jusqu'à ce qu'aux premières lueurs du premier cyclame de l'hiver, une voie stridente apparut dans la tête de tout le monde, cette voie, rauque et sinistre, elle était tellement douloureuse mais si distincte,elle disait clairement «  kâlzak muil toûd raxölazz ....nous vous avons prévenues.....muil kâlzak toäd ragädrass...vous nous avez ignorés......MUIL KULGRASS KAZAGDAM.....VOUS ALLEZ MOURIRE » Et se sont sur ces ultimes paroles qu'elles ont attaquées. Un horrible massacre s'en suivie ; le sang qui luisait sur la neige d'un blanc encore immaculé, les femmes, les enfants et les vieillards qui essayaient de fuir inutilement, et les cris, les cris des hommes, qui combattaient contre ces démons, démons sortit tout droit d'un cauchemar si horrible, que même la peur elle-même se serait pas risqué à l'imaginer ne serais-se qu'une seconde. En essayant en vain de les affronter et de les tuées, je me fis projeter à terre en un coup et quand je le vis, ce fantôme, ce prolongement du mal à l'apparence de la mort, je vis tout ce qui fut bon il y a encore quelques heures, ravagés et complètement dénudés de toute beauté. Tant dis que ça lame s'avançait vers moi, je regarda la mort dans les yeux, une dernière foie. J'y vis ma vie entière dans la froide lueur qu'ils dégageaient. Moi apprenant l'écriture et les langues étrangères avec mon oncle Kwere qui revenait à chaque de contrés encore plus lointaines et mystérieuses. Moi apprenant les comptes, les légendes et les histoires du temps d'avant avec ma mère Khimir. Moi apprenant ce pourquoi les nains de Salak-zar sont venus au monde : le forgeage, la guerre, orfèvrerie avec mon père Trazz et tous les bons moments passés avec mes amis et ma famille dans les temps ou l'or coulait dans les grandes salles du palais de diamants et de pierres comme le vin dans les verres des familles amis prenants un verre autour d'un feu de bois et d'une chanson. Et moi j'étais là, face à la mort et maintenant prêt à l'accueillir et a la suivre comme une vieille amie. Mais le sort en décidât autrement : j'entendis une violente explosion : sans m'en rendre compte je me trouvais près de la réserve de poudre, qui, dans le tumulte la bataille, avait pris feu. L'explosion fut t-elle que je me vis perdre mon œil droit et projeter dans l'eau sale du vieux port où j'habitais. Dans un dernier effort, je m'agrippa à ce qui semblé être un coffre et je m'évanouis, me laissant à la merci des courants marins. Je fus réveillé par des éclaboussures de vagues et les cries d'un goéland. Quelqu'un se tenait à mon côté droit, il me dit en ricanant légèrement : " Enfin réveillé ? Cela fait maintenant trois cycles que vous dormez ! Heureusement que je vous ai repêché, vous étiez à la dérive sur un gros coffre. Je ne veux pas savoir comment ni pourquoi vous êtes arrivé là, mais seulement votre nom, si ce n'est pas trop vous demander."Je..." dis-je en peinant à ma lever. "Oh ! Et puis quelle importance ? Reprit-il en me coupant Je ne vous donne pas le miens et je n'ai pas l'attention de le faire alors pourquoi devriez-vous me donner le vôtre, hum ? À oui et aussi si vous voulez récupérer le contenue du coffre sur le-quelle vous êtes arrivé, il est là-bas dit-il toute en désignant la proue de la petite embarcation. Oh on est plus qu'a vingt minutes tout au plus du port ! Regardez il est a juste en face de nous ! C'est la que j'accoste, et vous aussi !" Je me dirigea vers mon ancienne embarcation sans aucune difficulté à la reconnaître parmi les autres coffres de par son allure usée par la flamme et l'eau. Sur le chemin qui me paraissait interminable, à cause de ma difficulté à marcher dut à l'épuisement ; je remarqua qu'il était inscrit sur le pont du navire en langage d'homme " Guilde Des Armateurs". j’arrivais donc devant se coffre qui me semblait étrangement familier malgré mon long voyage dessus. Quand je l'ouvris, j'y eus une surprise plus que réjouissante : la vieille armure de mon père, rapporter par mon oncle des royaumes du nord, et sa cape grise de la confection de ma mère. Le temps de me changeait pour cette armure solide comme l'obsidienne mais légère comme un oiseau pousser par les vents du sud nous étions arrivés a quai. L'homme me dit, une foi amarré : "Si vous cherchez une ville ou dormir, il y en a une de l'autre côté de l'île la contourner vous prendra 3 cyclames""Et si je passe par l’intérieure des terres ? Dis-je alors, combien de temps cela me prendra-t-il ?" "Pas plus d'une après-midi, si vous marchez à bonne allure. Mais...Je vous le déconseille fortement, la vieille forêt est devenue hostile et personne n'est à l'abri des dangers qui s'y trouvent." "Merci, repris-je alors, mais je n'ai pas le temps de faire des détours, il y a certaines choses que je dois découvrir et vite. Je passerais par les terres ! Adieux camarades et merci de m'avoir amené ici" Dis-je en m'avançant dans la forêt. Mon passage se passa bien, rien d'inattendu ne se passait pendant que je cogitais sur ma situation : je ne pouvais retourner à kzardalk qui était sûrement devenue plus qu'un tas de ruine et de sang mais je devais savoir qu'elle était ces choses et ce qu'était cet « ordre » qui a coûté la vie à toutes les personnes qui j'aimais. Malheureusement se calme ne dura pas, d'un coup, je sentis le sol craqué sous mes pieds et je me retrouva dans une crevasse à moitié ensevelie sous des dizaines de kilos de roches...Je me vis une foi de plus entre la vie et la mort, et une foi de plus, j'ai choisi la vie. "Alckatrazz découvrit bien plus tard que ces ombres étaient en fait un groupe d'érudit fanatique qui ne partageaient pas la même opinion sur le mythe d'Herobrine, et, qui dans leurs derniers instant avant leurs disparition avaient cherchés a réduire en cendre l'ordre sans succès les tenants responsables pour X raisons de la disparition de leur espèce" HRP: pour plus d'information sur la religion naine, c'est ici : http://www.minefield.fr/forum/antichambre-des-contre-maitres-exploitation-miniere/voie-des-titans-t15928.html

    Présentation du joueur

    Gwaihir est un nain originaires des montagne de Salak-zar qui se trouvent dans l'est du monde. Avant d'arriver sur l'île il servait dans la garde de Salak (La grande ville à côté de la quelle il habitait) Il racontera volontiers l'histoire de son arriver sur l'île a quiconque lui demandera mais sera plus réservé sur lui-même. Il est très cultivé grâce à sa mère, plutôt bon en forgeage et en combat mais il excelle dans orfèvrerie. Il connaît les autres régions du monde grâce a des chants et des histoires qui lui conté son oncle quand il revenait de long voyage. Gwaihir est quelqu'un qui n’hésitera pas à aider toutes personnes en besoin ou non et il sympathise et s'attache très vite avec ceux qu'il rencontre. C'est également un aventurier et il n’hésitera pas, si quand il s'ennuie, d'aller découvrir le monde sauvage qui l'entoure à ses risques et périls. Il est très et même trop curieux ce qui peut l’entraîner dans des problèmes plus gros que lui. Il n'est pas bête mais il met beaucoup de temps pour prendre une décision, importante ou non. Et, à cause de sa spontanéité dans les moments d'actions, il agira avant de réfléchir. Sa vision est diminuée à cause de son œil crevé. Il a un accent qui revient souvient ( "rrr" ). Quand il est en colère ou qu'il parle avec un autre nain, son accent revient de manière plus marquée et met du temps à partir. Si, par hasard, vous le cherchiez, il a pour habitude ( mais pas toujours) de regarder le lever de soleil, en fumant sa précieuse pipe qu'il garde sous sa barbe, assis sur les hauteurs des remparts d'Andalaue. IRL : Je suis un fan de dessin et je m'y démerde pas trop mal, traceur a l'occasion Gros rageu dans tout ce qui est possible et je suis TOUT LE TEMPS fatigué
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