J'ai naquîse dans une famille assez bourgeoise, et profiteuse, manipulatrice. Je suis née le Douze du dernier mois de l'année. C'était en fin de cyclame, j'étais la deuxième ... Et la dernière. Mon père voulait me donner le nom de George si j'étais un garçon. Ma mère, si j'étais une fille, Alex. Ce fût donc Alex. Jeune rejeton de profiteurs, et fille unique.  Une cousine de mes parents s'occupait très souvent de moi, me donnant le biberon, me nourrissant et m'aidant à grandir. Elle avait 34 ans. J'ai grandi paisiblement, allant à une école de riche et fût traitée telle une princesse. J'étais la préférée de toute la famille Strasza. Jusqu'au ajour où ma servante, à qui je m'étais attachée précieusement, commençait à tousser drôlement, les poumons visiblement ancrés. Elle était déjà morte une fois auparavant, tombée de la colline derrière le château. Je ne sais pas comment ça c'est passé, mais Tilda -La cousine- ne l'a jamais dite aux parents, à personne. Juste a moi. J'étais assez troublée mais n'avais pas atteint l'âge de la raison, finissant par m'en ficher.  Elle commençait donc à tousser, de plus en plus fort, les yeux devenant légèrement éclatés, puis il devînt de plus en plus aveugle, les veines ressortant de ses beaux yeux bleus couleur de la nuit. Couleur du ciel étoilé, et devenant de plus en plus bizarre. Elle souffrait, elle vomissait, ne parlant plus, respirant mal, ne dormant plus. J'avais 8 ans, et elle est 37 ans. Elle allait, visiblement fatiguée, s'enfermer dans la chambre, ne voulant plus d'aide des médecins, ne réussissant pas à la guérir. Elle s'enferma, puis ne mangeait plus. C'était littéralement devenue un zombi.  À mi-âge... Je rentrais la voir souvent, mais elle ne voulait plus me voir, ne voulant pas que je la voie comme ça. Puis, un jour, mes parents, désespérés, rentrait dans sa vieille chambre dégageant une odeur de cadavre, de transe. Elle n'était plus là... Disparue, volatilisée, ne laissant derrière que quelques affaires telles ses bagues et colliers derrière elle. Plus rien. Mes parents se demandaient où elle a bien pu passer, elle était morte. Ce n'est que dans mon arrivée dans l'ordre que je l'appris. Mes parents, lasses et désespérées, pleuraient tous les jours, ils devenaient des zombis. À pleurer et juste attendre l'heure du repas et de dormir. Ils ne se lavaient plus, rien. Ils ne sortaient plus, ayant déjà assez d'argent pour finir leurs vies. Je n'en pouvais plus. À mon âge de maturité, mes parents n'ayant pasoublié leur cousine, ils pleuraient encore. J'en avais marre. Ils s'étaient calmés mais je ne supportaient plus, toutes ses années de souffrance. J'ai pris quelques babioles utiles, de l'argent, des affaires, et je suis partie loin. Un adieu à mes parents, leur laissant un mot avec ma destination. Cette destination était l'endroit que je rêvaisdepuis des années. L'Ordre. J'avais donc mes affaires, et madestination. Je parcourus nombreuses contrées, demandant mon chemin à des gens, mais je n'avais aucune réponse, juste des villageois ne connaissant pas l'Ordre. J'ai parcouru en premier lieu une forêt, ensuite un désert, et jusqu'à un passage important quimarquait ma vie à tout jamais. Je suis tombée dans un trou de 5 cubes de haut, me foulant la cheville, c'était petit mais j'avais mal. C'était en pleine forêt enneigé. J'ai avancé comme j'ai pu, quand j'ai vuune bande de loups, affamés, tout maigres, bavant à l'idée de medéguster... Ils m'ont sautée dessus à toute allure, moi, ne pouvant plus courir, ne pouvaient pas fuir ! Ils m'ont mordue dans tous les sens, je sens encore leurs crocs s'enfoncer dans ma chair, mes cris d'agonie ! Puis, un grand vide. Je me suis réveillée dans un labyrinthe géant. Je devais trouver une sortie. Puis, je ne me rappelle plus de rien. Juste un lac, moi dedans, un 8, ressemblant à des yeux. Et des torches. Un panneau me disant des suivres. Je les suivis donc, voyant un petit village. Je suis restée dans le village 10 cyclâmes, puis je repartit de ma maison achetée avec mon argent, dans ce desert. Je suis partie, re-partie. Jusqu'à enfin voir un territoire. Un territoire de forêt, je me sentais bien là-haut, malgré un horrible mal, j'avais mal, très mal. Enfin... Je vous écris depuis ce territoire, je n'ai vu personne. Je m'apprête à partir, pour enfin retrouver ma liberté. Ce voyage m'a changée, rendue mature. Je suis prête à affronter ma destinée ! 

En attente.